Depuis plus de 100 ans les Turcs son bernés par un roman national qu’on leur enseigne du jardin d’enfants à l’Université.
La synthèse islamo-kémaliste tient la route ; Erdogan ne peut pas se passer du dictateur Kemal Atatürk ; les extrémistes de tous bords se rejoignent ; les prisons sont archi-encombrées , aux dernières nouvelles ils ne libèrent pas les prisonniers politiques...
Il ne fait pas bon vivre en Turquie si l’on ne participe pas aux milices et factios islamo-kémalistes.
Leur objectif est l’émancipation de l’Arménie ottomane.
Normal, puisque les Arméniens furent le produit d’un milieu inégalitaire et oppressif dans l’empire ottoman ; on peut donc comprendre la création de partis politiques et de mouvements de libération dans les élites.
Prise d’otages à la banque ottomane : propagande par le fait ; on n’a plus rien à perdre face à l’ennemi on donne sa vie.
Doit on mettre à l’index « Les justes de Camus » ?
Il n’y a pas de « faction » « ligue » ? révolutionnaire ? le terme est inapproprié ; on parlera plutôt de révolte , voire d’insurrection contre la tyrannie dans les temps ottomans .
La guerilla ? guerre ? je ne comprends pas ce mélange de mots...Honnêtement je n’arrive pas à vous suivre.C’est tout et n’importe quoi , mais il est vrai que ça en jette, passons...
« Acter de sa défaite » ? quelle défaite ? La guerre du Haut-Garabagh a été gagnée.
S’il y avait eu défaite la Turquie ne s’agiterait plus quand l’ombre d’un Arménien passe sur le Bosphore, les ligues des loups gris seraient au chômage partiel id pour par l’Azerbaïdjan.
Le champ lexical que vous choisissez remporte la palme d or de la série court métrage péjoratif !(Tribulations ?)
C’est fort de café de parler des grincements de dents de la Syrie à l’encontre de la partie kurde du Rojava, sachant que la Turquie dernièrement tente de coloniser ce territoire.Mine de rien la Turquie est présente en Syrie , pour chasser l’élément kurde par la même occasion.