Depuis quelques mois, j’entends beaucoup parler autour de moi de difficultés à obtenir des crédits immobiliers.
Dans mon entourage, on ne compte plus les transactions annulées pour refus de crédit, qu’il s’agisse d’acheteurs potentiels, par ailleurs parfaitement solvables- , ou de vendeurs.
Pourriez- vous développer cet aspect du problème ?
Ben voui, M’sieur Napakatbra. On s’est bien amusé sur votre fil à imaginer de nouvelles questions et de fausses réponses, sans avoir pour autant la prétention d’en faire un article comme BD.
Article qui, en l’occurence, n’est ni franchement drôle, ni franchement critique, ni franchement flagrorneur, mais franchement décevant.
C’est long, c’est ampoulé, ça fait un peu "donneur de leçons".
Je croyais passer un bon moment et j’ai perdu mon temps.
Pardon de vous avoir tous dérangés. Je retourne à mes casseroles.
Pour ce qui est de la "blanchitude", vous avez le choix :: De Villier, Le Pen, Hortefeu... J’en oublie...
Merci de nous faire partager ici leurs poèmes poignants accouchés de la douleur d’être nés blancs, roses, blonds ou rouquins....
AH, dira-t on jamais la douleur de naître blanc dans une famille bourgeoise d’europe occidentale ?
Ben, allez-y lesgars : remuez-moi ! Que j’y aille de ma larme.
C’est quoi votre blessure à vous ? Les "blanchis".
Montrez-la,qu’on puisse la constater, la déplorer et la soigner.
SI vous la cachez, ça envenime,ça empire,ça ronge.. Vous nevous en rendez pas compte mais ça vous bouffe de l’intérieur, comme un cancer sournois qui ne vous avertit par la douleur que quand il est trop tard.
Si on a suivi un minimum l’actualité politique de ces dernières années, on sait que Monsieur le Président s’est fait gentiment tacler par un vieillard martiniquais qui a refusé de le recevoir, et ça rappelait furieusement l’épisode hilarant d’un certain Le Pen qui n’a pas pu rejoindre Fort- de -France.
Le vieux martiniquais s’appelait Aimé... quelque chose...- et l’on s’efforçait de conquérir ses grâces, car il est des moments où chaque voix compte, fussent -elles nègres ou intellos.
La moindre des choses eut été de se renseigner sur ce sombre vieillard qui infligea un tel camouflet à l’homme providentiel.
Ce n’est pas très difficile : une petite recherche internet, un saut chez son libraire-celui qui a lu, pas celui qui vous fait payer des cartes à moins 5% en exploitant des étudiants en "lettres et sciences humaines",et qui vous conseille , une bio, un truc abordable pour commencer.
Sinon, pardon mais c’est qu’on s’en fout.
Et on a parfaitement le droit de s’en foutre, mais dans ce cas, on assume.
Alors assumez que vous vous foutez d’une bonne partie de votre culture et de vos concitoyens. On ne vous en voudra pas : on se contentera de vous plaindre.