Dans l’extrait que vous donnez, J. Crary écrit « ...Absolument rien de valeur ne peut en être extrait. ». Je pense qu’il se trompe, mais il vaut mieux laisser courir cette idée. Beaucoup d’idées et de concepts peuvent naitre dans nos rêves. On peut aussi utiliser ses rêves. Je le fait pour l’écriture de scénario ou encore l’exploration graphique. Mais chut !!! Je ne suis pas prêt à laisser le capitalisme envahir mon sommeil ; déjà, qu’effectivement, il m’en prive bien assez.
@M de Sourcessure Bonjour, Je ne suis pas d’accord avec vous. On peut très bien prendre le sommeil pour une pulsion de vie, une phase de repos qui permettra d’être en meilleur condition en phase éveillé. On peut même travailler à avoir un sommeil efficace. Prendre en main son sommeil, c’est une pulsion de vie. Si vous voulez maîtriser vos rêves, c’est possible. Il suffit d’en avoir la volonté et de s’exercer. Malheureusement il est difficile de faire marche arrière et on peut perdre le coté inattendu des rêves.
Vous écrivez " D’un autre côté, si vous appliquez des concepts
équivalant à « race » aux agrumes (genre, variété, hybride), cela ne
signifie nullement que le pomélo soit supérieur à l’orange sanguine, que
la mandarine soit supérieure à la lime, que l’orange blonde soit
supérieure au citron, ou que la clémentine soit supérieure au
pamplemousse...«
Si c’est ce que vous pensez alors je suis d’accord avec vous. Le mot race ne me gène que lorsqu’il cache un moyen de sélection ou, une manière de faire des inégalités à partir de simples différences.
Par contre trouver l’ADN du Vénitien de souche, ça pour moi c’est flou. Est-ce qu’il s’agit du premier groupe d’homo sapiens qui s’est installé dans ce lieu ?
J’ai cherché des explications sur cette appellation » _ de souche", mais je n’ai rien trouvé de concluant sur la profondeur des racines. Cinq générations ? Dix générations ? pure souche, ou pas ? et surtout à quoi ça sert ?
Je ne suis pas pressé d’avoir à aller à la préfecture avec mon arbre généalogique et un test ADN pour obtenir ma carte de français de souche, validant mes droit à la priorité au travail et autres. De même que je ne suis pas pressé d’avoir à prouver mon niveau de patriotisme pour pouvoir postuler à certains emplois.
Quoiqu’il en soit, vous avez raison et je vous rassure, moi non plus je ne crois pas à la supériorité de la golden sur la red delicious ni de la clémentine sur le pamplemousse.
@non667 Très fort pourcentage ? Vous avez des chiffres ? Vous avez des sources partageables ? Vous devez tenir ça de très longues études sur les diaspora, sans doute ?
@César Castique Et bien on peut simplement les appeler comme on le fait en générale, par exemple, effectivement en utilisant la région ou la ville dans laquelle ils vivent : bretons, sarthois, alsaciens, parisiens, marseillais... Il faut bien l’avouer l’objectif derrière la possibilité d’utilisé le concept de race, c’est d’inventer un ordre, une supériorité d’un groupe sur un autre (avec souvent comme seul argument que c’est , bien sûr, évident). Est-ce que je me trompe ?