Il y a douze ans maintenant, un couple d’amis est allé adopter une fillette au Guatémala parce que la France leur avait refuser l’adoption sous des prétextes complètement débiles.
Ils ont essayé un an après l’arrivée de la petite et ont abandonné, toujours la même galère et des critères toujours plus démentiels : pas assez de m2 dans la chambre qu’occupera l’enfant, le jardin est trop au nord donc trop froid etc.
D’autres amis ont essayé. Ils ont quatre enfants et avaient pensé à faire une place à un cinquième. Maldone. Trop de monde dans la famille, papa smicard gagnant pas assez, et maison trop petite.
En France, les familles d’accueil ne doivent pas s’attacher aux enfants, elles ne doivent pas trop les aimer sinon ça brise le lien avec les parents naturels qui pourraient reprendre un jour leurs enfants.
Un enfant qui reçoit une carte une fois l’an de l’un de ses parents ne peut être adopté car il existe un lien avec ses parents.
en même temps ce n’est pas votre problème, je ne comprend même pas
pourquoi vous posez des questions sur ce qui de toute évidence ne vous
concerne pas, aimez un homme et vouloir lui faire un enfant n’a pas
l’air d’être dans vos choix de vie de toutes façon.
Ah bon, parce que quand on aime un homme, on doit obligatoirement lui faire un enfant ? La bonne blague !!
Mon choix de vie, c’est de ne pas avoir d’enfant. Aucunement rejeter l’amour !
Pour votre gouverne, j’ai aimé des hommes (oh pas beaucoup, certes, puisque je préfère une ou deux relations durables à la multiplication des partenaires) qui figurez-vous ne voulaient pas d’enfants non plus ! et qui n’en n’ont eu avec personne une fois séparés.
Ben oui, y’a des hommes qui ne veulent pas d’enfants.
Et j’ai pas mal de couples autour de moi qui ne veulent pas d’enfants et qui s’aiment énormément.
Et pourquoi n’aurais-je pas le droit de me poser ce genre de question ?
Avez-vous demandé leurs choix de vie et leur vie tout court à toutes les personnes qui vous ont répondu ? sont-elles vraiment toutes concernées ?
Ce n’est pas mon problème, dites-vous, si,si, ça l’a été un jour. « Choix de vie » ? et comment croyez-vous qu’on « choisit » ? sinon en se posant des tas de questions.