Bonsoir Castor,
L’inceste (du latin incestus : « impur ») désigne une relation sexuelle entre membres de la même famille et soumise à un interdit.
Le terme peut être employé de manière métaphorique en dehors du champ de la sexualité pour décrire la relation entre deux personnes.
La loi lui a substitué la reconnaissance, comme circonstance aggravante, du fait qu’une agression sexuelle, une atteinte sexuelle ou un viol sur un mineur soit commis par un parent ou tuteur (« ascendant légitime naturel ou adoptif ou toute personne ayant autorité sur la victime »).
Actuellement ce n’est donc qu’une circonstance aggravante d’un viol, mais le viol commis sur un enfant par un membre de la famille est un crime répété, pas un simple délit, un crime répété pendant des années. C’est un meurtre psychologique, une destruction de l’identité de l’enfant.
Pour prouver qu’il y a eu viol, il faut qu’il y ait eu violence, menace ou intimidation. L’enfant se retrouve au banc des accusés. Et ben mon petit, as tu dit non à ton papa ?
L’enfant ne dit jamais non, tout d’abord parce qu’il ne comprend pas, parce que le crime est commis par la personne référente.
La loi telle qu’elle est écrite actuellement tend à dire qu’un enfant aurait pu être consentent. Aucun enfant n’est consentent à l’inceste, ça n’existe pas.
Je vous invite tous qui ne comprenez pas le sens de cette demande pénale à mettre le sexe de votre père dans sa bouche, à ne pas s’y opposer, aujourd’hui, demain, après demain et à me dire l’effet que ça lui procure.