Merci à l’auteur. J’aime cet article. J’ai toujours vécu avec les chats, et quand j’en trouve un à la rue, je m’arrête pour lui chercher à boire et à manger. Quelle que soit mon occupation du moment. Au besoin, je le soigne, si jamais il me laisse faire. Et je regarde très longuement tous les animaux domestiques quand il m’arrive d’en voir, vaches moutons, chèvres, chiens, boucs, et surtout les femelles avec leurs petits. ET mes plongées dans leur regard sont pour moi des moments de profonde méditation qui me procurent beaucoup de sérénité. Rarement, les humains m’ont autant fasciné.
Tout cela sent la provocation à plein nez. Ou de la diversion. QUELLES QU’EN SOIENT L’ORIGINE OU LA PROVENANCE. Il n’y a aucun doute là dessus. Une enquête est superflue.
Il y a des menaces plus graves, réelles celles-là, urgentissimes sur lesquelles on veut détourner l’attention des populations : chômage, précarité, baisse des revenus et au bout du compte la facture de la crise présentée par les politiciens liés aux banksters, notifiée à la mauvaise adresse, c’est à dire, vous autres, nous autres.
Avec mon profond respect à tous les emblèmes nationaux, sans exception aucune.
Hé là, Kronfi. Le Hamas n’occupe pas Gaza. C’est la population de Ghaza qui a voté régulièrement pour le Hamas et qui a élu une majorité de députés Hamas. Dans des élections tout ce qu’il y a de libre et de contrôlé par des observateurs étrangers (européens, américains, Onu et tout et tout). Et le blocus de Gaza a été institué pour faire pression sur le peuple de Gaza et pour punir la population d’avoir voté Hamas. Aujourd’hui, il s’avère même qu’Israël a décidé le blocus en soutien direct au gouvernement fantoche de Mahmoud Abbas. Si les ghazaouis ne voulaient plus du Hamas, ils s’en seraient débarrassés depuis longtemps. ALors, ne vous érigez pas aussi en porte parole des gens du coin : ils savent très bien où réside leur intérêt
@ C’est quoi, çà, Lucilio ? Vous y allez un peu trop fort... C’est abusif de votre part. Prendre de tels calculs micro-économiques pour arguer d’un échec des énergies renouvelables... c’est passé de mode, je ne sais pas si vous vous en êtes aperçu. Je suis mal à l’aise en lisant votre article qui condamne des expériences qui n’ont pas fait leurs preuves. Par contre, le pétrole et le nucléaire ont fait leurs mauvaises preuves, en incluant les coûts en vie humaines, en destructions des ressources, (en pertes de ressources pour cause de pollution pour l’éternité ou de longs siècles ou millénaires) des pollutions pétrolières et nucléaires, des coûts supportés par les nations et les populations. Il faut bien prendre ces coûts en considération : ce n’est pas parce que les entreprises ne les payent pas que les politiques (ou les journalistes) sont dispensés de les faire.
On peut bien être d’accord avec vous, AUX SEULS PLANS DES ENTREPRISES ET DU TRÈS COURT TERME. Mais à long terme et aux niveaux macroéconomiques, vos arguments tombent à plat. Un exemple : si la France décide de recycler tous ces déchets ménagers pour en faire, disons, du compost, (sans parler de la récupération du méthane) : voilà donc quelques bonnes dizaines de millions de t d’engrais naturel (pris sur le total de plus de 860 millions de t de déchets) pour la terre agricole française, qui ne foutra plus le camp en ruissellements (par centaines de millions de t annuellement). donc plus d’engrais azotés, plus d’engrais phosphatés. C’est tout bénéfice pour l’agriculture et la terre qui se régénère et même pour les nappes d’eaux qui seront infiniment moins polluées. donc, moins de coûts d’épuration de l’eau, moins de maladies, moins de dépenses des santé. Et peut être à la clé, plus déficit de la sécurité sociale. Bien sûr, l’électricité d’origine nucléaire coûte moins cher à produire ACTUELLEMENT ET DANS LES CONDITIONS ACTUELLES SEULEMENT et, en cherchant bien, on peut en produire encore à bien moindre coût : mais à quel coût de pollution et de risques d’accidents génocidaires ? Tout çà avec l’impasse sur les principes de précaution, en utilisant des technologies qu’on ne sait pas maîtriser en cas d’accident. Morice nous apprend que lors de l’accident nucléaire du Three Mile Island, les américains n’avaient pas de plan d’évacuation de la population de la ville voisine qui l’a miraculeusement échappé belle parce que le coeur du réacteur avait fondu et a frôlé la grande explosion : la CATA. LA TOTALE Tout çà avec l’impasse sur les dépenses de sécurité : Savez vous que la pollution du Golfe du Mexique aurait pu être évitée si Bp n’avait pas voulu rogner sur un demi million de dollars en installations de sécurité supplémentaire ? Ce que je trouve encore bien plus minable et qui me soulève le cœur, c’est que la presse s’empresse de publier régulièrement ce que l’accident a coûté à BP, en pauvres dollars.