Merci Nabum pour ces 2 merveilleux articles sur les Beaucerons qui sont, je pèse mes mots, les meilleurs chiens qui existent. Pour la petite histoire, j’ai eu 3 femelles Beauceron et, la dernière qui a vécu 15 ans était une merveille, elle devinait mes pensées et était infatigable.
@olivier cabanel Sauf que vous oubliez, comme beaucoup, que la récolte appartient au propriétaire et que vous n’avez pas le droit de ramasser champignons, asperges ou autres et pendant que vous y êtes, pourquoi ne pas couper du bois . En théorie, vous n’’avez même pas le droit de circuler sur les chemins ruraux et à fortiori sur les chemins privés. Ceci dit la chasse, particulièrement en battue, et je ne suis pas chasseur est un des derniers lieux de sociabilité. Cordialement
Je vous comprends. Pour ma part je suis irrité, non c’est plus que ça, courroucé par la locution « merci quand même » qui a la même connotation que « c’est bien quand même ». Merci pour ce billet, je croyais, encore une fois, être le seul jobard du coin. Cela me soulage un peu. Cordialement.
@C’est Nabum ces petits plaisirs sont souvent des déjeuners d’hiver entre copains qui nous réunissent pour des raisons peu avouables ici et qui commencent au lever du soleil pour se terminer au milieu de l’après midi. Bien entendu les têtes sont un peu lourdes, bien entendu nos discussions ne sont pas dignes des philosophes, bien entendu ça vole souvent bas, mais qu’est ce qu’il est bon de se frotter non pas d’huile mais d’amitié, d’être franchouillard, grivois, libidineux enfin de se lacher...............
Je croyais être le seul à aimer les arbouses, merci au rédacteur.
Chez moi, avec ces fruits arrivent les olives que nous préparons vertes (je n’aime pas trop) et noires, « les fatchouires » , orthographe non garantie. Ce sont des olives que l’on pique avec une aiguille et que l’on met dans un bocal avec du sel pendant quelques jours. Une merveille à l’apéro ou avec un saucisson très sec....
Et puis bientôt le liquide doré, la merveille d’huile. Là encore une tradition que mon grand père m’a inculquée et que je respecte scrupuleusement , la « roustide » du matin.
Oh ce n’est pas compliqué, un bout de pain frais que l’on fait un peu, mais juste un peu rôtir sur le feu, et auquel on montre une gousse d’ail. Faut pas trop en mettre, et on arrose d’une gigantesque rasade d’huile neuve sortant du moulin.
Le tout suivi d’un canon de rouge de l’année et c’est une journée de bonheur qui s’annonce.