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mayla VdC

Un particulier sans aucun titre particulier

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Derniers commentaires



  • mayla VdC 10 octobre 2011 10:49

    Excellent article qui pourrait avoir beaucoup d’autres extensions, mais les livres de l’auteur :

    Dictature verte, 2050, et ceux qu’il ne manquera pas de nous offrir prochainement y pallient.

    Lorsqu’on sait qui se trouve à la tête de Arte, on peut sans risque de se tromper affirmer que ce document n’est qu’une infime partie de la triste réalité...

    Il devenait surtout nécessaire de lâcher un peu de lest, rassurer en quelque sorte, mais ne nous leurrons pas il y a SURTOUT tout ce qui ne nous est pas révéler et c’est la masse invisible de l’Iceberg....
    Principe de l’âne et la carotte !
    Dépêchez vous de la visionner, quoiqu’il est certainement prévu d’autres du même genre.
    Dans un sens ce document se veut « rassurant » malgré ce qu’il dénonce, souhaiter une reconnaissance de la planète comme dit dans l’article restera du domaine de l’utopie.
    La planète est propriété des multinationales parce que justement juridiquement elle n’appartient à personne, et nous sommes les serfs de ces propriétaires.

    http://videos.arte.tv/fr/videos/poudres_et_potions_de_l_industrie_alimentai re-4174122.html



  • mayla VdC 9 octobre 2011 18:47


    Par Gérard CHAROLLOIS, Président de la CVN, le dimanche 9 octobre 2011

    TEL 06 76 99 84 65

    L’excellente radio France INTER accueillit dans sa matinale du 4 octobre, un essayiste, Pascal BRÜCKNER qui publiant un livre de plus contre la « deep ecology » énonça les insignes griefs développés naguère par Luc FERRY dans son « nouvel ordre écologiste ».

    En France, il ne se passe guère un mois sans qu’un pamphlétaire fustige les écologistes qualifiés tour à tour de sado-masochistes prônant l’ascétisme, la contrainte, la rigueur, de catastrophistes phobiques, de nostalgiques de la « terre qui ne ment pas « , puis de farfelus obscurantistes adeptes de médecines parallèles.

    Examinons ici le premier grief et réservons le second, tenant à l’aspiration aux thaumaturgies exotiques à unprochain éditorial.

    Nous entendîmes notre pourfendeurs d’un jour proférer, lors de cet entretien unilatéral, que l’écologie était rejeton du pétainisme puisque le vieux maréchal réservait la voiture aux seuls notables et préconisait le velo pour le bas peuple !

    Quelle opinion nos concitoyens peuvent-ils se faire de l’écologie éthique et radicale en présence de tels amalgames délirants et d’une censure absolue ?

    Jamais, pas une seule fois, les médias n’invitent un représentant de cette « redoutable deep ecology » tant dénoncée pour son passéisme, son obscurantisme, sa volonté punitive et misanthropique.

    Pour ces contempteurs bénéficiant d’un monopole de la parole, notre écologie est un condensé de fascisme, de renaissance du péché originel, de volonté de culpabiliser l’humain nécessairement coupable d’être ce qu’il est, cupide, cruel, envahissant, bête et méchant.

    Bien sûr, un débat honnête, intelligible, contradictoire dissiperait cet embrumage des esprits.

    Mais nos écrits, nos idées, nos convictions ne sont pas réfutées, discutées, examinées. Elles ne sont que dénaturées et censurées.

    L’écologie biocentriste n’invite nullement à l’ascétisme, au repentir, au renoncement au bien-être, au confort, à une vie agréable, douce, pleine de satisfactions.

    Nous disons que l’hédonisme ne passe pas par une croissance quantitative infinie et indéterminée . Nous invitons à une croissance purement qualitative, à un mieux et non à un toujours plus, en particulier nous dénonçons la croissance démographique compromettant la qualité de vie des humains.

