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N.E. Tatem

N.E. Tatem


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  • Premier article le 28/12/2006
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Derniers commentaires



  • N.E. Tatem N.E. Tatem 6 mars 2008 16:50

    Bonjour à tous.

    J’ai jugé nécessaire de rajouter ce post qui renferme un constat non négligeable.

    Si la chance est ouverte aux citoyens de pratiquer, dans le sens d’exercer librement ce métier sans prétendre à salaire de contrepartie, la forme de journalisme en ligne et de répliquer aux articles qui y sont mis en ligne, ainsi qu’à tous les autres médias occupant l’invironnement, elle leur élargit leur propre milieux et leur rajoute des contacts. Comme cela se passe assez souvent désormais pour les citoyens qui brisent leur solitude par cette voie.

    Je pense maintenant, aujourd’hui, plus que par le passé que lectorat dans cette nouvelle sphère est totalement différent de celui des cadres classiques de presse. Parmi ces derniers certainement la télé occupe le haut du podium, suivi par les radios. C’EST CARREMENT UN NOUVEAU LECTORAT, LE MOT CONSOMMATEUR est déplaisant du fait qu’il soulève la voracité des commerçants...

    Sur le web, la bifurcation vers l’info des organes tels que AGORAVOX, outre le cercle des habitués, une certaine conquête du lectorat de haute importance déferle de la quête du renseignement sur les moteurs de recherches institués par Internet. C’est ici que s’effectue cette rencontre avec un nouveau lectorat appréhendé avec ses propres demandes, curiosités ou besoins.

    Dernièrement, il a été révélé que bien plus de 50% du renseignement rechreché en France est chassé sur la toile. En conséquence, de telle manière se fait le contact avec les journaux diffusés par la voie virtuelle et bien furtive d’Internet. Certes la désertion des journaux sur papier est inéluctable, ce qui n’est le cas de la télé et radios.

    Je soulève cet aspect, parce qu’il est nécessaire de connaître avec qui on traite et pour qui on agît.

    Cordialement.



  • N.E. Tatem N.E. Tatem 29 février 2008 15:13

    Bonjour.

    LA NECESSITE DE STIMULER LA CREATION AU SENS D’INNOVATIONS MULTIPLES, AFIN DE SURMONTER LES DEFICITS... Où celui d’un nouveau public, est seul en mesure de continuer l’existence d’un art théâtral à l’heure du média/meuble, à côté du lit de l’enfant venant à naître et du retraité ayant terminé son parcours.

    Permettez-moi de convenir avec l’auteur de ce sujet, de quel contenu donner aux réformes et aux résultats ? Car oui pour le résultat, actuellement on voit pleins de médiocrités y compris dans la réunion, du 27.02, tenue au théâtre l’Odéon. Oui pour les (ou la) réformes... —> Vilar était clair : Du théâtre et du classique pour tous. J’ai connu l’article 1 du contrat de mission des théâtres étatiques, mais pas l’objectif des structures concernées que le denier public entretient sans vraiment pouvoir déterminer les voies à suivre pour un autre résultat que celui qui, finalement, réduit le public. Or c’est le contraire qui ne surgît point.

    Le théâtre français mérite sa réfome, faute qu’il la génère de son plein gré, il va la subir. Et je souhaite qu’elle ne soit pas perçue comme une sanction, une fois qu’elle saute à la face du personnel de tous bords pros et amateurs.

    L’un de ses malaises qui lui inflige une aphasie, qui ne peut être plus mortelle, est la place de l’auteur vivant en particulier et du contemporain en général, dans les réalisations mises sur le podium des grandes oeuvres de l’heure. Cette question de l’auteur vivant... on s’y prend à lui répondre, tel que le distillent les bilans du CNT (Centre National du Théâtre), 50% des mises-en-scènes d’un exercice donné 2006 par exemple. Or combien de ces mises-en-scènes de textes d’auteurs vivants ont débouché devant des auditoires et le nombre de représentations qu’elles ont eu à exécuter ? A ce sujet c’est une question de contenu à mettre à la disposition des spectateurs... En fait il aut de nouveaux thèmes et de nouvelles formes, plus simplement de la création, pour ameuter de nouvelles générations parmi le public. 

