@alinea Ce que vous dites n’est pas entièrement faux mais j’ai toujours eu un problème avec les gens qui disent qu’on est une « vieille âme », ou qu’on est de plus en plus à « être reliés ». On m’a déjà fait le coup plus d’une fois, c’est toujours sympa d’entendre ce qu’on a envie d’entendre, mais cela reste pour moi le meilleur moyen d’être manipulé, donc prudence.
Ce que dit Gollum est très sage, cela ne sert pas à grand-chose d’ajouter du mal au mal dans le but de combattre le mal, même s’il est humain de nos jours de ne pas voir d’autres issues. Grandissez le bien en vous-même, c’est le mieux que l’on puisse faire en ce monde.
@Christian Labrune Évidemment que vous n’avez pas le temps de m’expliquer, il est impossible de contredire le simple fait que l’homme programme des machines quelque soit la pirouette sophiste que vous voudriez bien utiliser. Vous attaquez mon image en me qualifiant d’ignorant pour « gagner » le débat, c’est simplement de la manipulation, en aucun cas un argument. Donnez-moi donc vos arguments que je les démonte, si tant est que vous ayez compris ce que vous avez lu dans vos bibliothèques préférées.
@Christian Labrune Ha ha ha ha ha !!! Si votre blague est ironique elle est excellente, sinon excusez-moi mais vous m’avez bien fait marrer ! Alors pour ceux qui y croient :
Comment pouvez-vous imaginer que l’homme puisse créer quoi que ce soit de plus intelligent que lui-même ??? C’est aberrant ! Mais vous allez me rétorquer que les humains les plus intelligents vont créer une bonne intelligence artificielle qui sera supérieure à la majorité des humains ! Mais comment avez-vous jugé l’intelligence des-dits êtres humains supérieurs ??? Avec la « connerie humaine » majoritaire ? Eh bien oui c’est bien avec cette connerie là ! Exit l’intelligence artificielle bénéfique qui ne tient sur rien d’autre que sur la « connerie humaine ».
Et quand on réfléchit sérieusement à ce à quoi correspond l’IA dont nous parlent de braves scientifiques avides de financement, on se rend vite compte que dans le fond il n’y a rien d’intelligent, la machine ne peut rien créer de plus que ce que l’homme l’a programmé à créer, aucune connaissance, aucune œuvre, rien. Ce n’est rien de plus que de l’étude de graphe toute cette histoire, faut bien quelqu’un pour conceptualiser ce putain de graphe pour écrire les algo qui vont avec. Il n’y a rien de nouveau avec l’IA, la meilleure chose qu’on puisse en tirer c’est une aide à la décision, et encore si tant est que le décideur n’oublie pas qu’un tel algo n’est décrété IA que parce qu’il est incapable de couvrir le graphe dans sa totalité, un algo est par définition un choix prédéfini dans la façon de couvrir le graphe. Bref vous êtes marrant.
@Mélusine « Le mot solitude dans la perception sociale est généralement péjoratif. »
Nous discutions justement (et à juste titre) de la positivité de réduire les relations sociales, et donc nous étions en train de remettre en cause la-dite perception sociale. Vous n’aviez donc pas compris notre propos. Je réitère : hors-sujet. Le reste n’est que jugement sentimental qui ne regarde que vous, et la pathologie des uns ne justifie en rien la pathologie des autres.
@Gollum Cela explique ses commentaires impertinents, mais permettez-moi de vous avertir : si Mélusine vous chasse à ce point, il est encore possible qu’elle redouble d’efforts pour avoir votre attention.
@Mélusine ou la Robe de Saphir. Je pense que vous n’avez pas compris mon propos car vous êtes un peu hors sujet ici. Quel est le rapport entre la nécessité de la solitude pour être sincèrement équilibré et le fait que la solitude puisse cacher de la souffrance ? Dois-je plaindre quelqu’un ? Quelqu’un ici manque-t-il de reconnaissance ou d’une attention paternaliste ? De plus qu’est-ce qui vous permet de dire que le mieux est de faire comme avec la respiration ? C’est un jugement assez personnel de votre part, comme votre commentaire sur le « chien méchant peint sur la porte ».
@rosemar Pour éclaircir le propos il faudrait ici faire la distinction entre qualité et quantité. « Ça grouille » de contacts superficiels sans aucune qualité, alors qu’avec la solitude dont parle Gollum, l’occasion se présente alors d’approfondir quelques rares (tout est relatif évidemment) relations et de tendre alors vers la-dite qualité que peuvent nous offrir celles-ci. On a tous à choisir entre qualité et quantité. Il est essentiel de comprendre, et en ce sens j’abonde dans le sens de Gollum, que la solitude est inévitable pour un équilibre sain pour la simple et bonne raison que sans elle on ne peut pas se trouver soi-même — et c’est précisément ce qui effraie ceux qui fuient la solitude. Et si on ne se trouve pas soi-même, que partage-t-on avec les autres ? Seulement des masques et des illusions.