    Nous voulons sauver la biodiversité, laisser des espaces pour les espèces, respecter la sensibilité des êtres vivants,privilégier l’être sur l’avoir, le vivant sur le profit.

    Nous ne récusons pas les acquis des Droits de l’Homme, bien au contraire mais souhaitons leur extension aux Droits du Vivant.

    Dire que le spécisme est condamnable au même titre que le racisme, que l’humanisme n’implique pas l’anthropocentrisme, que vouloir réconcilier l’homme et la nature n’impose pas l’abaissement de l’homme mais son élévation jusqu’à ce haut degré de comportement enseignant le respect d’autrui, telles sont nos valeurs et convictions. 

    Qu’il y ait des écologistes phobiques, millénaristes, catastrophistes, regrettant le bon vieux temps, désireux de s’autoflageller au nom de l’austérité, en quête d’une vie rude et primaire n’a rien de spécifique.

    Les réactionnaires de droite adorent les sacrifices, la rigueur, le « sang et les larmes ».

    Les conservateurs antiécologistes, amis du CPNT, cultivent volontiers la peur des partageux, des pauvres, des étrangers, des délinquants, des homosexuels…..

    Il n’y a pas que certains écologistes politiques pour s’abreuver au puits insondable des angoisses humaines.

    Cela n’a rien d’original et il existe des sado-masochistes dans tous les courants de pensées et le catastrophisme ne définit pas l’écologie biocentriste.

    Pourquoi faudrait-il détester les hommes pour aimer la Nature ?

    Pourquoi leur promettre des châtiments pour changer le rapport au vivant ?

    Certains me diront :

    Parce que les hommes sont nuisibles et détruisent tout au nom de leur quête d’enrichissement et de leurs activités récréationnelles débiles et calamiteuses.

    Ce serait confondre l’humanité avec certains travers et perversions.

    L’humain n’est pas nécessairement un promoteur vorace, un fusillot borné, un beaufs avec un moteur greffé sous les fesses !

    L’humain est susceptible de muter de comportement et de devenir le meilleur ami du vivant.

    Ces humains existent :

    La preuve : je les ai rencontrés.

    Pour nos pamphlétaires amateurs il est plus facile de parler de peurs, de catastrophisme, de régression, que d’envisager de manière critique et sérieuse notre appel à l’empathie envers le vivant et notre volonté positive, constructive, réfléchie de sauver la nature.

     

    Gérard CHAROLLOIS, Président de la CVN, le dimanche 9 octobre 2011 - TEL 06 76 99 84 65


    CONVENTION VIE ET NATURE

    MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE

    POUR LE RESPECT DES ÊTRES VIVANTS ET DES EQUILIBRES NATURELS



  • mayla VdC 9 octobre 2011 14:25

    Entièrement d’accord avec cet Article, quelle que soit la façon d’utiliser l’animal à fin de le manger est une atteinte a son droit de vivre, qu’il soit d’élevage ou sauvage, de plus, l’être humain n’a été omnivore, voire carnivore que pour survivre et les études anthropologiques ont clairement démontré les maladies qui en étaient les conséquences directes, alors dire que l’homme moderne est un omnivore et qu’il doit manger de la viande est une absurdité, prière d’aller étudier son anatomie et sa physiologie..En raccourci, son organisme ne s’est toujours pas adapté à l’ingestion de la chair, à son métabolisme et catabolisme. 

    Son organisme ne la reconnait pas ; pour ceux à qui ces propos paraissent difficiles à comprendre est-t’il besoin de faire remarquer que tout animal est adapté à son environnement et principalement à la nourriture dont son espèce à besoin pour vivre et se reproduire.

