Un certain nombre de solutions sont envisageables en termes de détection
avec notamment la présence de drones stationnaires utilisés pour
améliorer la couverture radar dans des couches interstitielles. Ou
encore l’utilisation de spectromètres ou de techniques de
radiogoniométrie (techniques qui permettent de retrouver l’émetteur). De
son côté, la Direction générale de l’armement (DGA) a déjà fait des
expérimentations sur la détection de drones de plusieurs centaines de
kilogrammes. « Nous en menons actuellement sur des drones beaucoup plus
petits, de moins de 50 kilogrammes, souvent faits avec des matériaux non
détectables par des radars habituels, indiquait en novembre dernier un
représentant de la DGA lors d’une audition devant l’Office parlementaire
d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST). Ces
expérimentations couplent à la fois des moyens classiques et des moyens
d’écoutes électromagnétiques, d’imagerie active à l’aide de lasers ou
d’acoustique ». L’objectif pour la DGA étant de pouvoir détecter les
drones de manière sûre, quel que soit le lieu.
@Andromede95 Tu t’enfonces dans le mensonge et le ridicule, les poteaux centraux lachent entre les étages 7 à 12, mais les planchers aux dessus restent en suspension !? lol D’après ta théorie, la preuve de cet effondrement interne est qu’il se propage jusqu’au toit 10 secondes avant, tes propos n’ont plus aucune cohérence !