Encore et toujours l’éducation nationale. Elle fonctionne comme tous les services (sévices ?) publics en France : a minima et pour très cher.
Entre académisme borné, bureaucratie digne du Gosplan soviétique, réformes permanentes et gauchisme-wokisme généralisé, peu de chances en effet d’obtenir de bons résultats.
Un exemple personnel et déjà ancien (j’ai 62 ans !) : j’ai fait au lycée Anglais en 1ère langue, de la 6ème à la terminale. J’ai eu une note acceptable dans cette matière au baccalauréat. Eh bien après 6 ans à étudier cette langue, j’étais incapable de saisir un mot de ce que racontait la BBC !
« Également, fait son chemin, l’idée que l’on puisse emprisonner à vie une personne pour l’empêcher de récidiver, de tels points de vue relève du Nazisme, de la recherche de l’être parfait. »
Autrement dit, empêcher la récidive d’un terroriste signifie qu’on est nazi.
Parfait, voilà qui est très judicieux. A condition de ne pas être la prochaine victime du multi-récidiviste, bien sur.
Texte délirant, typique des pseudo-humanistes, pleurnichant sur le sort des assassins mais jamais sur celui de leurs victimes. Cette peine de mort-là n’a jamais dérangé les Badinter et compagnie, qui nous faisaient le coup du petit trémolo dans la voix pour les guillotinés, mais n’ont jamais eu un mot pour leurs victimes !
La justice n’a pas pour but la vengeance mais la protection de la société. Mettre en prison un criminel ne rendra pas la vie à la personne qu’il a tué, mais empêchera qu’il en tue d’autres.
« Le président français n’est pas pris au sérieux à Moscou et aux États-Unis. » En effet. Il n’est pas non plus pris au sérieux en France !
Outre le côté histrionique du personnage, Macron comme ses prédécesseurs s’est surtout ingénié à vider de sa substance l’identité et l’indépendance de la France, en bon agent du mondialisme qu’il est.
Au premier chef sa puissance militaire devenue dérisoire (si l’on excepte la dissuasion nucléaire, mais je pense qu’elle a été abandonnée depuis longtemps en catimini).
Macron n’a plus qu’une armée d’opérette, avec des effectifs et des matériels en quantité microscopique : une centaine de chars en état de fonctionner, des munitions pour quelques jours, etc.
Quand il a prétendu envoyer des troupes, je pense que les chefs de l’armée ont dû lui remonter les bretelles comme on dit, ce qui a mis fin à la mascarade...
De toute façon les israéliens, au stade où on en est, n’ont plus vraiment le choix : soit ils mettent dehors les palestiniens, soit les palestiniens les jetteront à la mer tôt ou tard !
Ce que démontre une fois de plus l’affaire palestinienne, c’est l’échec inéluctable des sociétés multi-culturelles, multi-ethniques ou multi-religieuses.
L’utopie de « vivre-ensemble » et du « enrichissons-nous de nos différences » n’a pas l’air de très bien fonctionner entre Arabes et Juifs, c’est le moins qu’on puisse dire !
Et on nous a servi en France cette propagande pendant des décennies pour justifier l’immigration de colonisation.
Mais peut-être est-ce qu’on réserve un avenir proche de celui de Gaza, avec des peuples en lutte et devenus irréconciliables ? Je voudrais bien savoir ce que sera l’attitude des immigrés envers les français de souche le jour où ils seront plus forts qu’eux.
Notons que pour les palestiniens, l’immigration de masse d’un peuple étranger a eu pour résultat de se faire chasser de leurs terres. Exemple à méditer...