    J’ai beau regarder les humains je ne leur vois toujours pas après des millénaires d’omnivorisme l’apparition de crocs pour déchiqueter, de griffes acérées pour saisir ses proies, sa course en tant que bipède en fait plus une victime qu’un prédateur, son intestin beaucoup plus long que celui d’un carnassier, ses fluides de digestion insuffisants et d’une autre qualité que ceux des carnivores , bref, l’homme n’est pas conçu ni adapté pour se nourrir de viande..les lois de l’évolution en ce qui le concerne semblent l’avoir oublié.
    Je n’omet pas au passage de faire remarquer que les carnivores ou carnassiers sont les éboueurs de la nature et non les rois de la création, leur rôle est de réguler et de maintenir une faune en bonne santé et d’éliminer les cadavres.au même titres que de nombreux insectes nécrophages ou carnivores. Rien à voir avec l’homme.quoique ...

    Demeurer à l’écart des dépendances est relativement facile quand celles-ci ne nous ont pas été inoculées dès notre plus jeune âge.
    Or, un carnivore l’est depuis longtemps, souvent depuis la naissance.
     Difficile de sortir d’ une éducation de préjugés (et) ou culturelle ’alimentation en faisant partie..

    L’animal ressent la souffrance . Sentiments et d’émotions, existent tout comme l’être humain. seules leurs manifestations diffèrent. 
    Une autre différence se situe au niveau du cerveau de l’Humain qui est un peu mieux organisé, capable d’abstraction et de projection mais ça s’arrête la.

    Entre l’instinct et la sensation, il y a seulement une différence de langage. ; 
    Aimer n’est certainement pas une exclusivité humaine.
    Et comme c’est dit dans l’article, si l’approche de la mort stress l’animal à son paroxysme les conditions d’élevage elles même.sont inadaptées ou intolérables voire sont même de véritables tortures nuit et jour..
    Quand je pense qu’on nous bassine avec des lois minimalistes sur le bien-être animal on est encore très loin du compte, et comme il y a fort à parier que les droits des animaux ne verront jamais le jour, c’est l’élevage dans sa totalité qui doit être supprimé.

    Pour ceux qui font des études pour devenir (je ne sais plus comment les appeler) agriculteurs, éleveurs, techniciens de la campagne et de la Terre, il est possible de choisir la filière dite « bio » naturelle, en évacuant l’élevage alimentaire.si ce n’est pas possible il faut pouvoir l’exiger. Le rôle des députés européens écologistes non ?

    L’élevage des animaux est également un gaspillage écologique, en plus d’une quantité de
    souffrance exorbitante infligée à l’animal. En effet, chaque kilo de viande produit l’a été avec
    au minimum 20 fois son poids en végétal (dont 7 à 16 kg de soja ou de maïs) 2, 10 fois en
    moyenne son équivalent en protéines végétales, 7 fois en moyenne l’espace agricole utile. 

    Plus simplement : « On prend le grain des pauvres pour nourrir la vache du riche ». 

    Quant à ceux qui usent et mésusent du « cri de la carotte », Il y a un bon moyen de réduire l’hypothétique souffrance des plantes c’est de les manger directement, plutôt qu’en les donnant à manger en quantités décuplées. à du bétail. ou transformées, additionnées de quelque formule chimique et conditionnées sous forme de granulés dont la composition reste secrète, (on voudrait bien savoir pourquoi n’est-ce pas...) alors pensez que vous devenez ces granulés, et que vos chairs récupèrent en plus des toxines de la viande elle-même, les saloperies contenues dans l’alimentation animale..

    On peut ajouter quelques chiffres édifiants qui prouvent un gaspillage non négociable :
    - Environ 100L d’eau sont nécessaires pour produire 1kg de végétal alors qu’environ 2000 à
    3000L d’eau sont nécessaires pour produire 1kg de viande 
    - Aux états-unis, 80% des cultures sont destinées à la nourriture des animaux et 90% du soja mondial est destiné à l’alimentation des animaux 
    Cela illustre que le végétarisme peut également s’appuyer sur des raisons écologiques ou même paradoxalement sur la défense des végétaux.

