Trés bon article sur les ritournelles de notre classe politique qui, si nous étions pas dans cette grave crise nous paraitrait insignifiantes. Mais comme vous, je crois que la nature a horreur du vide et que ces faux semblants qui s’accumulent nous conduisent à des airs moins drôles.
En attendant je vais suivre votre conseil, dehors malgré le vent qui souffle, il fait doux.
Le poste d’ambassadeur à Rome, palais Farnèse, au printemps, faire son petit marché avec madame à Campo de Fiori, il faut vraiment s’appeler Darcos pour refuser pareil paradis.
Surtout aprés avoir perdu le poste de maire de Périgueux, raté sa réforme de l’éducation, gâché son poste de ministre, et perdu les régionales. Il y a effectivement pire comme compensation pour services non rendus .
Hou là là ! les belles lettres aiment la vertu sans E, le Château de Versailles avec un accent circonflexe et un S.
En attendant, je crois que l’heureux bénéficiaire actuel de la charge royale, le sire d ’Aillagon fait de la résistance, au milieu de ses trophées « panoplie de l’art contemporain ».
Peut-être que le doge condottière Pinault viendra à son secours ?
En tous les cas c’est pas une affaire pour le bas peuple, organisme public qui n’a de public que le nom, ce n’est plus qu’un écrin pour les fantaisies et caprices de notre petit souverain.
Belle interview, j’aime beaucoup la notion du « marginal raisonnable », la tentation de la vie qui brûle, et aussi l’obligation de la vie de tous les jours, et finalement dans ce milieu qui aurait pu être tiède, le portrait aigu d’un discret poète.