J’ai eu exactement ce genre de problème avec mon imprimante (Canon MP 610). D’un coup, les impressions étaient « vierges », et rien n’apparaissait alors que tout semblait normal. J’ai tenté le coup de la réinitialisation(http://imprimante-en-question.blogspot.fr/2007/09/remise-zro-des-compteurs-dimprimantes.html), mais au final, ce qui a fonctionné, c’est de sélectionner « papier photo » au lieu de « papier normal » avant une impression, et hop, c’est reparti. Ca consomme plus d’encre, mais au moins, je n’ai pas eu à racheter une imprimante.
On a en effet vraiment l’impression qu’au bout d’un certain temps, un élément de la machine lui dit d’arrêter de fonctionner normalement. Aberrant.
Non, ce n’est plus une réduction de 30%, ce qui était, il faut le reconnaître, énorme. L’allocation pour frais d’emploi des journalistes - c’est comme ça que ça s’appelle maintenant - permet de déduire à hauteur de 7650 € le montant total de ses revenus déclarés, en ce qui concerne l’impôt sur le revenu.
Sur des revenus « normaux » de 20 à 40 000 € par an disons, ça permet de faire une belle économie (au lieu de déclarer 36 750 € par exemple, on n’en déclare que 30 000). Mais pour tous ceux qui font leur « petit million par an », autant dire que c’est anecdotique. En même temps ils ne doivent pas être si nombreux...
Pour en savoir plus, extrait du site du SNJ : "En 1996 et 1997,
le gouvernement Juppé entendant supprimer, une nouvelle fois,
les niches fiscales fait voter par le Parlement la suppression de
tous les abattements, dont celui des journalistes.
Une longue bataille s’engage alors dans l’unité
syndicale. Le SNJ-CGT fait de multiples propositions, dont celle d’instaurer
une allocation pour frais d’emploi, visant à remplacer
l’abattement de 30 % et, surtout, à être plus juste.
En effet, l’abattement de 30 % sur le salaire des stars de la
télévision est sans commune mesure avec celui des pigistes
gagnant le SMIC.
Les négociations
ont été longues et difficiles. La cohabitation Chirac
– Jospin a permis de débloquer la situation et de trouver
une solution « à droit constant », la fameuse «
allocation pour frais d’emploi » de 50 000 F, transformés
en 7650 € lors du passage à l’euro."
Eh bien, Agoravox est un des rares sites sur lequel je vois une majorité de commentaires pointer du doigt les conditions d’élevage déplorables des animaux, et s’en plaindre. Ailleurs c’est généralement seulement les facteurs humain et économique qui sont pris en compte.
Je ne suis pas végétarien - disons que je suis un végétarien contrarié -, mais traiter autant de créatures vivantes comme de simples produits qui doivent à tout prix être rentables prouve toute l’inhumanité de nos comportements, ainsi que l’aveuglement, plus ou moins volontaire, des masses.
Marre de l’excuse du « les gens n’ont pas de sous donc ils n’achètent pas de la qualité ». Les « gens » sont fainéants, ne savent pas lire une étiquette, n’ont guère d’empathie pour les autres espèces ("j’achète des oeufs 3FR et je m’en fous) et ne font généralement aucun effort pour s’informer. Alors oui, il y a des gens qui galèrent vraiment, qui survivent, et à ceux-là je ne fais pas la morale, mais généralement c’est quand même cette mentalité de la paresse intellectuelle et des oeillères qui domine. On paie toujours d’une façon ou d’une autre le fait de se nourrir avec du bas de gamme. Et pire, on le fait payer à d’autres, êtres humains ou non...
"Dès lors, si les utilisateurs principaux sont des utilisateurs
professionnels, il est à envisager, avec le développement des diverses
formes de la communication à distance, de repenser le rapport entre le
travail et les déplacements. Leur limitation suppose une autonomisation
accrue des taches, et donc, une organisation différente des entreprises
en premier lieu, de la société à terme."
Le problème étant, en France, qu’il faut généralement faire acte de présence dans une entreprise. Quand un salarié n’est pas là, le patron imagine qu’il ne travaille pas, alors même que le télétravail accroît généralement le rendement (la somme de travail rendu/de tâches effectuées est a priori vérifiable).
Une mentalité difficile à changer. J’ai personnellement la chance de travailler chez moi (et d’avoir plusieurs employeurs), mais je suis une exception.
C’est effectivement effarant. Accuser un innocent est certainement la pire chose qu’un représentant des forces de l’ordre puisse faire. La révocation semble évidente. Et l’exemple nécessaire. Mais non...
J’aimerais vraiment savoir, dans le détail, comment l’accusé a été disculpé. Heureusement qu’il y a eu une véritable enquête.
Et voir 4 ou 5 fautes dans un communiqué officiel d’une vingtaine de lignes ça ne fait pas très sérieux.
On va dire que c’était rédigé sous le coup de l’émotion...