    Nous nous justifions et plaignons que ce monde est cruel, mais nous nous autorisons 
    aussitôt à y participer dans des proportions beaucoup plus importantes. 
    Nous surenchérissons dans la cruauté. à croire que, si elle n’existait pas, nous l’invente-rions ; nous le constatons en tant de guerre et même au quotidien, dans nos rapports aux autres principalement vis-à-vis des plus faibles, et de plus en plus à l’abri derière un écran, cependant en tant qu’êtres humains conscients et intelligents nous devrions la combattre qu’elle qu’en soient ses manifestations.
    Tuer en étant conscient de faire souffrir est une déviance qui n’a aucune d’excuse.

    À la différence des animaux obligés de vivre selon les règles de leur espèce, l’homme est capable de faire pousser des plantes pour s’en nourrir
     De plus, l’homme est conscient de faire souffrir, ce qui est pire que de tuer sans le savoir ; il n’a donc guère d’excuse ; il n’est pas obligé de tuer. surtout que rien ne manque dans nos société pour une alimentation propre et indemne de souffrance, car n’oublions jamais que nous devenons ce que nous mangeons.
    L’homme préhistoirique et l’homme dit « civilisé » aujourd’hui polissé en surface, n’ont en réalité qu’une seule différence qui se situe au niveau du confort, mais sa mentalité est restée la même voire pire via ce confort. et le superflu à tout prix, de préférence facile.
    .
    L’exercice d’insensibilisation à la douleur d’autrui commence dès l’enfance. 
    Pour l’enfant, il est incompréhensible de manger et d’aimer l’animal, logique naturelle et ineffable. Mais comment un petit enfant peut-t’il savoir que le steak ou le jambon qui accompagnent sa purée OGM est un animal ? et on ne s’avoue pas pourquoi on ne le lui dira pas . 

    La société empêche ainsi les réflexes altruistes naturels qui la déstabiliseraient .
    Or, à cet âge, on ne peut juger nous sommes sans défense et nous adoptons et acceptons les comportements les plus proches.. 


  • mayla VdC 9 octobre 2011 12:29

    Vous avez d’autres stupidités dans le genre ? Les chansonniers au moins étaient drôles



  • mayla VdC 8 octobre 2011 10:52

    Entièrement d’accord, sauf pour le mentir à soi-même...Dans la plupart des cas, il s’agit d’offrir l’image ou la vitrine qui permet d’être accepté, dans un groupe, par les autres ou l’autre, c’est en ce domaine comme pratiquement en tout.

    Mais ou donc est l’authenticité, la véritable ? de celle qui allie la vérité de soi avec son éthique ?

    L’authenticité...mais qu’est-ce que c’est ? un vilain mot ?
    mais non l’authenticité c’est pour la majorité être naturel dans le sens le plus simple et le plus facile, de faire ce que tu veux quand tu veux, avec ce que tu veux, qui tu veux la ou tu veux, avec le plus d’animalité possible puisque nous sommes des animaux....surtout n’en rien renier ni diriger ni maîtriser...laissez faire, suivre ses tendances...puisqu’elles sont naturelles !
    et fi des autres, du respect qu’on leur doit, notre nombril seul compte, mais comme on a cru comprendre que le bio c’était quand même mieux à certains points de vue, et bien on se déclare écolo parce qu’on observe quelques petites contraintes, histoire de se dire qu’on est mieux que les autres, parce que nous on sait et que c’est gratifiant de le faire parce que cela permettra de critiquer ceux qui n’auront rien compris, qui ne savent pas et qui ne veulent pas savoir, et puis on sera très fier d’avoir participé, de s’auto-proclamer : Ecolo = mieux que les autres
    Pour ce qui est de Pascal Bruckner il n’y a là rien d’extraordinaire. Ce personnage fait partie d’un groupe intellectuel « de penseurs » qualifié de néoconservateurs fondé par Michel Taubmann suite au 11/11/2001 et nommé le cercle de l’Oratoire

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Cercle_de_l’Oratoire


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