« Ceux qui se tiendrons (sic) tranquilles »... Tout est dit. Il faut se tenir tranquille, obéir sans savoir pourquoi, en vertu de quoi, au nom de quoi, et cela pour la seule raison qu’un jour on n’a mis un bulletin dans l’urne pour élire des candidats qui ont été intronisés par une caste dirigeante de financiers lors des réunions du Bilderberg Groupe (Bush, Clinton - sombre sénateur de l’Arkansas porté sur les fonds baptismaux de la présidence américaine par Rockfeller and co, Sarkozy proche par alliance familiale de la CIA, Obama, etc.) ? A vous lire, on saisit vite le type de mode d’existence que vous préconisez pour les autres... Aux ordres de la production, des intérêts de la finance, bref, assujetti aux jouissances d’une caste dominante qui n’a pas attendu notre naissance pour se former.
Signé ; le patron du « A minima Café », à même d’expliquer sans parti pris - car si la police a le pouvoir indû de provoquer la nuissance qu’elle prétend prévenir, je n’oublie pas que les voisins ont le pouvoir réel de faire fermer un bar défininitivement - ce qu’il s’est passé ce soir-là. Tout ce que je peux vous dire, c’est que le zèle de la police était déplacée, il ne se justifiait pas au regard de la situation. Pour le reste, je veux parler des propos échangés entre les clients et la police, je ne dirai rien vu que je n’ai pas tout entendu. Au final, et de mon petit point de vue de « commerçant », ni les clients ni la police ne m’ont rendu service sur ce coup-là. Mais je sais bien qu’à la place du client j’aurais de même réagi, peut-être autrement, mais j’aurais réagi.
Faudrait peut-être aussi que Bush et sa clique fassent un effort pour ne pas donner raison à Godwin...
Pour un philosophe comme Agamben, nous n’avons jamais quitté le nazisme comme mode de pensée et d’existence, nous l’avons seulement déshabillé de ses manifestations extrêmes.
Je bats ma coulpe, mais le fait est que Vigipirate, dispositif d’exception sans base juridique, n’a plus jamais été levé depuis les attentats du 11 septembre, alors qu’il l’était régulièrement lors des périodes précédentes.
Bien sûr ! 30 secondes, nous disent-ils, c’est le temps qu’a mis la tour pour s’effondrer... Comme s’il était trop difficile de dire la vérité, à savoir que les tours ont mis moins de 10 secondes pour s’aplatir, ce qui reviendrait à dire qu’elles sont tombées en chute libre... Un autre détail amusant : le sommet de la tour commence par basculer sur le côté, vers le vide donc, avant de quasiment se rétablir à la verticale pour suivre dans leur chute les étages inférieurs ; qu’en dit le commentateur ? Elle est tombée vers le côté où les incendies étaient concentrés... En gros, le sommet de la tour nous faisait signe, nous saluait pour ainsi dire, avant de se relever pour bien s’affaisser sur les étages inférieurs... Bref, du niveau du visage de Ben Laden qui serait apparu en fumée. Je pense surtout qu’on nous enfume avec des histoires à peine croyable pour un enfant, et qu’on s’efforce d’y croire tellement les implications seraient énormes dans notre appréhension et notre appréciation de la politique intérieure et étrangère.
Au surplus, ce reportage ne répond à aucune des questions posées, à aucun des témoignages parlant d’explosions, etc., etc.