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jno

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Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description,
parce que comme le montre ce dessin ici simplissime,
ce petit ourson, l’auteur, est en train d’apprendre à écrire,
il vous f’ra signe, merci.

Tableau de bord

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Derniers commentaires



  • jno jno 25 mai 2013 08:17

    C’est Nabum
    .
    J’ai fini mon devoirs accompagné de la nuit,
    j’y ai de nouveau confronté cette épreuve aux cents puits.

    Mais au fil inducteur imposé de ce lien suivit,
    à la seule vraie question posée au sujet du « suis »
    entre un vif rien tit canard et un bien bon doc,
    coi de l’oeuf pour leurre, je les préfère à la coque.

    J’en perd ma plume les lois s’effondrent et moi et l’oie ont cuit,
    ces mots s’en vouent noeud, serait-ce rien ? je vous dois aussi.

    Je ne gagerais point sur la capacité à masquer de riz,
    la fébrilité ressentie dans cette phrase accompagnée d’un gâteau riolé.
    Défibrillateur raccrochés je ne cacherai point ce point entre guillemets « . »

    Je suis plus jéné que jeno, que je n’ose gêner sans causer peine,
    d’un trait velu assis on rêve d’un film d’espion dans la peau de Sean Penn.



  • jno jno 25 mai 2013 00:06

    28) Une composition se doit-elle d’être notée ? 


    ...alors gît sa soie et ma plume dit :


    « Rêvasser, épurer ma pensée pour mieux révéler son vrai message, elle se doit d’être clairvoyante ou elle me fera défaut. Sans blanc de vérité, d’œuvre essence la métaphore s’oublie, et est à force retrouvée. Et sur terre, l’homme étale son savoir des arts, me laissant gland, laid de ma soif et de s’en saouler. Bons baisers est l’âme hors, celle des eaux trépassées. Je viens donc m’alarmer mais pas sans art, me voilà enfin. Ici mon art m’encre et mon art m’honore, me dépasse aimant les limites, s’en limite à lui seul. Mon esprit dit « vague » à tous les mots de l’âme sans vague à l’âme. Comment n’en faire qu’un texte double ? Ma pensée me surprendra, paix à l’âme, paix à tous et paix chez Dieu. Génie, qui as-tu éclairé de ta lampe ? Aux vraies lueurs passent les faux-semblants de vie. Haine de pierre en mon chœur dort. »


    1) Faut-il être un puits de science pour enseigner ce qui coule de source ?


    « Rêve assez, et pur est ma pensée, pour mieux rêver les sons vrais. Mais sage elle se doit d’être. Claire, voyant tout, elle me fera des faux semblants deux vérités, deux vrais sens. L’âme est ta force oubliée et ta force retrouvée. Hais sur terre le métal, son savoir des armes, lait sanglant, lait d’homme assoiffé de sang. Sous les bombes, aisée est la mort, celle des autres est passée. Je viens donc mal armé, mais pas sans armes. Vois la, enfin ici mon arme ancrée, mon armes aux normes dépassées, ment les limite sans limite. A lui seul mon esprit divague à tous les maux de l’âme, cent vagues à l’âme, comme en enfer. Qu’un texte double ma pensée me surprend, drapé à l’âme, paya tous ces pêchers, dit : « Eugénique ». Y as-tu éclairé de talent ? Pauvre élu… Heures passent, les fosses en blanc deviennent de pierre en mon cœur d’or. »


    …alors j’égoutte la plume et j’ai conté la Lune avec vous,


    19 Les feuilles doubles sont-elles réservées aux redoublants ?



  • jno jno 24 mai 2013 23:19

     C’est Nabum

    .

    27) Un professeur qui écrit dans la marge est-il un marginal ?

    .
    Là comme ça au dessert, je vais faire un thé.
    Là comme ça vous livrer pensée, il m’est faim l’air.
    Là comme ça je ne vois que ça,
    nous n’allons rien voler à l’affaire ni faire le temps plier,

    là comme ça dans un billet habillé, aligné à la ligne ligérienne,

    haine et noeuds rangés dans un coin.

    Je me sens tout petit Monsieur, je suis nué de loin et loin le plumet.

     

    Je m’appelle Jeno mais j’aime pas beaucoup ça,

    ça fait trop gène haut et un peu genoux,

    ca ne tient pas debout cette histoire de ficelle.

     

    Je voulais m’appeler nOiX, parce que ca faisait

    « haine au i X », ce maudit « i » de l’ire

    alors qu’il n’y a pas d’ « o » dans l’eau.

     

    Ce « i » haineux qu’il fallait recouvrir

    pour recouvrer l’ouïe d’une orée chevauchée.

     

    Acheminer cette penser au bout d’une seule vie

    accordée à cette phrase mystère qui vous est étais réservée.

     

    Réservez-moi une danse une vraie, une danse à vos pieds

    une danse à mon temps sur les descentes assiégées,

    « ah si j’étais moins con » assis j’étais moins con.

     

    Je m’appelle Jeno mais je voulais m’appeler nOiX,

    Mais mon professeur des mots il ne voulait pas.

    Il disait ça fait inox noyé dans l’âne-oie,

    Il disait que c’était n’importe quoi.

     

    Mais il me disait toujours quelque chose,

    il ne me laissait jamais en marge.



  • jno jno 24 mai 2013 22:42

    volt
    .
    Je décroche la suite c’est promis, juste après ceci :
    J’ai tout lu de vos mots, vos avis posés aux yeux d’ici.
    Je suis plus proche de l’homo sympa sa pince
    que de vos connaissances loin d’être minces.

    Liez peut-être simplement le prochain mot...



  • jno jno 24 mai 2013 22:26

    C’est Nabum
    .
    La table fut rapide à descendre comme à dresser, aussitôt débarrassé le couvert sur un fil. Une question de voltige sur les mesures conséquencielles avant procès,
    met un doute à l’éviction soudaine de l’endroit propice de l’instance...

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