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Nometon

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Je me (dé)bats contre tout ce qui me semble faux... les lieux communs, le prêt-à-penser, les dogmes, anciens, nouveaux, la bien-pensance, la peur aveugle et son cortège de chimères.

Pour utopie, la république universelle ; à faire et à discuter.

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  • Nometon Nometon 1er décembre 2009 13:57

    Ma critique était amicale.
    Et si votre nez est votre meilleur profil, ma foi... Des nez, il y en a eu de fort illustres. Je laisse donc à votre verve le soin de mieux en parler.



  • Nometon Nometon 1er décembre 2009 12:16

    « Si vous ne pouvez être des saints de laconnaissance, soyez-en au moins les guerriers »

    Tel que je vois les choses :
    « saints de la connaissance », cela relève du travail de synthèse exposant les thèses qui s’opposent.
    « guerriers de la connaissance », c’est exposer une thèse particulière, quitte à remuer l’état des connaissances.

    Je ne vous reproche pas d’être « guerrier », Morice. Je vous reproche de l’être sans l’assumer. C’est-à- dire de poser une thèse comme si elle était acquise, comme un fait sans contradiction et ensuite d’en tirer un modèle comportemental que nous devrions adopter. Le guerrier se bat, il ne prétend pas être un sage. Choisissez votre posture.



  • Nometon Nometon 1er décembre 2009 10:44

    Sophisme habituel de Léon qui tente de décrédibiliser un argument en ne regardant que la source qui l’a émise. Pour lui, le contexte prime toujours sur le texte.

    Connaître le contexte d’un document ou d’une prise de position est fondamental. Mais rejeter une argumentation du fait du seul contexte, c’est... proprement stupide. Léon démontre une fois de plus son mode de pensée : ne peut s’exprimer justement, à ses yeux, que celui qui dispose des bonnes étiquettes.
    Comme c’est justement ce que l’on reproche au GIEC : avoir fait passé le contexte (une idéologie) avant le texte (les données brutes et les conjectures de leur interprétation), il n’y a rien d’étonnant que Léon ressente spontanément une proximité « intellectuelle » avec les méthodes de ces falsificateurs.

    @ l’auteur : merci pour votre travail.



  • Nometon Nometon 1er décembre 2009 10:21

    Je partage les doutes de Djanel du viking-chaise.
    Sous couvert d’une bonne documentation, Morice présente une thèse, disons-le franchement : une hypothèse, comme un fait quasiment certain.
    Cela me fait penser à tous des documentaires qui utilisent le présent de l’indicatif en présentant une conjecture scientifique : « les dinosaures mangent ceci », « Les hommes ont fait cela », là où un historien ou un archéologue honnête utiliserait toujours le subjonctif ou le conditionnel.

    Bref, sur ce sujet (comme sur beaucoup d’autres concernant le rapport de l’homme à la nature), on devine la volonté d’une démonstration. En gros : 1) le fait est que l’homme a saccagé la nature par le passé 2) Ce « fait » doit nous faire changer de comportement.
    Ces deux assertions méritent beaucoup mieux que ce qu’en donne l’auteur, trop univoque et qui, à mes yeux, révèle un véritable talent musical : car ici, il instrumentalise.



  • Nometon Nometon 30 novembre 2009 11:12

    Beigbeider est l’homme modèle des plateaux-télés : irrésistiblement lâche, entièrement auto-centré et surtout, comme tous les pique-assiette et coureurs de salons (relire Proust) : complaisant ! Complaisant avec lui-même mais plus complaisant encore avec ses hôtes : un moyen éprouvé pour que son nom figure sur la liste des invités permanents.

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