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Olivier FRIGOUT

Olivier FRIGOUT

Biochimiste et journaliste scientifique, je suis spécialisé sur les questions environnementales. J’ai créé fin 2005 un magazine en ligne traitant de sciences et d’écologie, Sciences&Nature, et suis chroniqueur sur Fréquence Terre, la web-radio nature.

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  • Premier article le 11/02/2006
  • Modérateur depuis le 14/02/2006
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Derniers commentaires



  • Olivier FRIGOUT Olivier FRIGOUT 19 janvier 2007 17:50

    ERRATUM bien évidemment, l’enfant Jésus. Quant à la filiation du Christ... selon les textes, en effet, elle est nulle et non avenue.



  • Olivier FRIGOUT Olivier FRIGOUT 9 avril 2006 18:52

    Très bon article du The Independant. J’ai d’ailleurs abordé cette question pour ce qui est de la situation de l’autre coté du channel, soit en France, dans le dossier de décembre 2005 sur mon site Sciences&Nature :

    http://www.sciencesetnature.org/dossiers.php?menu=dossiers

    (en bas de page), et dans un article consacré à ce procès :

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=7565

    Il est essentiel pour la sauvegarde de ces variétés et pour permettre aux uns et aus autres de redécouvrir la diversité culinaire que ces pratiques d’échanges et de ventes associatives soient maintenues.

    Les OGM sont l’un des moyens utilisés par les industriels pour faire main basse sur le vivant, le catalogue officiel en est le moyen juridique et financier.



  • Olivier FRIGOUT Olivier FRIGOUT 6 avril 2006 20:59

    Vous êtes libre d’exprimer votre avis, ce serait mieux sans agressivité, je suis libre d’exprimer le mien, et de me baser sur mon expérience et les souffrances qui hélas m’entourent.

    Aussi, par respect pour mes proches dans une situation sans issue aujourd’hui à cause de la substance que vous défendez, je vous serais gré de bien vouloir accepter que ma vision du cannabis puisse être différente de la vôtre.



  • Olivier FRIGOUT Olivier FRIGOUT 4 avril 2006 11:00

    Le cannabis reste visiblement l’espace de « liberté » auquel il ne faut pas toucher.

    Je ne souhaite pas à mon pire ennemi ni à aucun des promoteurs du cannabis qui se sont exprimés sur cet article de vivre au quotidien avec un consommateur « occasionnel » tombé dans une consommation très régulière. Les exemples proches que je connais, doublés des « maigres » connaissances en neurophysiologies qu’il me reste de la Fac m’ont conduit à cette position intransigeante sur un produit que trop d’intellectuels (de mon point de vue) ont voulu banaliser. Il faudra faire un bilan dans 15 à 20 ans sur la poussée de la consommation du cannabis ces 10 dernières années pour se faire une idée de ces conséquences sanitaires. Mais on peut craindre le pire.

    Remarque ironique : dépénaliser conduirait les consommateurs de cannabis à trouver un bouc émissaire dans 20 ans, lorsque, atteint d’un cancer des poumons, ils pourront mettre au tribunal leur fournisseur comme ce fut le cas avec les cigarettiers. C’est peut-être ça, l’objectif de cette campagne pour la dépénalisation.

    Soyons irresponsables jusqu’au bout.



  • Olivier FRIGOUT Olivier FRIGOUT 4 avril 2006 09:00

    Je comprends votre réticence à cette phrase. Je m’explique d’ailleurs à ce propos dans un dernier article visible sur mon propre site.

    Ce que je veux dire, c’est que c’est plus la main-mise des multinationales des semences sur ce secteur qui est dangereux que le concept lui-même. Or cette main-mise est le résultat de l’action des anti-OGM qui ont contraint la recherche publique d’arrêter ses travaux alors qu’aucun brevet n’était alors déposé. Si nous avions été capables d’attendre de maîtriser à la fois le transfert de gènes et leur expression avant de se lancer dans la production (plus rentable que la recherche) et si nous avions mis en place des gardes fous pour que l’on ne fasse pas n’importe quoi en la matière, imposant une réflexion préalable sur l’intérêt de chaque OGM, alors oui, les OGM auraient pu apporter des réponses aux problèmes de malnutrition présents et à venir. Et même si ces problèmes sont la conséquence de l’activité humaine (réchauffement climatique ou acharnement à imposer notre vision moderne de l’agriculture par exemple), ils ne peuvent être ignorés.

    J’insiste sur le fait qu’opposer sciences et environnement ne conduit qu’à une impasse et à des positions figées et non constructives. Et surtout, en l’absence de dialogue et de concession, à des choix qui hypothèquent l’intérêt commun que l’on pouvait trouver. Les OGM, comme de nombreuses avancées scientifiques, n’ont pas assez mûris dans les laboratoires pour être profitables à l’humanité. Pourtant, ils auraient pu, à condition d’être encadrer par une loi éthique et non transformer en potentiel économique, être une avancée et non une bombe à retardement.

    Cordialement.

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