@njama L’huile à la petite cuillière c’est un peu dur à avaler. Je comprends pourquoi c’est vendu en gelules, mais là, c’est le prix qui est dur à avaler.
Et hop au passage une petite pub pour les produits pharmaceutiques omacor.
Ces gelules m’ont aussi été prescrites par mon cardiologue. Une fois passé à la caisse, je me suis rendu compte que la boite de 30 gelules est vendue à 22 euros NON REMBOURSEE. Le service médical rendu serait-il insuffisant ?. En outre, 70 centimes pour 1 gramme d’huile de poisson, j’appelle ça du vol. A ce prix, autant se faire plaisir, et consommer directement du maquereau ou des sardines, voire du foie de morue (en toast, c’est bon, si, si)
Je touve que Zamenhof a raté l’occasion de créer une langue où le masculin et le féminin seraient au même niveau. Traduire « femme » par « virino » écorche l’oreille, et l’introduction du suffixe « ge » qui inclue les deux genres est aussi horrible que l’écriture inclusive en Français.
Dommage, car mis à part cette objection, l’espéranto a tout pour séduire.
Il faut noter aussi que le gouvernement Macron aurait eu l’occasion d’éviter ce psychodrame puisque le CDTF (comité de défense des travailleurs frontaliers) a demandé à Mme Buzin, au lendemain de sa nomination, de régler la situation « à l’amiable ». Or au lieu de s’en sortir la tête haute, la ministre a persisté dans l’impasse ouverte par son prédécesseur Mme Tourraine.