On va avoir droit une énième fois aux commentaires d’indignation vertueuse, des déclarations de « fermeté » du ministre de l’intérieur, des petites fleurs et des bougies. En attendant le prochain attentat commis par une de ces racailles que la classe politique fait venir par centaines de milliers chaque année.
Le comble de l’abjection est atteinte par Macron lui-même, qui s’est pointé à Annecy en arborant une petite mine attristée de circonstance, histoire de tirer un bénéfice médiatique d’une situation qu’il a lui-même et sciemment créé, en ouvrant comme jamais les vannes de l’immigration-invasion.
C’est peu dire que Macron n’a rien fait pour l’industrie française, c’est même l’inverse, n’en déplaise à ces effets d’estrade et ces grandiloquentes déclarations dont il est coutumier.
Il faut bien comprendre que Macron n’est pas là pour défendre les intérêts de la France, mais ceux de la finance mondiale qui l’a mis en place.
Pour ces gens-là, des nations comme la France sont une relique du passé à faire disparaître dans le mondialisme.
Quitte à être provocateur, je dirais que le kahanisme est dans la logique du judaïsme, qui n’est pas du tout une religion au sens que les chrétiens donnent à ce terme. Il s’agit plutôt d’une espèce de panthéisme limité à une ethnie donnée, où un peuple donné prétend avoir été « élu » et en quelque sorte incarner Dieu Lui-même.
Cette élection divine signifie que les autres peuples ont été rejetés de Dieu ou jugés inférieurs. Le refus (en tout cas théologique) de leur donner une considération et un droit quelconque est donc au fond logique.
Voir les livres de G. Atzmon sur tous ces problèmes.
Merci pour cet article. Sur les médias, mis à part des imbéciles incurables (mais ça fait beaucoup de monde), qui croit encore ce qu’ils racontent ?
L’épisode du COVID a été beaucoup plus politique que sanitaire : il a montré la puissance internationale d’une certaine clique à inventer littéralement une épidémie, et à imposer toute sorte de mesures coercitives aux médias et aux gouvernements. Cela montre ce qu’est la structure réelle du pouvoir mondial.
Maintenant cette structure est toujours là et a toujours les moyens d’agir. Ce que je crains c’est la fabrication dans un laboratoire militaire d’un « super-COVID » qui serait pour le coup réellement mortel. Cela leur permettrait d’imposer définitivement une forme de dictature mondiale, sous prétexte sanitaire.
Des années 1950 à 1980, il y a eu un âge d’or pour le cinéma.
Des films comme Mort à Venise ou Ludwig seraient inconcevables de nos jours, marqués par la sinistre et obscène censure du politiquement correct et du wokisme.
Que dire aussi de la disparition du cinéma italien (pour le français, cela fait longtemps qu’il ne produit plus rien de regardable !) ?
Il est arrivé au cinéma la même chose qu’à l’art contemporain, qui a sombré dans l’imposture et le culte pervers du hideux. C’est tout simplement que notre société a perdu son élan vital.