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Monolecte

Monolecte

Poil à gratter du web depuis 2003 !

Tableau de bord

  • Premier article le 05/12/2006
  • Modérateur depuis le 04/01/2007
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Derniers commentaires



  • Monolecte Monolecte 3 juin 2018 10:03

    Toujours plus loin dans le foutage de gueule : les élèves ont reçu la consigne de leurs professeurs de ne pas utiliser l’appli mobile de Parcoursup parce qu’elle peut, entre autres joyeusetés, oublier tes validations, effacer tes vœux voire carrément te mettre démissionnaire. Bien sûr, ceux qui ont des profs moins consciencieux ou informés n’en savent rien !

    Si l’Académie de Versailles concède un problème de forme sur l’application, le ministère de l’Enseignement supérieur, lui, reste droit dans ses bottes et défend l’appli qu’il a mise au point : « Il n’y a pas de bug avec Parcoursup. Il n’y a pas de problème avec l’application mobile, nous assure-ton, un brin tendu. Lorsqu’il y a des bugs, le plus souvent, se sont des élèves qui font les erreurs ». « Tout va bien, insiste-t-on. Nous avons vérifié et re-vérifié. Il s’agit de cas isolés et nous nous tenons à disposition des candidats s’il y a le moindre problème ». Et les services de Frédérique Vidal d’assurer que ces problèmes de vœux et d’étudiants mécontents ont été réglés « aussi vite que possible ».

    Galère Parcoursup : et maintenant, l’appli qui fait disparaître les voeux !



  • Monolecte Monolecte 4 avril 2018 11:46

    @knail
    Tu as des sources sur les coopératives de recouvrement ?



  • Monolecte Monolecte 4 avril 2018 11:38

    @knail
    Merci d’avoir si bien compris mon propos !!!



  • Monolecte Monolecte 3 avril 2018 13:08

    @Alren
    Les artistes, c’est un peu plus vaste comme univers que les vendeurs de croutes en galerie.

    Il y a, par exemple, les auteurs de livres, illustrations ou BD. La plupart du temps, les clients directs sont les maisons d’édition. Et là, ça ne joue plus du tout le jeu : clauses léonines, à valoir complètement anémiques quand il en reste encore et % devenus totalement ridicules.

    Il faut bien comprendre que le modèle économique de l’édition repose principalement sur la spoliation des créateurs. Généralement, c’est l’auteur, celui qui a créé tout de même l’œuvre, la matière première, qui y a a passé le plus de temps, qui se retrouve tout en bas de la file d’attente du ruissèlement du fric des ventes. Rien que le libraire, il se prend 30 % du prix du livre. OK, il a ses charges et tout ça. Mais tout le monde prend sa part, tout le monde se fait son petit salaire, ses petites vacances, son petit profit et l’auteur, s’il vend bien, il n’aura même pas de quoi remplacer son ordinateur.

    Et je ne parle pas des expositions qui font payer les exposants, des salons qui réclament 12 h de présence/jour sans un flèche de dédommagement, des administrations publiques (y compris des ministères) qui se font des fonds photographiques ou des logos à partir de concours payés en remerciements.

    Ça se vend bien, l’art, dans ce pays, sous toutes ses formes. Mais comme pour le reste, ça ne ruissèle pas jusqu’au travailleur qui le produit, c’est entièrement récupéré par les intermédiaires.



  • Monolecte Monolecte 3 avril 2018 12:57

    @oncle archibald
    Je ne vois pas où est l’os. Ce que je dénonce, c’est quand des gens veulent une œuvre ou son usage et ne veulent pas payer pour cela, parce qu’il y a justement l’idée reçue qu’un artiste vit misérablement et se paie en poignées de main et tapes dans le dos.

    Si les gens n’aiment pas ce que je fais, c’est ok pour moi. Ici, le propos, c’est quand les gens veulent le pain et ne veulent pas en payer le prix. S’ils trouvent que le pain est trop cher, ils vont ailleurs, mais ils ne vont pas faire de chantage aux bons sentiments pour en avoir quand même, surtout s’ils ne le trouvent pas si bon que cela.

    Personne n’arrive en fixant son prix chez le plombier ou le boulanger.

    Dans la même optique des producteurs dévalorisés, il y a les paysans (et non pas forcément des exploitants, dont certains produisent quand même de la merde en toute conscience) isolés soumis à un marché extrêmement concentré et organisé.

    D’ailleurs, les paysans aussi s’organisent et préfèrent commercialiser eux-même leur production auprès de particuliers qui l’apprécient que de la brader sous le prix de revient à des coopératives totalement financiarisées…

    Dans mon cas, ce qui me fâche, c’est quand quelqu’un veut le fruit de mon travail, refuse d’en payer le prix demandé (ok pour moi, tu as le droit de ne pas penser que mon prix est juste), mais utilise ensuite des tas de manœuvres pour quand même avoir mon travail, sans me filer une juste rétribution. Comme quoi, mon travail ne serait pas si pourri que ça, puisque le gars ne va pas chercher ailleurs. Mais s’il a décidé de son modèle économique était de se faire du pognon sur mon dos, il peut aller se faire bouillir le cul.
    Voilà.

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