    Outre une multitude de viscitudes que la critique refuse de constater dans l’ordre, philologique, de gravité afin de cerner les plus urgents, des plus dangereux et même du plus scélérosant... Pour apporter des correctifs. Un certain tourner-en-rond veut que si on secoue le cocotier, l’arbre sera malade ou bien finirait de ne plus donner de fruits une fois ceux accrochés aux branches tombés au sol. C’est-à-dire que le 4ème art va en souffrir, dans le cas de réformes, et aucune prestations -spectacles- n’aura à aller devant le public. Après moi, c’est la fin du monde...

    Le constat d’une crise est la dialectique pour revigorer l’objet. Même si on admet à une période donnée, passée et d’avenir, que tout est au mieux, Narcisse ne dirait pas plus, la crise doit habiter le système qui fait la pratique de cet art. Ce n’est pas seulement une question, ou sujet, théorique. Il s’agit de dépasser, sans l’écraser au sens de l’effacer, le passé pour ouvrir des perspectives.

    Dans l’édito du dernier N° la revue de l’ARCADI (Association Régionale pour la Création Artistique et la Diffusion en Ile-de-France) - février 2008-, soulève qu’il y a une pléthore de Cies devant un semblant de baisse de la fréquentation envers le spectacle vivant. Ce qui explique qu’il y a du nouveau par le nombre et non par le contenu.

    En effet : Qui fait ? Et pour qui est destiné cet apport qu’on prend pour du nouveau sang ? Déjà que nous vivons une transmission, avec un conservatisme, non pas de savoir mais de place et de privilèges, au regard que le fils et la fille d’un tel est sur scène –A L’ECRAN grand et petit c’est devenu même une religion- pour glaner des applaudissements et surtout le beau cachet à multiples ZEROS.

    Je dirai enfin que le théâtre seul ne peut sortir du lot. Le marasme touche aussi le 7ème art, le dernier Astérix illustre à quel niveau le Flop est devenu noyade. La littérature est carrément entre les mains de 4 ou 5 acteurs, un monopole… Où le succès vient d’horizons lointains du genre « Les bienveillantes » qui continue, depuis son avènement, à caracoler à travers les frontières par des traductions qui mènent à l’universalité. La musique, on tente la « Star’Ac » afin de dénicher le filon, mais c’est aussi le pot-aux-roses… La liste continue et elle est harassante.

    Le théâtre français n’évoluera que dans un contexte global… Une harmonie d’ensemble. Il a la chance, sinon le rang, d’être une locomotive aux wagons, où sont compartimentées les autres actions culturelles. Outre que cette locomotive manque d’énergie, sa suite bloque ses freins.

    Cordialement.



  • N.E. Tatem N.E. Tatem 28 février 2008 16:14

    Bonjour à tous.

     

    Il m’est agréable d’apporter une modeste contribution que je crois n’est pas une nouveauté. Mais elle explique la difficulté d’être admis dans le cercle des organisations décrétées d’utilité publique

    D’abord je reprends un passage de l’article de Carlo. Le suivant -> 

    "La « fondation abritée » consiste à obtenir une reconnaissance de la part de la Fondation de France ou de l’Institut de France afin de bénéficier de leur statut d’utilité publique." 

    Il me semble que pour bénéficier du statut de fondation ou d’association, il me semble soumises les 2 formules à la législation de 1901, déclarée d’UTILITE PUBLIQUE s’obtient avec un décret. Ce texte juridique peut-être pris, par au minimum un département ministériel dont les 2 autorités supérieures sont le chef du gouvernement et le président qui ont aussi l’habilité de promulguer des décrets, au regard de la mission de la structure qui postule à être déclarée telle. Il s’agit précisément du but essentiel de l’association ou de la fondation concernée qui permet la recevabilité d’une telle candidature. Une fois reçue… L’enquête qui consiste à déterminer vraiment l’utilité publique au sens du rapport à l’Etat et à l’intérêt de la collectvité nationale ou même l’humanité…   

    A titre d’exemple : La Croix-Rouge Française, dont j’ai été volontaire rattaché au siège national, directement au président (l’ex. président Professeur Marc Gentilini) et à la direction des opérations de solidarité (dans le cadre d’une action envers les quartiers dits « sensibles » pour l’ancien programme « Des modérateurs Urbains »), a été l’une première, vu son âge, déclarée d’utilité publique pour plusieurs raisons dont les deux plus saillantes sont :

    1- son action humanitaire et de secourisme

    2- C’est une assoce auxiliaire de l’Etat en matière d’action sociale. Je suis militant associatif de longue date et président d’une assoce, Cie théâtrale « 4ème CULT ». J’ai épluché tous les textes que j’ai pu rencontrer pour tenter de découvrir quelques rares voies dans les législations en vigueur afin de trouver les moyens à l’association « 4èCULT » que je n’arrive pas d’ailleurs à faire démarrer, faute de moyens.

