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Pentcho Valev

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  • Pentcho Valev 26 avril 2016 11:26

    Si le principe a été vérifié avec une précision de 13 décimales, l’augmentation de la précision ne concerne plus la relativité générale. Tout ce tapage n’est qu’un camouflage du fait que le principe d’équivalence contredit la relativité d’Einstein :



    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 25 avril 2016 13:10

    « Or, tout n’était pas relatif pour Einstein : entre autres ce grand scientifique n’a pu développer ses théories qu’en s’appuyant sur les travaux de Michelson et Morley qui avaient mesuré la vitesse de la lumière et remarqué qu’elle était la même dans toutes les directions de l’univers. C’est parce qu’il affirmait que cette vitesse était une constante absolue, quelque soit le repère spatial utilisé, qu’Einstein a pu relativiser les autres vitesses, le temps et l’espace. »


    C’est le mythe - la vérité est différente. En 1887 l’expérience de Michelson-Morley confirma, sans équivoque, la VARIATION de la vitesse de la lumière prédite par la théorie de l’émission de Newton :

    http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf 
     « In addition to his work as editor of the Einstein papers in finding source material, Stachel assembled the many small clues that reveal Einstein’s serious consideration of an emission theory of light ; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of relativity, whereas later writers almost universally use it as support for the light postulate of special relativity. Even today, this point needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE. »

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 10 mars 2016 13:20

    L’expérience de Pound-Rebka a confirmé la variation de la vitesse de la lumière (dans un champ de gravitation) prédite par la théorie de l’émission de Newton : 

    http://www.einstein-online.info/spotlights/redshift_white_dwarfs 
     Albert Einstein Institute : « One of the three classical tests for general relativity is the gravitational redshift of light or other forms of electromagnetic radiation. However, in contrast to the other two tests - the gravitational deflection of light and the relativistic perihelion shift -, you do not need general relativity to derive the correct prediction for the gravitational redshift. A combination of Newtonian gravity, a particle theory of light, and the weak equivalence principle (gravitating mass equals inertial mass) suffices. (...) The gravitational redshift was first measured on earth in 1960-65 by Pound, Rebka, and Snider at Harvard University... » 

    http://courses.physics.illinois.edu/phys419/sp2013/Lectures/l13.pdf 
     University of Illinois at Urbana-Champaign : « Consider a falling object. ITS SPEED INCREASES AS IT IS FALLING. Hence, if we were to associate a frequency with that object the frequency should increase accordingly as it falls to earth. Because of the equivalence between gravitational and inertial mass, WE SHOULD OBSERVE THE SAME EFFECT FOR LIGHT. So lets shine a light beam from the top of a very tall building. If we can measure the frequency shift as the light beam descends the building, we should be able to discern how gravity affects a falling light beam. This was done by Pound and Rebka in 1960. They shone a light from the top of the Jefferson tower at Harvard and measured the frequency shift. The frequency shift was tiny but in agreement with the theoretical prediction. » 

    Pentcho Valev



  • Pentcho Valev 9 mars 2016 10:29

    @Bernard Dugué


    Le mensonge fondamental :

    http://www.einstein-alaplage.com/ 
     Marc Lachièze-Rey, Einstein à la plage : La relativité dans un transat, p. 14 : « La cinématique galiléenne (ou newtonienne) possède une propriété remarquable et familière : les vitesses des objets s’y composent en s’additionnant simplement. Si vous marchez à la vitesse V1 dans un train qui roule à la vitesse V2, vous vous déplacez à la vitesse V1 + V2 par rapport aux rails. Une évidence totale a priori qui fut pourtant au cœur d’une crise décisive... En effet, les physiciens du XIXe siècle s’aperçoivent peu à peu que la lumière semble ne pas se plier à cette loi : au lieu de se composer avec la vitesse de la source qui l’émet, elle reste toujours absolument la même ! Une apparente aberration, pourtant confirmée en 1887 avec l’expérience cruciale de Michelson et Morley. » 

    Ce mensonge est trop flagrant. En 1887 l’expérience de Michelson-Morley confirma, sans équivoque, la cinématique galiléenne pour la lumière (la VARIATION de la vitesse de la lumière prédite par la théorie de l’émission de Newton) : 

    http://www.amazon.ca/Introduction-relativit%C3%A9-James-H-Smith/dp/B003YEIA3S 
     James H. Smith, « Introduction à la relativité », édition française dirigée par Jean-Marc Lévy-Leblond, pp. 39-41 : « Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n’y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l’expérience de Michelson-Morley... (...) Il nous faut insister sur le fait suivant : QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE SOIT INDÉPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N’EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPÉRIMENTALE. » 

    http://www.decitre.fr/livres/La-relativite.aspx/9782842450199 
     Banesh Hoffmann, « La relativité, histoire d’une grande idée », Pour la Science, Paris, 1999, p. 112 : « Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n’est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l’échec de l’expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l’avons vu, résista cependant à la tentation d’expliquer ces échecs à l’aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu’on pensait en termes d’ondes dans l’éther. » 

    https://fr.wikisource.org/wiki/Le_temps,_l%27espace_et_la_causalit%C3%A9_dans_la_physique_contemporaine 
     Séance du 19 Octobre 1911, LE TEMPS, L’ESPACE ET LA CAUSALITÉ DANS LA PHYSIQUE MODERNE, Jean Perrin : « Il est remarquable qu’un retour à l’hypothèse de l’émission, en admettant que les particules lumineuses sont émises par chaque source avec une même vitesse par rapport à elle dans toutes les directions expliquerait, dans les conceptions de la Mécanique classique, le résultat négatif de l’expérience de Michelson et Morley quel que soit le mouvement d’ensemble du système. D’autre part les physiciens, en développant la théorie des ondulations au point de vue du principe de relativité, sont amenés à conclure que la lumière est inerte et probablement pesante. N’est-ce pas un retour vers l’ancienne théorie de l’émission ? » 

    http://www.pitt.edu/ jdnorton/papers/companion_final.pdf 
     John Norton : « These efforts were long misled by an exaggeration of the importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation, has little force. Its null result happened to be fully compatible with Newton’s own emission theory of light. Located in the context of late 19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light predominated, however, it presented a serious problem that exercised the greatest theoretician of the day. » 

    http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf 
     John Norton : « The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE. » 

    Pentcho Valev


  • Pentcho Valev 8 mars 2016 12:47

    @Bernard Dugué « Special relativity General relativity Sur laquelle des deux porte mon article ? »


    Sur la deuxième. Mais tout commence avec la première - elle est « la racine du mal » :

    http://www.amazon.fr/Plus-vite-lumi%C3%A8re-Joao-Magueijo/dp/2100072471 
     Joao Magueijo, PLUS VITE QUE LA LUMIERE, pp. 298-299 : « Pendant plusieurs mois, à partir de janvier 2001, Lee [Smolin] et moi avons discuté longuement de ces paradoxes. (...) La racine du mal était clairement la relativité restreinte. Tous ces paradoxes résultaient d’effets bien connus comme la contraction des longueurs, la dilatation du temps, ou E=mc^2, tous des prédictions directes de la relativité restreinte. (...) La conséquence en était inévitable : pour édifier une théorie cohérente de la gravité quantique, quelle qu’elle soit, nous devions commencer par abandonner la relativité restreinte. Nous avons alors compris que beaucoup des incohérences connues, affligeant les théories de gravité quantique proposées jusqu’alors, résultaient sans doute égualement d’avoir religieusement supposé comme vraie la relativité restreinte. »

    Pentcho Valev
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