Vous confondez les boutiques diététiques ou ésotériques avec les épiceries BIO. Allez dans les BIOCOOP, même si ça n’est pas parfait, vous aurez des produits locaux, des produits équitables, quelques rayons de produits santé, livres, bien-être et une ambiance autre que celle d’un Hyper ou Super. Il faut encourager la bio et la consommation locale distribuée par des paysans courageux qui se mouillent pour produire le plus propre possible. Mais la bio n’est pas produite sous cloche de verre. De toute façon l’avenir est là, pas dans l’agro-industrie qui tue le monde à petit feu. Globalement la bio ne coûte pas plus cher parce qu’au fur et à mesure le consommateur bio change sa façon de consommer et de manger. Plus de produits frais, pas de plats préparés, c’est la santé et il faut persévérer. Méfions-nous des marchands du temple et utilisons notre cervelle pour séparer le bon grain de l’ivraie et ne pas se laisser berner par des magasins qui surfent sur la vague bio pour faire du pognon. A bon entendeur, salut. Michel
Lisez cela, peut-être allez vous dire que ces chiffres sont truqués ? Ce qui freine les épidémies c’est l’amélioration des conditions de vie, l’hygiène et l’amélioration de l’immunité individuelle.
La vaccination s’appuie sur les travaux de Pasteur. Des spécialistes ont tenté de reprendre ces travaux... impossible ! Ils sont tous bidonnés et non-reproductibles, comme le veut toute expérience à caractère scientifique. Alors que dire de ce qui se passe actuellement et depuis que l’on vaccine à tour de bras ? On nous empoisonne, on nous casse l’immunité par l’injection de substances non-reconnues par nos organismes ce qui provoque des réactions plus ou moins violentes selon les personnes, puisque nous sommes tous différents en particulier sur le plan immunitaire... et pourtant ils collent à tous ceux qui le veulent le même « bouillon ».
Et pourquoi cette dualité, créationistes/évolutionistes, ne pensez-vous pas qu’il pourrait y avoir une 3 ème voie moins sectaire ? Que pensez-vous du chainon manquant dont on parle parfois mais qui sert surtout à noyer le poisson et à éviter d’aller plus loin dans la réflexion ?
Je constate encore que le thème de l’emploi suscite des réactions émotionnelles vives et que le débat n’est pas facile dans ce domaine non-plus ! En fait je pense et je constate tous les jours que chacun voit les problèmes autour de l’emploi avec ses yeux, selon la position qu’il a : salarié comme employé, cadre, heureux ou malheureux au travail, ancien chômeur, salarié n’ayant jamais été au chômage, employeur, etc. L’égo est très important quand on parle de l’emploi : « Moi je ne suis pas un fainéant ! » Sous-entendu, ceux qui ne bossent pas le sont... ; « Il y a du travail pour ceux qui veulent en chercher ! » Sous-entendu moi j’en ai et je fais partie de ceux qui ont réussi... Les exemples ne manquent pas pour dénigrer ceux qui n’ont pas d’emploi.
Quand on observe le phénomène du chômage de l’intérieur en cotoyant ou en aidant les chômeurs, on peut avoir une autre vue, une autre opinion.
Il ne s’agit pas de dire qu’il n’y a pas de fainéants parmi les chômeurs, mais sûrement pas plus que dans la population active.
La situation de chômeur est difficile, sur le plan personnel, psychologique, social et souvent la personne se sent coupable, en perte de confiance, désarmée.
Alors il faut prendre de la hauteur et ne pas généraliser.
Par exemple les emplois non pourvus en France sont la plupart du temps des emplois peu rémunérés, aux conditions de travail déplorables et précaires, ... ceux qui refusent de les prendre ont souvent déjà travaillé dans ces secteurs et n’en veulent plus, n’en peuvent plus !
La précarité augmente avec l’intérim et les contrats courts ou saisonniers et certains chômeurs ne travaillent que comme cela depuis des années : comment les critiquer !
Bref il y a les bla-bla autour de l’emploi et la réalité que côtoient les chômeurs passagers et récidivistes et les travailleurs de l’emploi.
Malgré tout, toute expression dans le domaine est importante et doit être respectée.
Merci.