Les réactions à mes billets sont fréquemment
des cris du cœur opposés à ce que j’ai dit. Or, bien souvent ils n’ont pas n’a
pas été lus avec soin. Je les écris surtout pour enrichir la connaissance.
Cet article est un article de
recherche et non un dictat. Les auteurs après analyse de tout ce qui existe
déjà proposent les aires nécessitant une « attention à conserver ». Une
attention à conserver cela peut être une simple éducation du public. Je prends
un exemple, supposez que vous marchiez sur un sentier de montagne et que sur ce
même sentier traverse une limace ; vous pouvez, parce que les limaces ne
vous plaisent pas, l’écraser ; c’est
une action volontaire négative. Vous pouvez l’écraser parce que vous ne
l’avez pas vue, c’est une action involontaire mais aussi négative. Vous pouvez
ne pas l’écraser parce que vous n’avez pas vu la limace mais votre pas s’est
posé par bonheur à côté d’elle, cette action est involontaire positive. Enfin,
en marchant, vous avez vu au dernier moment la limace que vous alliez écraser
mais vous avez retenu votre pied pour l’éviter, c’est une action volontaire
positive, c’est aussi une attention à conserver la limace.
Les aires à
conserver seront ce que l’on en fera ; si des décisions administratives trop
contraignantes en font des territoires réservés, cela ne marchera pas. S’il s’agit de lieux où l’on a pris conscience simplement par l’éducation de respecter le nature cela pourra marcher.