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Citoyen français, 48 ans
Tendance politique : post-libertaire, pré-collapse

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  • molloy molloy 12 janvier 2009 12:37

    Restez calme, tout va se passer.

    Comme chantait un ex-Beatles, "All things must pass" mais il n’empêche que cela peut passer d’une manière fort peu agréable. Le stoïcisme rencontre parfois certaines limites.



  • molloy molloy 18 décembre 2008 12:45

    Après le démantèlement de l’industrie française, qu’à t-on proposé aux travailleurs ? Des emplois dans les services, bien moins qualifiés et sans aucune perspective de gravir les échelons.

    Depuis quelques années, ces emplois commencent à disparaître à leur tour. Que nous proposent désormais nos dirigeants ? Des emplois de service à la personne, de quelques heures et rémunérés à coups de lance-pierres. 

    Il y a trente ans, on avait des ouvriers très qualifiés, quinze ans plus tard, ils étaient devenus employés toutes tâches, corvéable à volonté. Aujourd’hui, on nous suggère de passer au larbinage. Le rétablissement de l’esclavage est proche. 

    Afin de noyer le poisson, Sarko (et avant lui Chirac) n’a qu’un leitmotiv pour nous, pauvre gogos : créer des emplois à haute valeur ajoutées dans la recherche et le développement est une priorité pour le gouvernement. Les budgets de la recherche publique mais aussi privée n’ont jamais été aussi bas depuis un demi-siècle. Les américains mais également les chinois et les indiens nous taillent des croupières en investissant massivement dans la recherche fondamentale et appliquée.

    Non seulement, Ils se foutent de notre gueule mais ils le font avec le sourire.



  • molloy molloy 16 décembre 2008 19:54

    Jourde et Naulleau tirent la plupart du temps sur des ambulances. Je n’ai jamais compris comment on pouvait être assez téméraire pour lire des gens comme Angot, BHL ou Beigbeider sans tomber gravement malade ensuite (liste non exhaustive...loin s’en faut).

    Si en plus, on doit se taper l’éxègèse de ces sinistres tâcherons, non merci !





     



  • molloy molloy 9 décembre 2008 12:46

    Excellent article. Merci de cet éclairage instructif.

    La Chine, dont la bonne santé dépend principalement de ses exportations, va subir de plein fouet la forte baisse de la demande mondiale mais également un effondrement de son offre. Son marché intérieur n’étant encore qu’un voeu pieux, la tentation sera grande d’exacerber le nationalisme de sa population en guise de compensation et afin de maintenir la cohésion de son régime politique.
    Les attaques dirigées en ce moment contre la France constituent certainement un avant goût de ce qui pourrait devenir dans les mois qui suivent sa nouvelle ligne de conduite. A sa décharge, elle ne sera pas la seule nation à être tentée d’utiliser cette arme dangereuse pour la stabilité du monde.



  • molloy molloy 1er décembre 2008 21:38

    Continuer à alimenter les banques en argent frais sans connaître le montant réel de leurs actifs pourris est une grossière erreur. A peine le plan Paulson s’applique qu’il est déjà caduc et que la réserve fédérale s’apprête à mettre 800 milliards de plus sur la table. Le tonneau est percé, non ?

    Qui contrôle l’information contrôlera la crise financière. Malheureusement, la complexité du monde moderne, de ses échanges financiers et des phénomènes économiques globaux ont rendu cette hypothèse totalement inaccessible même aux plus grandes institutions mondiales, du G20 à l’ONU.
    Trop d’acteurs, au mieux inconscients, pour encore plus de paramètres à digérer trop rapidement. Ces centaines (bientôt des milliers) de milliards déversés sur les établissements bancaires ne serviront qu’à nourrir un temps l’illusion que la planète se remettra à tourner dans le bon sens et qu’on pourra reprendre les choses là où nous les avions laissé.

    Nous pourrions tout du moins préparer l’après-crise pour éviter de sombrer dans une situation encore plus chaotique qu’elle n’est déjà. Nos dirigeants refusent d’entendre raison et se contentent de repeindre les murs pour cacher les fissures. J’ai la triste impression que d’ici peu, ils seront contraints de démolir la maison, à moins qu’elle ne s’écroule avant.

    Les californiens attendent avec appréhension le "big one". Je crois qu’il est déjà là.

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