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Nometon

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Je me (dé)bats contre tout ce qui me semble faux... les lieux communs, le prêt-à-penser, les dogmes, anciens, nouveaux, la bien-pensance, la peur aveugle et son cortège de chimères.

Pour utopie, la république universelle ; à faire et à discuter.

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  • Nometon Nometon 26 novembre 2009 13:21

    « Economies d’énergie. Faisons vite, ça chauffe ? »

    Tiens donc !... « ça chauffe »... On aura donc moins de dépenses de chauffage, finalement.
    Et à l’inverse, si « ça refroidissait », ces mêmes dépenses iraient galopantes ! On en reparlerait, alors, des économies d’énergie !

    Le meilleur widget, c’est un cerveau qui se défend des pensées toutes faites !

    L’écologie n’aura de sens durable que lorsqu’elle deviendra enfin intelligente ! Car ça existe l’écologie intelligente, mais apparemment pas à l’Ademe. Il faut dire que les gadgets, c’est beaucoup plus facile à vendre.



  • Nometon Nometon 25 novembre 2009 12:24

    Alors là, bravo ! J’ai suffisamment vilipendé l’écologie dogmatique, culpabilisante, produit de bondieuseries recyclées, pour ne pas applaudir des deux mains à vos propos intelligents et vivifiants.

    Des écolos qui parlent de plaisir, c’est d’ailleurs tellement rare que j’en tombe des nues !

    Encore un peu d’audace et nous serions en phase : portez le même regard incisif sur la machine à faire peur qu’est devenu le GIEC, sur l’opportunisme cupide des écolos de salon et de plateaux télé, sur certains dogmes très dangereux du développement durable (la gouvernance au lieu de la démocratie, l’urgence au lieu du débat, la pensée unique au lieu des hésitations de la science) et surtout, sur l’incroyable intolérance dont une majorité d’activistes verts font montre de plus en plus ouvertement... alors, vous m’aurez convaincu qu’il y a des raisons de ne pas désespérer de la pensée écologique.

    En tous les cas, je vous lirai... avec plaisir.



  • Nometon Nometon 25 novembre 2009 12:03

    Fogiel et Carlier sont aux idées ce qu’une vache est aux trains.



  • Nometon Nometon 24 novembre 2009 12:35

    @ Ropi et Sisyphe :

    "La démarche négationniste a ceci de particulier qu’elle use d’une méthodologie partiale et malhonnête, opérant la sélection, la dissimulation, le détournement ou la destruction d’informations corroborant l’existence du crime (voire la création de fausses preuves « impliquant » l’inexistence des évènements passés). On peut légitimement parler de négationnisme lorsque de telles méthodes sont employées, lorsque les motivations ne sont pas exclusivement la recherche de la factualité historique.« (source : wikipedia)

    Le négationnisme est l’aboutissement d’une idéologie d’extermination. Elle efface la mémoire après avoir anéanti les corps.

    L’usage de ce mot contre des scientifiques tels que Vincent Courtillot ou contre les 30 000 scientifiques qui doutent des publications du GIEC et exposent simplement une argumentation différente, cet usage est au minimum déplacé. Beaucoup le jugeraient honteux.
    Mais à mes yeux, l’emploi du mot est surtout cupide : vous invoquez l’affect lié à au terme »négationniste" pour diaboliser des gens, simplement parce qu’ils ne partagent pas vos vues.

    Regardez-vous une seconde ! Voyez là où vous en êtes !



  • Nometon Nometon 24 novembre 2009 12:17

    La marchandisation de l’écologie se fait, hélas, avec la connivence de la plupart des écolos professionnels, élus ou conseillers dans les cabinets de mairies, de régions, d’entreprises, patrons de grande association aux subsides douteuses mais au nom doucereux (« Greenpeace », la paix verte...).
    Le carbone est bel et bien devenu un marché, un marché inique qui a pourtant reçu leur bénédiction !

    Quand les écolos dispensent la peur et l’effroi, invoquent nos enfants « qui nous accuseront », ils emploient la technique bien connue en politique du marketing de la peur et de la culpabilisation. Peur qu’ils sont de plus en plus nombreux à entretenir, non pour la planète qu’ils oublient en chemin, surtout lorsqu’elle ne sonne pas la même mélodie que leurs chants religieux, mais pour un intérêt beaucoup plus trivial : le leur propre.
    Nous vivons un changement de génération, des écolos précurseurs vers les écolos des prébendes et des charges, des titres et des postes.

    A mes yeux, l’écologie sincère, celle de la symbiose, celle de la « nature réelle » (comme le « pays réel ») ne survivra qu’en se libérant de l’emprise indue de ces nouveaux clercs, de ces parangons de fausse vertu et de tronqués ultimatums.

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