@nono le simplet et moi je vous invite à aller sur le site santepubliquefrance covid 19. il y est écrit noir sur blanc " 3 Les services de soins critiques se composent des services
de réanimation, des services de soins intensifs (USI) et des services de
soins continus (USC). En période de forte tension, les USI et USC
peuvent être upgradés en service de réanimation.
" la surveillance continue est destinée à prendre en charge un patient ayant un risque de défaillance vitale ; les soins intensifs sont habilités à traiter une défaillance unique pendant une durée limitée ; la réanimation est dévolue à la prise en charge prolongée des défaillances multiples.
les services dispatchent les malades selon ces critères le taux d’occupation, c’est comme le reste. les statistiques sont biaisées pour bien rendre la situation anxiogène et inciter la population à accepter de se soumettre à des restrictions des libertés sans broncher. c’est sur que dire qu’il n’y a que 5400 lits pour 1350 malades, soit 25 % de capacité en soins critiques, ça inquiète plus que si on disait la vérité, les USC c’est 19600 lits et 1350 malades ça fait une occupation de 6,8 %. c’est pourtant ce dernier chiffre qui est le bon.
@nono le simplet je vous suggère de prendre connaissance du rapport de la cours des comptes au sujet de l’opacité des chiffres drees concernant les malades en soins critiques. santépubliquefrance précise bien que les USC ce ne sont pas que les réa. les USC,
unités de soins critiques. il y a 3 services. la réanimation qui
selon la drees avait 5400 lits le 31 décembre 2019. les unités de soins
intensifs qui le 31/12/19 avait 6000 lits et les unités de surveillance
continue 19200 lits toujours à la même date.
les USC et les USI peuvent être upgradés.
si les choses n’ont pas changées depuis deux ans, il y a 19600 lits en
unité de soins critiques.
c’est sur que si on fait un rapport malades/nombres de lits que sur ceux des réanimations ( 5400 le 31/12/2019 ) on peut dépasser les 100 %. mais si on le fait sur les 19600 lits USC, c’est pas la même histoire.
ensuite bien sur, ça dépendait des régions. selon les clusters, on arrivait vite à saturation pendant que dans d’autres, c’était plus calme.
@pierrot parce qu’on distingue les malades en cohortes dans le seul but de vanter les mérites d’un traitement arnm qui en est à peine au stade d’essai. masquer le peu d’efficacité du vaccin derrière un calcul en population comparable est un artifice statistique, rien d’autre.
@leypanou merci, mais il ne dort pas. il avait déjà pris les choses en main. ;) ce sont quand même des pratiques scandaleuses et on comprend mieux pourquoi certains finissent à l’hôpital. on oblige les gens à se faire de l’automédication.