Il faut bien choisir ses mots. Lorsque l’on parle de modèles
de calculs, on ne parle pas de la définition des scénarios. Il n’y a
donc pas de négociation sur les modèles de calcul. Dans le scénario : un train déraille, le fait qu’il transporte du blé ou du TNT ne chan ge rien au scénario. Pourtant il semble que si on considère du blé ou du TNT, le modèle de calcul ne sera pas le même, sauf peut être pour vous. Comment raisonnez-vous ? Pas étonnant si c’est vous qui réalisez ces calculs que des carte d’aléas comme celle de Feyzin (voir avant) sont rendu publiques la bouche en coeur...
Généralement
les débits de rejet pour un scénario sont calculés par PHAST ou par des
formules empiriques, on ne peut donc que difficilement remettre ces
méthodes de calcul en cause. Les variations de débit peuvent être prises
en compte.
PHAST, comme tout bon logiciel informatique, réalise les calculs selon les paramètres que l’homme qui l’utilise rentre dessus. Dans ce contexte, le logiciel est un outil et l’homme le décideur. Il semble donc évident qu’il est facile pour l’homme de « bricoler » les paramètres pour faire dire au logiciel ce qu’on veut qu’il dise. Les variations de débit ne sont pas prises en compte pour la simple et bonne raison que le débit est un paramètre fixe à rentrer à la main. Dans ce cas ci, le débit nominal est rentré dans le logiciel plutôt que le débit réel lors de la rupture a pression atmosphérique. Un logiciel ne réfléchit pas à votre place, désolé de vous l’apprendre...
Quand au rejet d’une
heure ou deux heures ou trois, si vous étiez un vrai modélisateur de
scénarios accidentels, vous vous rendriez compte qu’une fois le nuage
établi (régime stationnaire), la concentration à un instant t ne
s’élèvera plus. Par ailleurs, je vous invite à rechercher dans la
littérature mondiale des seuils d’effets pour des rejets accidentels
supérieurs à 1h, vous n’en trouverez pas, donc si on n’a pas de seuils
d’effet auxquels se comparer, il n’y pas lieu de réaliser une
modélisation.
BlaBlaBla... C’est tout à fait logique. C’est ainsi qu’un nuage radioactif « disparait » totalement après 1h... Idem pour un nuage toxique. Pas de ma faute si ça arrange les industriels du monde entier de raisonner ainsi.
C’était donc ça vos arguments « irréfutables » ? Vous en avez d’autres ? Je peux ?...
Moi je crois surtout que vous ne savez pas grand chose sur le sujet....
Tiens, j’ai la même impression vous concernant...Le choix de votre pseudo, sa création en réponse à cet unique article et votre argumentation limitée me fait croire que vous travaillez pour les industriels en question.
Si l’industriel met ce qu’il veut dans un PPRT avec l’aval de
l’administration évidemment , alors pourquoi les habitants de Martigues
ralent tant sur le contenu de leur PPRT ????
Pourquoi vous préférez vivre a 100 km d’une centrale nucléaire plutôt qu’a 2 ? Il n’y a pourtant aucun PPRT autour de ces sites... Écoutez vous parler... Un peu de bon sens vous ferai le plus grand bien !
Pour arrêter la guerre du pétrole et les guerres à cause du
pétrole, il suffit que cette origine abiotique inépuisable devienne
enfin un acquis définitif pour que la spéculation s’arrête, ce qui
provoquerait une chute rapide des prix du baril et ouvrirait une
véritable fenêtre d’opportunité pour des énergies plus saines et moins
polluantes, pourvu qu’on empêche les habituels criminels capitalistes
(privés ou d’état, c’est la même chose) de pouvoir spéculer sur la ou
les nouvelles sources…
Les méchants capitalistes !!
En crise économique pour brouiller les pistes alors qu’ils croulent sous l’énergie !
Une théorie servant particulièrement bien les intérêts Russesdonc.
Il a été parmi les premiers à attirer l’attention sur l’épuisement des réserves de pétrole, et en particulier la fin de la découverte de nouveaux gisements qui conduiront inévitablement à la déplétion après le pic pétrolier2.
Largement ignorée en Occident du fait des faibles volumes de pétrole
abiotique découverts, elle n’a jamais suscité de réel intérêt parmi les géologueset est de nos jours majoritairement considérée comme scientifiquement invalide.
Les pétrolier, dès 1850 avec la « Standard Oil », on eu la volonté de trouver de nouveaux gisements pour les exploiter.
Les « majors » ont parcourus et sondé la planète pendant ces 150 dernières années.
Il savent très bien faire la différence entre ce qui est exploitable, ce qui l’est moins et ce qui ne l’est pas du tout...