Dans la réalité rien quand déposant 4 000 euros la banque créer 100 000 euros de crédits (ca rend l’argent encore plus difficile à tracer) si Mr B dépose l’argent dans la même banque pas de pb par contre si il dépose l’argent dans une autre banque alors ils échangeront des lignes de crédits. Notre banque sera débitrice de l’autre.
Si l’autre banque refuse (elle aussi doit avoir un peu de fond pour créditer un compte BCE), c’est donc soit à une autre banque qu’il faut demander un autre crédit soit à la BCE dans une opération au jour le jour (ou à la semaine) soit la banque se met en faillite.
Au final avec 100 on créer toujours 10 000 à 1% mais la c’est une véritable usine à gaz ou tout le monde est dépendant des autres.
Pour faire simple (même si ca ne se passe pas exactement comme ca, la modélisation est valide)
Imaginez que vous ayez 104 000 euros et que vous les déposez à la banque. Celle-ci met 4 000 euros dans un compte BCE à cause du taux directeur de 4 % (elle récupérera sa tune à la fin du crédit quand il sera remboursé) ainsi elle peut créer un crédit de 100 000 euros.
Un type, Mr A, totalement insolvable vient et demande ce crédit. Il achète une maison surévalué à Mr B. Ce dernier dépose ces 100 000 euros à la même banque qu’au début.
On voit bien ici qu’il n’y a pas d’argent la banque à la fin n’a toujours que 100 000 euros dans ses caisses et 4 000 dans un compte BCE. Mais Le premier type et Mr B eux ont l’impression qu’il y a 204 000 euros dans le système.
Maintenant dans un système normale Mr A travaillerait pour rembourser son crédit. Disons qu’il produit des pommes et les vends pour une certaine somme au premier type et à Mr B pour ainsi rembourser son crédit. A la fin il y aura toujours 104 000 (les intérêts sont remboursé parce que le banquier aussi mange des pommes) euros dans la banque mais Mr A aura une maison et le premier type et Mr B auront mangé leur pomme. Ou alors on trouvait un autre pigeon pour acheter la maison, transfert de dette.
Mais voila il n’y a plus d’activité et Mr A ne peut donc pas rembourser son crédit. La banque se retrouve avec 2 clients qui croient avoir 204 000 euros alors qu’elle n’en a que 104 000. Elle est donc coincée.
Il n’y a donc pas d’argent à cacher c’est bien ca le pb.
Et ca c’est la version simple maintenant imaginez que l’argent déposé par Mr B a était utilisé pour faire d’autre crédit peut être tout aussi insolvable, et vous comprendrez la crise.
Avec un taux à 1% comme c’était le cas à un moment avec 100 euros, les banques pouvaient créées 10 000 euros de crédit.