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Pierre Sanders

Pierre Sanders

Tueur bénévole (gros et détail), j’ai chargé, jusqu’à l’occiput, mon cerveau avec des mots, et je tire sur tous les déplorables (deplorables, en v.o.), qui passent à ma portée. Cela fait du monde entre Nabuchodonosor II et Florian Philippot.

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Derniers commentaires



  • Pierre Sanders Pierre Sanders 20 octobre 2018 16:46

    @alinea

    « J’ai l’impression que vous tous les petits mâles, vous êtes jaloux !  »


    Les petits mâles, d’accord, mais nous Madame ?Jaloux de qui ? 

    D’une sorte de lope qui perd ses nerfs, parce qu’elle s’est cassée l’ongle de l’annulaire gauche, en empoignant le téléphone pour donner l’ordre, à sa boniche, de venir immédiatement ramasser le Dupont finition or jaune massif 18 carats (19’500 euros) qu’elle a laisser tomber ?

    Madame, madame, nous avons vécu en un bout de vie, plus que vos petits merdeux dont on serait jaloux. T’entends ça, matelot ? 

    On leur dit qu’il y a eu une vie, avant que tu retournes dans la Royale ? Allez on leur dit, mais qu’ils éloignent les mouflets, c’est interdit aux moins de 18 ans ! Et ça pourrait leur donner des idées sulfureuse et nauséabondes pour leur avenir.

    Chauffe Marcel (Bigeard, c’est trop drôle)



  • Pierre Sanders Pierre Sanders 20 octobre 2018 10:57

    @jmdest62

    Vous êtes très mal informé ou vous avez la mémoire courte

    Même JLM a protesté contre la demande d’expertise psy demandée à l’encontre de MLP

    @+

    Vous avez raison (j’ai oublié l’histoire de l’expertise et vous avez tort « en même temps ». Je suis bien informé et ma mémoire me surprend par certaines de ses performances. Mais elle catégorise les informations en fonction d’une estimation arbitraire de l’utilité qu’elle pourrait avoir ultérieurement.

    Le soutien de JLM à MLP tombait dans la catégorie « Négligeable » non parce que c’était favorable à JLM, mais parce que je m’’intéresse à ce que je considère comme des bricoles, Vous vous souvenez qu’en d’autres temps, Mélenchon avait traité Marine Le Pen de « semi.-démente ». J’aurais pu publier un petit truc dans lequel j’aurais dit que je ne comprenais que Mélenchon n’ait pas sauté sur l’occasion pour en avoir le cœur et peut-être déclarée inapte politique comme d’autres sont inaptes au service militaire

    Je regrette ce « classement ¨ », parce que si j’avais prise en compte de l’info classée « négligeable » la fin de mon texte en aurait été améliorée. C’est mon opinion, on ne peut ne pas la partager, mais quand je suis tout seul devant mon écran, c’est moi qui décide de ce qui est bon et de ce est mauvais.

    Voici donc ce qu’aurait été la fin remaniée :

    Quand une malicieuse gamine a été condamnée à neuf mois de prison ferme pour avoir singé Taubira, je n’ai toujours rien dit

    Quand une expertise psychiatrique été demandée contre Marine Le Pen, alors là, j’ai dit, textuellement, tout ce que j’avais à dire.

    Mon commentaire :

    « Marine Le Pen est politiquement responsable ! » Alors ça, ça vient de sortit. Qui s’est-y qui nous l’a changé comme ça, le bon Jean-Luc ? Il y a, dans son parti, des gens qui estiment que tous les coups sont bons, et que cette complaisance prouve que le Vieux est en phase de délabrement psychique. Il  y a des voix à perdre et peut-être des défections des défections à redouter

    Mélenchon, il sait tout ça, il sait tout, c’est un vieux briscard, mais il ne peut rien dire pour des raisons stratégiques. Mais alors, qu’est-ce qu’il se passe ? Il se passe que Mélenchon a senti le vent du boulet. L’attaque portée contre Marine Le Pen l’atteint de plein fouet. Il sait, depuis au moins huit ans, mais certainement que Marine Le Pen et lui sont, en fait, les seuls à exister politiquement :

    « - C’est un grand classique de l’histoire, vous savez, à la fin, ça se réglera entre eux et nous. Si les choses ne s’arrangent pas, si le chômage ne recule pas, si la catastrophe financière n’a fait que commencer - ce qui est ma thèse - et que vous aurez bientôt d’immenses secousses qui vont venir, ça se terminera entre deux visions de la société, la vision solidariste, collective, républicaine, et l’autre vision, que vous connaissez tous, qui est ethnique, autoritaire... » France InfoParlons net – 22 janvier 2010.¨

    P.S. – Je vous offre une information qu’à ma connaissance personne n’a exploitée comme je le ferais. Elle n’est surtout pas négligeable, mais je ne lui vois aucune utilité dans un avenir prévisible.

    JMLP a exprimée désir de figurer sur la liste du Rassemblement national lors des européennes de mai 2019. C’est énorme ! C’est énorme pour qui se souvient des tonitruances du Menhir lors du changement de nom du FN, son enfant.

    Sur ce coup, il bouffe tous les bérets de paras qu’il a portés lors de ses campagnes et, s’il a vraiment « auditionné » du fellouze, il se goinfre aussi la gégène qui allait avec. 

    Le sujet est à vous.



