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Olivier from Madinina

Olivier from Madinina

Ex chef d’entreprise, dans les marchés de la distribution sélective, de l’audio-visuel et des NTIC, j’ai décidé de m’échapper de ce monde de dingues pour aller assouvir ma passion de la photographie dans la Caraïbe. Je suis passé du capitalisme feutré de la social démocratie à l’alter-mondialisme modéré. Evolution toujours en cours.

Tableau de bord

  • Premier article le 02/05/2009
  • Modérateur depuis le 29/05/2009
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Derniers commentaires



  • Olivier from Madinina Olivier from Madinina 11 janvier 2010 21:00

    Ca ressemble BEAUCOUP à un article de Isabelle Mouilleseaux sur La Chronique Agora !



  • Olivier from Madinina Olivier from Madinina 10 janvier 2010 14:11

    Pour commencer, un petit rectificatif afin d’éviter les confusions : un annonceur n’est pas rémunéré, seul l’hébergeur l’est (et GG, bien sûr). L’annonceur, lui, paye une enchère sur le clic.

    Sinon, sur le fond, on est toujours dans le même système : Une commission, garnie de gens incompétents et/ou directement impliqués dans le sujet, trouve des solutions stupides et inaplicables. C’est général, mais il faut bien reconnaitre que, dès que l’on touche à la « culture », c’est encore pire !

    Google est à la base de quasiment tous les revenus créés sur le web. Sans un tel acteur, le commerce en ligne, les services, le logiciel (libre ou pas) et tous les autres pans de l’économie du web serait très loin de ce qu’ils sont aujourd’hui. Mettre des batons dans les roues de GG c’est, au minimum, se tirer une balle dans le pied. La presse, même si elle gesticule, le sait très bien. Le peu d’argent qu’elle tire du web (à cause d’un modèle pas encore établi et performant) vient du traffic apporté par Google news. Si ce n’était pas le cas, ça fait un moment que les directves « disalow » et « nofollow » (petit code permettant au robot de GG de savoir qu’il ne soit pas indexer et suivre les liens) auraient fleuri sur les serveurs de ces journaux.

    On est à un tournant : d’un coté le dévellopement exponentiel de l’économie numérique et de l’autre, l’effondrement vertigineux de l’économie traditionnelle. Ca, c’est un fait. Et rien ni personne ne pourra le contourner. La question est de savoir si l’on veut être le seul pays à bloquer le dévellopement du seul marché porteur pour la sauvegarde des intérêts des rentiers d’une économie vouée à disparaitre ...



  • Olivier from Madinina Olivier from Madinina 15 décembre 2009 18:03

    Ces derniers temps, au rythme des stupidités énoncées par nos élites, je pensais (espérais) avoir tout entendu, avoir assisté à cette descente au niveau zéro de la réflexion politique.

    Malheureusement, il n’en est rien. Ils sont capables de descendre bien plus bas, vers les sous-sols les plus répugnants de la bassesse (in)intellectuelle, vers la plus sombre crétinerie qu’il est possible d’imaginer.

    Manifestement, elle ferait meux de se spécialiser dans le play-back pour les lip dub propagandistes du gouvernement (qui se permet de ne pas rémunérer tous les ayants droits pour l’utilisation de la chanson, d’ailleurs) ... au moins, on peut en rire.



  • Olivier from Madinina Olivier from Madinina 15 juin 2009 21:19

    Les majors, à dessein, ont infantilisés les artistes musicaux. Ces derniers (on va dire les médiatiques) ont perdu le sens des réalités économiques.

    Un artiste est un travailleur indépendant comme un autre. Je suis photographe, j’en suis un aussi. Il m’a fallu d’énormes investissements pour exercer : local et aménagement pour le studio, éclairage, informatique, matériel de prise de vue ... etc. Un musicien, chanteur ou autre doit être soumis au même principe : financer le lancement de son premier album (sachant qu’internet est un vecteur extraordinaire pour ceux qui sont bons). C’est un investissement qu’il récupérera (ou pas) par la suite. Ensuite, sur chaque euro empoché, il fait comme tout travailleur indépendant, il en garde une partie pour ré-investir (enregistrer un nouvel album).

    Le cancer de la création musicale, ce n’est pas le téléchargement, ce sont les majors et les distributeurs (ainsi que les radios, à un autre niveau). Ils contraignent la création, non pas vers l’excellence mais vers le profit à tout prix. Vous dites qu’un artise doit pouvoir choisir de donner son oeuvre ou pas. Je suis d’accord. Sauf que lorsqu’une major signe au nom d’un artiste avec Deezer, elle décide pour lui qu’il ne gagnera que 5 euros pour 10.000 écoutes ... soit rien du tout ... gratuit. L’artiste n’a plus son mot à dire sur ses revenus. Les majors mènent la danse sur l’air du capitalime financier. Les revenus des artistes sont très secondaires par rapport aux leurs. Vous penser sincèrement que la création et la culture ont quoi que ce soit à voir avec ça ???



  • Olivier from Madinina Olivier from Madinina 15 juin 2009 18:46

    Il est difficile de comparer ce qui ne l’est pas et de tenter de transposer des modèles économiques entres des marchés aux caractéristiques différentes.

    Pour l’utilisateur, le logiciel a toujours une fonction (professionnelle, éducative, gain de temps ....) alors que la musique n’est qu’un divertissement. Sans compter que la musique est déjà gratuite à grande échelle : radio, clip télévisés, streaming légal sur Internet, concerts gratuits ... etc. Il devient de plus en plus difficile (pour ne pas dire impossible) d’attribuer un « prix » à un morceau de musique compte tenu de sa large diffusion gratuite et légale. Même le modèle du ShareWare aurait du mal à s’imposer dans cette situation.

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