• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

maltagliati

maltagliati

Rédacteur de la revue lettres fantasques et auteur de D'Août14 à l'âge d'or de l'Etat (2001), je renonce à toute participation à la plateforme Agoravox avec laquelle je n'ai jamais eu aucun lien autre qu'une occasion temporaire de diffuser mon point de vue

Tableau de bord

  • Premier article le 05/11/2011
  • Modérateur depuis le 06/12/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 59 82 1008
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 119 78 41
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • maltagliati maltagliati 21 juillet 2012 12:07

    @kiouty qui « avoue ne pas trop comprendre on veut en venir l’auteur. »

    Merci de votre « aveu ». Je crois de fait que ma position est très difficilement compréhensible, la plupart des analystes -dont le « pôvre » Jorion - s’attaquant aux ABUS et dysfonctionnements, alors que je cherche la RACINE de nos maux. A défaut d’une telle attitude cependant, on retombe - comme le pôvre Jorion - dans l’ancien monde, et on se fait le promoteur pour « sortir » de la crise d’une politique « keynesienne » qui est une des principales locomotives du système économique depuis un siècle... et donc de la crise. Jorion ne propose que de relancer la même machine mais sur des bases « saines » et en accroissant le pouvoir régulateur de l’Etat. Je le dénonce fermement comme un ennemi public.

    Si vous voulez suivre ma réflexion, mon ouvrage de 2000 est très imparfait, certes, mais il ouvre des pistes dans de nombreux domaines.

    Merci de votre réaction.



  • maltagliati maltagliati 14 juillet 2012 18:17

    J’ai rédigé une suite à cet article. « Curieusement » elle n’est pas publiée. C’est évidemment dû à la note finale que je maintiens et resigne.

    Ras-le bol de ces commentateurs. Que les gérants de la plate-forme prennent leurs responsabilités

    Voici donc contre ma volonté cette suite insérée en commentaire.

    _________________________

    Au lendemain de la publication de mon article du mardi 10 juillet, je trouve un billet de Fabio Rafael Fiallo sur Atlantico à propos de la situation de la France qui vient d’emprunter à des taux d’intérêt négatifs. En voici les meilleurs extraits, qui esquissent un lien très intéressant entre la nouvelle politique hollandaise et la situation actuelle de la France sur le marché obligataire.

    [L’attaque contre les obligations françaises au lendemain de l’élection de François Hollande n’a pas eu lieu. C’est une situation inverse qui semble se présenter.]
     
    " La France a emprunté lundi 9 juillet à des taux négatifs pour des obligations à 3 et 6 mois, ce qui signifie que les investisseurs paient le gouvernement pour lui prêter de l’argent. Une situation qui représente une fuite des investisseurs des titres espagnols et italiens pour des obligations de meilleures qualités. Mais comme l’a prouvé la crise des subprimes de 2007, tout peut changer du jour au lendemain.
     
    Tout krach, que ce soit boursier, monétaire ou obligataire, est précédé d’une embellie des titres concernés. Au début des années 90, juste avant l’effondrement du serpent monétaire européen, les marchés s’étaient mis à privilégier la lire italienne. Non que l’économie italienne fût à l’abri de tout danger, mais les marchés préféraient acheter des obligations italiennes plutôt que celles de pays à plus haut risque, tels le Portugal, la Grèce ou l’Irlande. Cela n’empêcha pas l’Italie de se faire attaquer à son tour, amenant à la dégringolade de la lire qui – avec celle de la livre sterling – culmina dans la mort du serpent.
     
    Aujourd’hui, la France se trouve, dans le marché des obligations, dans une situation qui rappelle celle de l’Italie dans le marché des monnaies à l’époque de la crise du serpent monétaire européen. Pour le moment, les marchés achètent des obligations françaises pour deux raisons : d’abord parce que, contrairement à l’Espagne et à l’Italie, la France n’est pas en récession ; ensuite, parce que les marchés donnent au gouvernement français le temps de tenir son engagement de réduire le déficit budgétaire à 3% du PIB en 2013. Mais c’est justement cette double situation, avantageuse pour la France, qui pourrait soudain voler en éclats.
     