    Je dirai que l’association d’encouragement de la recherche scientifique, celle de réinsertion des délinquants ou bien celle d’aide aux écrivains démunis (je ne sais pas si ça existe… c’est les exemples généralistes types) peuvent prétendre au statut de l’utilité publique.

    En effet pour agoravox, il ne vous échappe certainement pas que le Web est suspecté de distiller de la rumeur en matière d’information. Je tiens à préciser aussi, non pas pour exhiber mes références qui sont plus fournies, que je suis titulaire d’un master en communication COOP, c’est-à-dire organes associatifs. Et j’ai idée de l’approche qu’ont les autorités de plusieurs pays à propos d’Internet et des infos qui surgissent par ce canal. Il est rare de trouver des rédactions de journaux et médias qui ont pignon sur la matière « informations », et ont un pouvoir d’influence prépondérent qui voient d’un bon œil les outils du Net comme AGORAVOX. L’odeur du souffre qui leur est attribuée, vient de leur indépendance d’abord, de la suspicion dressée selon un manque de professionnalisme des rédacteurs et ensuite de la réactivité ultrarapide pour le traitement des faits de l’actu. En effet des cercles influents peuvent restreindre l’accès d’agoravox à un tel rang. Je ne les citerai pas, mais chacun de nous partcipants à ce débat et dans ce cadre du projet piloté par Carlo peut s’imaginer... Donc la voie n’est pas un tapis de velour.

    Dans l’une de mes interventions dans un forum d’agoravox, j’ai soulevé le cas du Tsunami que Carlo réitère dans cet exposé sur le projet de fondation AGORAVOX. Voici le lien pour mon post –[->http://www.agoravox.fr/forum.php3?id_article=26867&id_forum=1454665] Il s’agit de mon intervention, dans le forum, concernant un article du rédacteur d’agoravox AB intitulé : "Le Monde s’en prend au média citoyen". Et cet article justement montre que les nouveaux médias citoyens sont considérés comme des intrus dans le champ médiatique. 

    En outre je tiens à dire que la modération des commentaires pose un réel problème. Le processus de libre parole citoyenne est semé d’embûches où des fois, un intervenant reproche à la modération de l’intérêt d’avoir laissé passer un article... Ce qui en soi, un cas de substitution, intolérable, et de remise en cause de la décision de mettre en ligne le sujet en question. D’ailleurs le danger est l’intrusion, parmi cette libre parole, des attaques d’une férocité inapropriée avec le cadre qui a permis cette parole. Et même des faits du genre discriminatoires sont monnaie courante. Auprès d’agoravox les rédactions sont prévenus des réactions que suscitent les écrits... Mais est-ce suffisants ?

    En effet l’utilité publique est déclarée selon le regard qu’ont les décideurs de la puissance publique, en obéissance à l’action des citoyens, pour décréter telle fondation ou association est d’utilité publique.

    Cordialement.  



  • N.E. Tatem N.E. Tatem 23 février 2008 10:04

    Salut.

    En effet, moi aussi je trouve cette gratuité de dénigrement écoeurante. On ne cesse de reprocher aux autres, anonymes ou connus et même du rang "people", de faire ce qu’il peuvent et veulent. Il s’agit de mettre sur la défensive ceux qui bougent et qui ont de l’énergie... JE VEUX BIEN DIRE CEUX QUI DORMENT PEU... puisque nous parlons du sommeil des sans-abris.

    Cordialement. 



  • N.E. Tatem N.E. Tatem 22 février 2008 14:04

    De N.E. Tatem.

    Félicitations ! Vous apportez beaucoup d’éléments enrichissants au débat.

    La prise en compte de la responsabilité de la puissance publique à assurer un toit à chaque citoyen présent en permanence en France est parmi les philosophies primaires à constitutionnaliser. Alors vous avez bien raison de citer la loi DALO, Sarko et tous les rouages politico-administartifs.

    Cordialement. :))

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