« chouiner » est une création des publicitaires(*). Ils ont crée un film publicitaire il y a une douzaine d’années où l’on voit évoluer une gamine de 8-10 ans déclarer : « Arrête de chouiner ! ».
On pourra excuser le barbarisme qui consiste à employer un mot qui n’existe pas au lieu d’un autre, « couiner », bien réel celui-là venant de la part à la fois de publicitaires représentant le degré zéro de la culture générale qui déteint malheureusement sur ceux qui les écoutent trop..
Mais on ne le pardonne pas autrement.
(*) Publicitaires qui sont à l’origine de bien des barbarismes : « gel » au lieu de gelée, « concert » au lieu de récital, « bluffer » au lieu d« étonner/surprendre, » décalé " au lieu d’original... Je tiens à la disposition de tout requérant mon bêtisier.
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Il est assez effarant de lire « N’étant ni médecin ni chercheur, (...), je n’ai pas réussi à me faire une idée suffisamment claire de l’intérêt de la vaccination telle qu’elle est aujourd’hui pratiquée. »
Ce n’est pourtant pas la vaste littérature anti-vaccinale qui manque. La seule lecture de « Vaccinations : je ne serai plus complice » du Dr Jean méric eût suffit à emporter votre adhésion.
J’ajouterai, cerise sur le gâteau, la substantifique moelle du débat organisé au Sénat en juin dernier (mais qu’AUCUN mezdia n’a couvert) et lisible intégralement sur http://www.senat.fr/bulletin/20070604/sante.html :
« (...) M. Eric Guez a considéré que la défiance à l’égard du vaccin relève, en France, d’un manque de confiance dans les résultats. Le président Jean-Michel Dubernard, député, en a convenu, rappelant qu’il N’existe PAS de preuve scientifique sur l’utilité des vaccins. »
PAS de preuves ! Est-ce assez clair, Monsieur Lagardette ?
Egalement, tiré de ce même débat :
« M. Fabian Wild a considéré que la réticence des professionnels de santé s’explique par le fait qu’AUCUN cours relatif à la vaccination N’est dispensé dans les facultés de médecine françaises. »
Nous assistons donc, conformément à ce que nous avons toujours déclaré que les médecins n’y connaissent strictement rien et que leurs pratiques s’apparentent à de la mise en danger de la vie d’autrui et administration de substances toxiques, comme nous le rappelle Jean-Pierre Joseph, avocat (http://www.onnouscachetout.com/themes/medecine/vaccins-mensonges.php).
Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu, lui confèrent une immunité contre le germe correspondant ».
* Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l’immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd’hui que de nombreux enfants vaccinés, ont néanmoins contracté la maladie.
* Les substances, en outre, sont toxiques, puisqu’elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.
* Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », au sens scientifiques du terme.
* Le fait de refuser d’administrer des produits inefficaces et toxiques à des enfants ne peut donc s’assimiler à une privation de soins, ou une mise en danger de la vie d’autrui.
* Bien au contraire, le fait d’imposer l’administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d’autrui, et peu, à long terme, constituer le crime d’empoisonnement ou administration de substances nuisibles.