Quand on voit l’attitude de bartolone et ses paroles vis à vis des tribunes spectateurs, on comprend mieux ce que représente la démocratie de gauche. Faire un vote à main levé au Sénat, en présence de très peu de sénateurs, avec un doute sur les votes ultramarins, accélérer la procédure, faire vite passer cette loi pour redorer le blason d’un PR qui n’en a que le nom ! pour finir par ces mots. Faire cogner sur des manifestants paisibles, gazer, infiltrer pour provoquer des heurts, etc... Évidement c’est beaucoup plus jubilatoire et jouissif que repousser une manif sur les champs Élysées par des islamistes ! Ce pouvoir a montré hier à la tribune de l’AN son vrai visage !
Il n’y a vraiment rien d’autre à faire que de vouloir établir une nouvelle République avec une nouvelle constitution ? La V R a montré ses preuves de stabilité et a souvent évité des drames. La Constitution de 58 a été souvent remaniée. Des améliorations à apporter certes. Mais que signifie Constitution et République pour un Etat soumis pieds et poings liés à l’oligarchie de Bruxelles et aux lois de la CE ? Il faudrait d’abord être Libre et Indépendant sur notre territoire et par nos propres lois pour envisager vouloir légiférer dans le marbre. Là on ne secoue que du sable. La croisière FdG s’amuse ! l’UMPS sont de connivence dans la gestion des affaires. On nous vend du vent et on a efficacement lobotomisé les Citoyens. On est en pleine « chienlit » économique, sociale, politique. VIé république ? C’est la dernière blague des hurluberlus de service...........qui pleurent dès qu’ils ne sont plus sur le devant du théâtre guignol !!!
Vive l’Alsace ! Unie dans la République Française une et indivisible ! Belle leçon de Résistance donnée à l’oligarchie de Bruxelles. Volontairement, les Alsaciens ont mal été renseignés par les tenants et les aboutissants de l’union des 2 départements. Bruxelles veut faire disparaitre toute identité nationale au bénéfice d’un magma de nations déchues et désormais représentées - sans élus - par une caste dominante et créer des régions fédérées. L’Alsace était un essai comme le fut la Grèce et Chypre. C’est la politique des « petits pas » si chers à H.Kissinger. Malgré ce piège tendu avec tout son machiavélisme, les Alsaciens ont su opposer le NON !