Les religions ne sont pas le problème principal de notre société moderne. Le progrès des sciences et de la médecine ont favorisé un croissance faramineuse de la population humaine. Les hommes, tout comme de nombreuses sociétés animales, changent de comportement dès qu’ils se sentent trop nombreux en un endroit précis ou sur un territoire déterminé. La première guerre mondiale après 1900, et même la 2ème, ont été suggérées par la croissance de la population qui profitaient de la nouvelle hygiène ou des découvertes médicales.
Parler de religion sans s’approcher et décortiquer le phénomène de croissance du nombre des humains n’a pas beaucoup de sens. La situation est plus tragique quand la nourriture vient à manquer.
Le message religieux, bridé, peut être un baume pour le grand cerveau. Il n’est pas nécessairement à la base des manquements de l’humanité qui peut dérailler et devenir folle.
C’est tout simple. Si un être humain, femme ou homme, garçon ou fille, ne voulant pas dépendre de lois divines ou ne le voulant plus, il doit être libre de faire ce qu’autres font , vivre, manger, boire, se marier selon ses désirs et où il veut. Les règles qui emprisonnent et avilissent ou menacent des personnes (l’armée qui écrase des manifestants au Caire pour des raisons obscures), qui permettent encore à des membres d’une religion de prendre en esclavage d’autres êtres humains comme Soudan, tout cela devrait être interdit et les auteurs de ces actes fortement condamnés.
Les gens de toutes couleurs, enfants, adultes, ou vieillards doivent être respectés même s’ils veulent vivre indépendamment de règles religieuses régionales.
Tous les individus naissent libres. L’etat est à leur service.
Ce témoignage est à prendre pour ce qu’il est vraiment : le constat fait de notre société qui correspond à la description d’une vague qui vient bouleverser nos vies.
Veut-on aider les autres au maximum ou restreindre la possibilité offerte à d’autres de venir modifier nos préceptes ou coutumes ?
La limitation des nombreuses autorisations d’établissement par compréhension charitable pourrait être diminuer à un nombre insignifiant pendant une dizaine d’années. Rien en effet nous pousse à continuer sur la voie nouvelle de générosité que nous avons ouverte il y a quelques décennies.
Toutes les années passées ont donné l’impression que la seule possibilité qui reste aux partis, à tous car ils sont tous dépensiers à leurs façons, c’est d’éradiquer la part d’égoïsme qui est ancrée dans tous leurs électorats, et qui ajoutée au poids des sceptiques non-votants, donne une majorité fataliste qui accepte bon an mal an les déficits faramineux ou les obligations généreuses liées à des accords internationaux. La moindre des choses serait de pouvoir tenir un an sans déficit et augmentation des dettes. Ainsi on pourrait mesurer l’effort consenti. Actuellement il n’en est rien. Les efforts à faire demandent à être exemplaires. Il faudrait donc éviter les fanfaronnades et les démonstrations de puissance et emprunter un profil bas et plus solide.
La mer n’est pas un pays et, en suivant cette logique, la Libye est un voisin de la France. La France a participé trop tard à la correction de la Serbie et la Serbie se remet maintenant de ses erreurs. La Libye du colonel a promis de liquider dans le sang son opposition et la France avec ses alliés (heureusement) ne veut pas de cela. Avec raison. Les droits fondamentaux de l’Homme méritent qu’on les applique de temps en temps pour indiquer le chemin à suivre. Comme on le sait tous, ce n’est pas la France qui a initié les évènements tunisiens, et égyptiens, etc., etc.