Médecin généraliste, né en 1956, installé en 1984, marié, trois grandes filles, j’habite et je travaille dans l’arrière-pays grassois. Syndiqué à la FMF-Gé et à Espace Généraliste.
les Beatles (de très bons et fameux Anglais) faisaient très attention de ne pas employer « just » dans les paroles de leurs chansons : ils trouvaient que ça ne voulait rien dire et qu’il ne s’en servaient qu’en « dernière extrémité » pour ajouter un pied ou faire une rime. Il serait donc efficace de faire apprendre l’Anglais en chantant les Beatles.
J’ai réfléchi un peu et je me suis mis à imaginer des scènes familiales du genre : « si tu n’as pas de bonnes notes, tu n’auras pas ton chichon samedi soir ». On croit rêver, non ?
Sur le plan thérapeutique, en dehors du glaucome et d’un effet adjuvant anti-douleur, est-ce qu’on pourrait considérer le thc ou dérivés comme des psychotropes utilisables ?
D’un point de vue pratique, comment faire ? Je ne sais pas, il faudrait créer en discuter longuement sans doute dans des commissions. Considérer la minorité en dépénalisant l’usage, pour commencer ? Franchement, je n’ai pas d’opinion. Les mœurs, c’est de la matière vivante et c’est délicat d’agir sur elle.
Ayant fumé des troupes toute ma jeunesse, erreur fatale, j’en conviens, j’ignorais que je m’adonnais au cannabis, ou vous-aurais-je mal compris ? J’ai du mal à croire une telle info. Je crois plus volontiers aux borders-lines qui nous gouvernent mais dans la vie, il faut des nerfs !
Cela dit, qui serait intéressé par une normalisation économique de la « marchandise cannabis » ?
ps : je ne suis pas passé par Libourne, cher confrère, j’ai été VSN au Gabon avec passage au Pharo.