    Une série d’études tendent en effet à prouver que, pour réduire le déficit budgétaire, la hausse d’impôts a des effets plus négatifs sur l’économie d’un pays que la baisse des dépenses publiques. Or la hausse d’impôts est la voie choisie par la France pour réduire son déficit.
     
    Qu’arrivera-t-il si le ralentissement de l’économie française, avec la baisse des recettes fiscales que cela implique, met les objectifs pour 2013 hors de portée ? Le gouvernement persistera-t-il sur la voie de la hausse des prélèvements, ce qui l’amènera à plomber davantage encore la compétitivité et l’économie de la France ? Ou se décidera-t-il à tailler massivement dans les dépenses publiques, au risque de mettre les syndicats et les mouvements de gauche dans la rue ?
     
    Confronté à ce choix cornélien, les autorités françaises pourraient sortir de leur poche une solution de rechange, que voici : décider de ralentir la résorption du déficit budgétaire en mettant la réduction de celui-ci à 3% du PIB pour après 2013. Le fait que le ministre de l’Économie et des Finances, Pierre Moscovici, se soit empressé de se réjouir du délai supplémentaire accordé par Bruxelles à la résorption du déficit espagnol, montre qu’une telle idée fait son chemin à l’Élysée et Matignon. Forte du précédent espagnol, la France pourrait se croire en mesure de s’accorder, le moment venu, un délai plus long pour atteindre les objectifs initialement fixés pour 2013. C’est alors que, percevant le spectre d’une récession et les promesses de réduction de déficit budgétaire non tenues dans le temps, les marchés pourraient sévèrement attaquer les obligations de l’État français, réclamant des taux d’intérêt étouffants. Voilà donc, malgré les taux d’emprunts négatifs d’aujourd’hui, le scénario d’un futur krach obligataire français."
     
    J’aurais bien posté le présent complément en « commentaire » à mon article précédent, mais les commentaires sur Agoravox sont plus que trash, colonisés par une petite bande de bavards sans intérêt qui étalent leur suffisance et leur ignorance aux frais des auteurs. Je vous invite à ne jamais y mettre le pied. Quand je le fais, c’est uniquement pour essayer d’éviter les abus.
     
    Le site aurait beaucoup à gagner à se débarrasser de cette boue infâme.
     
    MALTAGLIATI


  • maltagliati maltagliati 10 juillet 2012 22:02

    Je HAIS la fonction publique, racine de notre servitude. Un jour j’ai passé un entretien sans savoir quel poste était à la clé. Quand je me suis rendu compte qu’il s’agissait d’entrer au service de l’Etat, j’ai mis fin à l’entretien par quelques réponses appropriées.
    Je n’ai pas besoin de vos références. La maladie de la gauche, c’est l’État, sous « prétexte » de dénonciation du libéralisme. De Charybde en Scylla.
    Et ne me prenez pas pour un sous-développé, je suis l’éditeur des Œuvres politiques de Jean-Paul MARAT. Je me passe allègrement de vos lectures !!!



  • maltagliati maltagliati 8 juillet 2012 13:23

    Le Monsieur qui signe JL me poursuit de ses outrances et passe à la calomnie pure. J’ai donc replié ses « commentaires »... qu’il aille déverser sa bile ailleurs !
    Je signe Maltagliati depuis plus de dix ans, il suffit de voir mon site.
    Fondamentalement j’attaque la gauche réactionnaire dont il se fait le promoteur non d’un point de vue néo-libéral, mais « révolutionnaire » (si ce mot a encore un sens).
    Ce qu’il ne peut supporter c’est qu’on s’en prenne à l’ETAT. C’est son problème, ce n’est pas une raison pour me traiter de tous les noms d’oiseaux.



  • maltagliati maltagliati 2 juillet 2012 12:35

    « La télévision privée serait plus ouverte et libre que la télévision publique ? »
    Je vous défie de trouver ça dans mon article.
    Par contre c’est vous qui affirmez que l’intox Radio-France, Arte, RFI etc, « je suis pour qu’on continue à maintenir cela » (je vous cite)
    Ou l’art d’introduire une connerie en douce en prétendant que l’autre en a dit une.
    J’ai dit une seule chose : l’audiovisuel (donc le privé et le public) TUE la pensée. Libre à vous de vous avachir devant Arte plutôt que devant TF1. Ou devant des vidéos youtube.
    Bon lavage de cerveau.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv