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Mathias Delfe

Mathias Delfe

Jean-Michel Guillaume alias Quentin Sax, alias Mathias Delfe.
Ancien ! Ancien étudiant en philo, ancien éducateur spécialisé, ancien artisan plasticien, ancien BTS audiovisuel, ancien auteur de polars (Quentin Sax - Fleuve Noir), ancien de France 3, ancien des forums du Net.
Toujours polygraphe et photographe.

En matière d’information, l’objectivité n’est qu’affaire de prisme.

Tableau de bord

  • Premier article le 28/11/2006
  • Modérateur depuis le 17/04/2008
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Derniers commentaires



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 27 octobre 2008 13:13
    Tout juste ! Ca valait bien le « Ils n’ont pas de pain ? qu’ils mangent de la brioche ! » attribué à Marie-Antoinette.


  • Mathias Delfe Mathias Delfe 27 octobre 2008 12:54

    Hello Bernard.

    J’écris plus haut qu’un auteur de SF serait mieux indiqué que Lagarde pour cornaquer Bercy. Mais Bernard Dugué aussi.
    Qu’attends-tu pour te mettre sur les rangs du remplacement, prévu en janvier à ce qu’on raconte ?
    De toute façon, même si tu faisais fausse route, ça n’aurait aucune importance, vu que tout se passe dans la vraie vie où il y a l’économie réelle, alors... Bon job, bien payé, aucune responsabilité en réalité, une affaire à saisir !
    Faut juste cotiser à la mafia.



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 27 octobre 2008 12:42
    Si on considère l’étiage comme une référence moyenne basse analogiquement avec le cours d’une rivière, celui de l’euro devrait se situer idéalement au niveau du dollar. Mais à quoi bon l’euro s’il a la même valeur que le dollar ? et comment évaluer ce dernier s’il n’y a plus d’autres références (hormis le yen –et encore- toutes les autres monnaies sont en fait des monnaies de singe, personne n’en veut dans son coffre-fort) ?
    A Bercy, il y a des milliers d’endives surdiplômées en costard anthracite, la plupart très correctement rémunérées, et toutes aussi brillantes pour se planter que leur propre ministre (un copain inspecteur des impôts –j’ai de curieuses fréquentations-qui y a fait un stage m’a assuré qu’il ne voudrait pour rien au monde bosser dans cet antre sinistre ravagé par l’esprit de sérieux, ajoutant avec un sourire « ça tombe bien, je n’ai pas le niveau d’incompétence souhaité ! »).
    Tout ce que savent faire ces bureaucrates sans intuition, c’est d’inventer des taxes sur tout ce qu’il est possible de taxer. Comme au Moyen Âge, quoi.
    Sarkozy, après qu’il aura viré le plus de crânes d’œufs possible, ferait donc bien de vendre Bercy à un fonds saoudien qui en fera une mosquée et de confier la gestion des finances publiques à un patron de supérette ou mieux à un auteur de littérature de science-fiction, ça sera plus efficace et beaucoup moins coûteux pour la collectivité.
    A l’heure qu’il est, envisager une croissance de 1% en 2009, c’est de la galéjade alors que la récession est plus que probable. Mais on ne peut pas dire ça aux Français ! Sont trop cons ? A en juger à l’étalon de leurs ministres, ça n’apparaît pas impossible...


  • Mathias Delfe Mathias Delfe 25 octobre 2008 12:57

    Salut Bernard.

    Oui, le keyneso-fordisme, c’est la grande trouvaille des sociaux-démocrates pour sortir le système de l’ornière. Moi, je veux bien ; ce qui me fatigue, c’est le discours en double lien qui consiste à affirmer que produire et consommer, c’est sale, mais qu’il faut le faire quand même parce que la survie de notre société en dépend.
    J’en ai ma claque de l’hypocrisie verte (et de tous ceux qui la récupèrent, de Sarko à Ségo) : taxer les produits les plus polluants, c’est faire rentrer du fric dans les caisses, ça ne combat en rien la pollution. Ces produits, il faut en interdire la production ou en accepter le risque.
    Les écolos devraient assumer leur radicalité, auquel cas je pourrais les suivre, sinon ils ne font que se comporter en agents du fisc d’un côté, en destructeurs d’emplois de l’autre sans proposer d’alternative crédible (non, tout le monde ne peut pas vivre et travailler en centre-ville historique et y circuler à bicyclette).



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 25 octobre 2008 11:53
    Salut Sisyphe.
     
    La crise financière n’est qu’une partie du problème qu’il est absurde de découpler d’une crise structurelle globale du modèle productiviste (au moins en Occident).
    Si on admet que la question des subprimes a été le déclencheur de la crise financière, il faut convenir –toute morale mise de côté- que c’est la défaillance des ménages qui a entraîné celle de leurs créditeurs, et la défaillance des ménages était (est) elle-même liée à l’accroissement du chômage ou de l’emploi à temps partiel.
    Pour faire simple, si GM ne vend plus de voitures, il licencie l’ouvrier qui les fabriquait, lequel ne peut plus rembourser sa maison.
    Même dans l’hypothèse d’un capitalisme moralisé par le contrôle social, avec des crédits à faible rendement parfaitement ajustés aux possibilités de chacun, pour que tout le monde s’en sorte plus ou moins bien les classes moyennes devront donc continuer à changer de voiture tous les 3-4 ans, de téléviseur tous les deux ans, renouveler leur garde-robe à chaque saison, etc… ce qui est aussi fondamentalement absurde que suicidaire à plus ou moins long terme.
    Ou alors il faut changer de modèle de société, avec pour phase première la remise en question de toute la dogmatique travail-production-consommation-accumulation et la réduction drastique des écarts de revenus, pour phase seconde la reconversion de millions de travailleurs à d’autres formes d’activité. Pas simple, dira-t-on en étant optimiste.
     
    PS : je fus moi-même membre d’Attac, mais entre une littérature éléphantesque (bien dans l’esprit scolaire de nombreux membres) grosse productrice de souriceaux morts-nés, le refus de se constituer en parti politique et les intrigues de palais à la tête d’une association au fonctionnement très vaguement démocratique, j’ai laissé tomber.
Voir tous ses commentaires (20 par page)


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