L’inceste (du latin incestus : « impur ») désigne une relation sexuelle entre membres de la même famille et soumise à un interdit.
Le terme peut être employé de manière métaphorique en dehors du champ de la sexualité pour décrire la relation entre deux personnes.
La loi lui a substitué la reconnaissance, comme circonstance aggravante, du fait qu’une agression sexuelle, une atteinte sexuelle ou un viol sur un mineur soit commis par un parent ou tuteur (« ascendant légitime naturel ou adoptif ou toute personne ayant autorité sur la victime »).
Actuellement ce n’est donc qu’une circonstance aggravante d’un viol, mais le viol commis sur un enfant par un membre de la famille est un crime répété, pas un simple délit, un crime répété pendant des années. C’est un meurtre psychologique, une destruction de l’identité de l’enfant.
Pour prouver qu’il y a eu viol, il faut qu’il y ait eu violence, menace ou intimidation. L’enfant se retrouve au banc des accusés. Et ben mon petit, as tu dit non à ton papa ?
L’enfant ne dit jamais non, tout d’abord parce qu’il ne comprend pas, parce que le crime est commis par la personne référente.
La loi telle qu’elle est écrite actuellement tend à dire qu’un enfant aurait pu être consentent. Aucun enfant n’est consentent à l’inceste, ça n’existe pas.
Je vous invite tous qui ne comprenez pas le sens de cette demande pénale à mettre le sexe de votre père dans sa bouche, à ne pas s’y opposer, aujourd’hui, demain, après demain et à me dire l’effet que ça lui procure.
Pourquoi, le crime d’inceste a-t-il disparu du Code Pénal et du Code Civil après la Révolution de 1789 ? ?
Sous l’Ancien Régime plusieurs parlements avaient édicté, selon les principes canoniques et les jurisprudence des jurisconsultes Antoine Favre et Guy Pape, des lois et peines extrèmement rigoureuses contre les cas d’inceste commis sur les territoires de leurs juridictions propres.
Cela avait pour conséquence d’aboutir trop souvent à un silence de plomb sous divers menaces, pour éviter dans les familles des envois infamants aux galères voire tout simplement à la roue, etc..
Il y a par ailleurs, sur ce délicat sujet, cette répartie connue de Bonaparte à Tronchet qui lui en faisait la remarque pour le nouveau code conventionnel unifié (qui sera finalement dénommé "Code Napoléon"), rédigé en grande partie par Cambaceres : "Mais voyons mon pauvre Tronchet ! Voudriez-vous donc envoyer la moitié de la paysannerie du Berry aux galères et 80% des Albigeois à la guillotine ?!"...
C’est amusant non !
En fait l’inceste était bien inscrit au code pénal, puis il a disparu comme par magie. On vote les lois comme on les retire.
A cette époque, on ne précisait pas l’âge. La circonstance agravante était d’avoir moins de 21 ans, maintenant moins de 15 ans. Il est vrai que maintenant les petites filles, on ne peut plus les tenir ! Humour.
On condamnait aussi l’homosexualité.
Quand on sait que la pédophilie se propage dans nos hautes sphères, pourquoi le pénaliser ?