Parrison

Bonjour l’auteure,

Hélas, oui pour nous, mais nous avons le recours de trouver ailleurs de la bonne information, encore faut-il le vouloir, ce qui n’est pas le cas de tous, cela demande un certain travail de recherche. 
Il y a ici l’évidente volonté d’occulter l’information, d’en garder le contrôle. Quand on constate l’importance donnée à des évènements sans réelle importance (bien que dramatiques), qui se résument au final à des anecdotes au regard de la descente aux enfers vers laquelle on mène le monde subrepticement, on ne peut que se sentir insultés de tant de mépris .
La compétence des Marie et consors ne trompe que les autruches et ce n’est pas pour rien qu’on les retrouve sur nos écrans.
Perso, j’ai aussi le sentiment d’avoir affaire à quelqu’un que l’on a catapulté sur le devant de la scène faute de capacités à faire autre chose.
Un peu comme un certain Jean qu’on a essayé de placer à la tête de l’EPAD, c’est dans la même veine...

Bonjour,

Oui, d’accord avec l’auteur...

Lassant de nous voir imposer les « fils de... » comme si c’était un label de qualité... et s’il n’y avait que notre insipide Marie, qui me donne l’impression de se f*** royalement de ce qu’elle présente, comme on fait acte de présence au bureau, comme on s’acquitte d’une corvée qu’on s’empresse de bâcler pour aller s’amuser ailleurs... Aucun sentiment, aucune émotion, tout est lisse à l’imagede sa personne... inquiétante presque de déshumanité.... !

C’est devenu la norme, nous allons nous coltiner des générations entières de fils et filles de...pas de journalistes... Ils n’existent que par leurs noms, une forme de disgrâce qui fait que leur destin est tracé dès leur naissance. Assez désespérant au final, pas étonnant que certains, ceux qui ont une estime d’eux-mêmes, finissent par claquer la porte. 

De bons journalistes il y en a, mais on leur barre la route pour favoriser les rejetons des copains... circulez... !

Minable... !

 

Quand on fait un comparatif de nombre d’entrées entre intouchables et bienvenue chez les ch’ti... franchement j’ai les plus grands doutes... si c’est de la même veine que ce navet qui a remporté le succès qu’on lui connait, je fuis... 
C’est du marketing pur et dur, et ça marcheà tous les coups. Tant mieux pour les réalisateurs, tant pis pour le spectateur à qui on fait croire que c’est super génial et que ne pas l’avoir vu ou ne pas l’avoir apprécié nous classe dans le rang des imbéciles ou des méprisables snobs... « car les braves gens n’aiment pas que... l’on suive une autre route qu’eux... !  », ainsi va le monde...

Pour ce qui est de l’article, je le trouve bien trop subtil en termes de recherche d’un message subliminal. Je doute que le réalisateur ait eu un quelconque message à faire passer... maintenant, que chacun y trouve un appel à la compassion, tant mieux... il n’empêche qu’il est remarquable que certains y voient un rappel à plus d’humanité.... ce qui en dit long sur la leur...

Nul besoin d’un film pour secouer les consciences de ce qui coule de source.... l’humanité est bien plus répandue qu’on ne veut nous le faire croire. Si tel est le but de ce film, il est donc inutile que je fasse le déplacement .

Je suis en revanche tout à fait d’accord avec l’auteure sur ses remarques sur les catastrophes qui ont généré des dons colossaux dont les victimes n’ont jamais vu la couleur jusqu’à aujourd’hui.... La générosité existe, et les sombres salauds savent faire vibrer la corde sensible pour l’encourager...

Salutations.
Laeti

Bonsoir l’auteur,

Kéké....