• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Patrick Guillot

Patrick Guillot

Enseignant, auteur d'ouvrages sur les stéréotypes de genres, les discriminations et les sexismes.
Cofondateur du GES (Groupe d'études sur les sexismes).

Tableau de bord

  • Premier article le 18/04/2011
  • Modérateur depuis le 23/08/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 5 18 93
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 39 35 4
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique








Derniers commentaires



  • Patrick Guillot Patrick Guillot 12 septembre 2011 11:33

    La pub affiche ou télé, ce n’est pas la même chose qu’un roman ou un film :

    - un film ou un roman s’annoncent comme tels, c’est-à-dire comme fiction, ou retranscription d’une réalité qui ne concerne que leurs personnages ;

    - on choisit de lire un roman ou de regarder un film, alors que la pub nous est imposée ;

    - la pub d’aujourd’hui est toute-puissante : elle véhicule un système de valeurs, elle porte des normes, et effectivement les enfants, les ados (et même des adultes) ne la distinguent pas de la réalité.

    C’est pourquoi , oui, il faut réguler, et parfois interdire, les pubs qui montrent des femmes ou des hommes battus. ou violés, ou tués. Quel rapport cela a-t-il avec les produits vendus ? Que les vendeurs fassent de l’argent avec d’autres images !



  • Patrick Guillot Patrick Guillot 23 août 2011 17:37

    Oui, j’ai appris à lire, mais pas vous, apparemment.
    L’article, et donc la discussion, porte sur les fausses accusations.
    Dans ce cadre, les victimes sont donc les innocents mis en cause.
    Donc vos conseils (très originaux !) trouveraient mieux leur place à la suite d’un article sur les abus sexuels avérés. 



  • Patrick Guillot Patrick Guillot 23 août 2011 15:02

    Commentaire d’arrière-garde !

    Par définition, les traces ADN permettent de confondre les vrais coupables. Mais l’absence de traces ne protège pas les innocents puisque la parole de l’accusatrice est considérée comme vérité révélée. Et comment pouvez-vous invoquer l’absence de traces quand elle porte plainte cinq, dix ou vingt ans plus tard ?

    « les précautions à prendre », c’est quoi ? Se filmer tous les jours et toute la journée pour prouver qu’on n’a pas commis en tel lieu et à tel moment tel acte qui vous est reproché ?



  • Patrick Guillot Patrick Guillot 23 août 2011 13:01

    Absolument sûr. Les plaintes pour « dénonciation calomnieuse » sont classées sans suite. Si elles arrivent au stade du procès, elles n’ont aucune chance : en effet, il faut démontrer que l’accusatrice avait l’intention de nuire, n’était pas « de bonne foi »... ce qui par définition est impossible à prouver. L’avocat de Mme Y. s’est d’ailleurs empressé de dire que sa cliente avait fait une dénonciation erronée « de bonne foi ».

    Au civil (si l’on a encre le courage d’y aller !), on peut obtenir une réparation symbolique mais c’est très rare.



  • Patrick Guillot Patrick Guillot 23 août 2011 12:18

    Le bon lien pour lextimes : http://www.lextimes.fr/4.aspx?sr=4044

    JL : non, ça n’a pas été « de tous temps ». C’est depuis les années 90 que les fausses accusations, non seulement se multiplient, mais encore sont prises favorablement en compte par les tribunaux (sans qu’on puisse inquiéter en retour les fausses accusatrices). Deux explications :

    - la prise en compte des vraies victimes (une bonne chose) qui a dégénéré en sacralisation (toute victime, même autoproclamée, étant crue sur parole)
    - la diabolisation de la sexualité masculine, l’ensemble des hommes étant désignés comme potentiellement violeurs ou pédophiles.


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv