Comment fabriquer l’IA Forte ? Cela ne semble intéresser personne. Et pourtant c’est à notre portée. Mais cela ne se fera pas en France car, même si on leur donne la solution, ils n’y croiront pas. Je verrai plutôt Google. Il suffit qu’ils créent des programmes capables de générer d’autres programmes et d’utiliser un Google inversé, c’est à dire qui fait des demandes au lieu d’y répondre. Faites mouliner tout cela avec des accès robotique et cartes à puces et le tour est joué.
Rien ne prouve que le « deep learning » est un processus terminal. En clair, rien ne prouve que les processus d’apprentissage par essais erreurs mèneront à une intelligence au bout d’un nombre fini d’itérations. Ce serait donc un cul de sac fort sympathique.
Personne n’explique comment arriver réellement à l’intelligence artificielle. Le savent-ils ? Cela pourrait s’appeler autrement, mais on préfère utiliser ce terme pour des « boites noires » travaillant sur des secteurs précis, comme la conduite, la recherche de diagnostics, etc. Car la vraie découverte, c’est cette dénomination d’intelligence artificielle qui a ouvert tous les crédits.
En France, il y a 10 à 20 fois plus d’adhérents aux syndicats qu’aux partis politiques et ce sont ces derniers qui gouvernent en fustigeant ces premiers. Cherchez l’erreur !