@jpm bis « Je pense que ceux qui ont vu leur portefeuille perdre le quart de sa valeur en a peine deux semaines sont deja bien punis » il ne s’agit là d’aucune punition : quand on va au casino on risque de tout perdre ! (le risque est rémunéré par le taux d’intérêt ou le dividende servi) alors faut assumer
@jpm vous écrivez : « en finance il y une règle immuable, c´est que le rendement va avec le risque » Si votre phrase s’appliquait à la finance alors la finance aurait du encaisser le risque des actifs toxiques qu’elle a disséminé sous forme de produits dérivés dans le monde entier provoquant la crise systémique. Or que s’est-il passé ? en 2008 les états ont sauvé les banques selon le principe bien connu du « privatisons les bénéfices et nationalisons les dettes » ! Alors quels risques prennent les « investisseurs-spéculateurs » ? aucun ! Quand ils font des c... l’état les sauve alors pourquoi se priver ? alors les gogos qui ont acheté ces actifs pourris n’ont qu’à réaliser leur « risque » puisqu’ils ont bien profité des dividendes quand « tout allait bien » !
Il faudrait faire la distinction entre les riches : parmi eux il y a effectivement un certain nombre qui gagnent bien leur vie en faisant un travail, puis d’autres qui sont des rentiers et vivent aux crochets de la société. Il s’agit de faire rembourser la dette à ces parasites (qu’ils soient riches ou pas : combien d’entre vous ont des assurances-vies ou autres PEA et demandent un rendement hallucinant et déconnecté de l’économie réelle ? en pensant s’engraisser à rien foutre ?
Bof le débat technique c’est pas ma tasse de thé. Mais c’est tout de même bien tombé ces attentats pour sidérer la population et faire passer des lois liberticides et anti-démocratiques par les néolibéraux, selon le processus bien connu de la stratégie de choc démontrée brillammaent par Naomie Klein. Puis les flacons d’armes de destructions massives secouées à l’ONU par Cheney pour convaincre de la nécessité d’envahir Irak c’est tout de même bien dans leurs méthodes. Alors pourquoi pas la théorie du laisser-faire : ce sont tout de même tous des adeptes de la main invisible