Ah oui les morts qui méritent la dignité et les autres qui peuvent être l’objet de toutes les railleries ; je vois. Et poussons le vice plus loin, cette shoah qui serait un espèce de sésame éternel permettant par exemple à un cinéaste de droguer, violer et sodomiser une gamine de 13 ans avec l’appui de toute l’intelligentsia rappelant le passé des ancêtres dans les camps. Un business morbide quoi.
Mais c’est exactement ça Marmor ! Ils font vaciller les réfractaires, intéressent les innocents, radicalisent les sympathisants et que dire alors de ceux qui étaient déjà bien sensibles ? Ils souhaiteraient un déchaînement de haine qu’ils ne s’y prendraient pas autrement. Dans la droite lignée de ce trouble public qu’ils ont essayé d’enfanter, de cette violence qu’ils espèrent chaque jour, de ces signes qu’ils cherchaient une soirée nantaise.
Je parlais Kassovitz, vous me citez Meyssan. Le lien ? Aucun si ce n’est pour noyer le poisson. Les questions étaient légitimes. Il n’a à ma connaissance pas parlé de dynamite, d’explosions volontaires ou que sais-je encore. Moi non plus d’ailleurs, jamais je ne m’appuierai là-dessus. Par contre, se demander pourquoi aucune vidéo, ne me parlez pas de cette parodie balancée par l’administration US, ne montre l’avion touchant le Pentagone, voire même l’approchant ; alors que c’est l’endroit le plus sécurisé au monde, on peut s’interroger. Comment est-ce possible, alors que les deux tours n’étaient que gravats et poussière, on ait pu en extraire intacts les passeports des terroristes ? Alors que je suivais à cette époque H24 les infos, on nous sort le célèbre Ben Laden quelques instants seulement après les attentats. Célèbre manifestement pour certains et de manière spontanée. Un peu comme LH Oswald péché miraculeusement dans un cinéma le 22-11-63. Le même Ben Laden jeté en plein océan pour respecter un rite religieux ? Mascarade totale mais plus c’est gros, mieux ça passe. Vous voyez,e en aucun cas je parle de complot, d’explosion ou que sais-je encore. Mais des questionnements. Simples . Sans arrière-pensée si ce n’est celle de se dire qu’on nous a peut-être pris pour des cons. Encore une fois.