  • Pierre Sanders Pierre Sanders 20 octobre 2018 01:38

    @Désintox

     

    « hmmm ... la »malicieuse gamine", c’était elle ? »

     

    Ouais, ouias, c’est elle. IL n’y rm a pas 36

     

    « Si oui, ce n’est pas vraiment une gamine.. »

     

    Faut bien se marrer un peu…

     

    « et elle n’a pas été condamnée pour avoir singé Christiane Taubira. »

     

    Ah, moi j’étais certain qu’elle avait été condamnée pour le rapprochement de ces deux photos :

     

    https://i.ytimg.com/vi/bnhdvy8pNHE/hqdefault.jpg

     

    « Le racisme n’est pas une opinion. C’est un délit »

     

    C’est odieux comme slogan, mais si j’étais dans une « assoce », tout en sachant ce que ça vaut, j’utiliserais à fond. Le combat politique, même dans sa version verbale, n’est pas à la portée des estomacs délicats.

     

    Dons, le racisme n’est ni une opinion, ni un délit : c’est un sentiment (de rejet) et les sentiments ne se commandent pas

     

    Quand l’avocate Sylvie Noachovitch dit :  « Moi, mon mari peut dormir tranquille. Dans ma circonscription, il n’y a que des Noirs et des Arabes. L’idée de coucher avec l’un d’entre eux me répugne. » elle fait scandale, je comprends sans comprendre.

     

    Les Noirs et les Arabes lui répugnent, elle le dit, bon ben voilà. Sa répugnance est viscérale. Pourquoi ne devrait-elle pas le dire ? Ca aurait pu ‘être les Sioux et les Ceyennes, non ce sont les Noirs et les Arabes… Dont acte. Moi, je suis d’accord pour qu’on donne le droit de proclame « Les blancs sont des gros dégueulasses… » parce que cela… C’est juste l’opinion d’un type, comme quand Benalla doit que Macron s’es fait avoir comme un lapin de six semaines, En plus e ne vois ce qu’il veut dire, moi qui, quand j’étais gosse élevais des lapins. pour me faire de l’argent de poche.

     

     

    Pareillement, c’est juste l’opinion s’un mec quand le « Jean-Paul II le plus grand homme du XXème siècle » Pour moi, le plus grand homme du XXe, c’est mon grand-père parce qu’il m’a laissé un couteau à cran d’arrêt, quand il est mort. C’est mon opinion comme s’est son opinion au Noir qui dit : « Les blancs sont de gros dégueulasses… comme moi je dirais « les Auvergnats » me foutent la  gerbe. »



  • Pierre Sanders Pierre Sanders 19 octobre 2018 23:38

    @Pierre Sanders

    Voilà que je me prends pour Zak5. Je sais pas si ça soigne.. 

    Se prendre pour quelqu’un de bien, Jésus, Bouddha, Landru, Dunant, celui de la Croix Rouge, Mandela, l’ayatolla Khomeini, Gandhi, Shiro Ischii, c’est du conventionnel, traitement standard, dosages universels.

    Mais alors un demi-sel comme Zak cinquième du nom, il faut voir au-delà de la médecine. Lourdes peut-être... Un rebouteux chevalin ?


  • Pierre Sanders Pierre Sanders 19 octobre 2018 23:24

    @Pierre Sanders

    Oh la la. On voit que vous ne me connaissez pas, pas du tout. Je ne parle jamais aux flics. Oui, non, nom, prénom, qualités.

    Après, c’est du cas par cas.

    Je vais vous refiler un truc, dont tout le monde ici, pourrait faire son profit une fois ou l’autre.

    Une plainte avait été déposée contre moi, pour une babiole insignifiante mais pénale quand même. Il n’y avait ni témoins ni indices.

    Deux policiers viennent me quérir.

    - Veuillez nous suivre au commissariat.

    J’enfile une veste, je prends mon trousseau de clés.

    - Je vous suis.

    C’est déjà pas ce qui était prévu.

    Moi, je dois dire : - Pourrais-je au moins connaître…

    Eux, leur réplique, c’est : - Ici, c’est nous qu’on pose les questions

    C’est mal parti. Pour eux.

    Je monte dans leur fourgon, toujours muet comme une carpe, je les suis jusqu’à la salle d’interrogatoire.

    J’ouvre une parenthèse. Si dans le fourgon, il y a une vitre qui donne sur la rue, et qu’un flic est resté à côté de vous, à la première gonzesse qui passe, vous émettez un sifflement admiratif, même si c’est un thon, même si elle tarte comme une maigrichonne de 65 ans retraitée de l’Education nationale.

    Ne jamais regarder si le flic réagit et comment !

    A ce moment-là, les bourres, ils pensent soit qu’ils ont affaire à un dur de dur, qui survivra à une avalanche d’annuaires téléphoniques sans rien lâcher, soit qu’il s’agit d’un doux dingue vivant hors de l’espace et hors du temps.

    A aucun moment, pendant leur éducation de flics, personne ne leur a parlé de types qui pourraient les balader. C’est inconcevable. Eux si tellement intelligents et les citoyens, si tellement cons.

    Retour à la salle d’interrogatoire.

    Je réponds poliment à toutes les questions, de préférence par monosyllabes. Vient le moment où on entre dans le dur. Je hasarde une question :

     

    - Vous dites que c’était quand ?

    - Le 30 février dernier. Il y a pile trois mois, répond l’un d’eux, presque mielleux. Ainsi, c’est lui qui fait « bon flic » quand les choses se passent « normalement ».

    - Moi, interloqué : - Comment voulez-vous que je me souvienne d’une soirée précise coincée entre les dix précédentes, toutes identiques, et les dix suivantes toutes semblables ? Si j’avais fait quelque de spécial ce soir-là (j’avais fait quelque chose de spécial), je m’en souviendrais obligatoirement, mais alors là…

    Je me tiens le front, fais semblant de réfléchir intensément. En vain, il n’y a rien qui me revient.

    Ne jamais inventer des détails pour faire vrai, jamais, un mot de trop peut-être fatal.

    Il y a des vrais affranchis qui ont fini sur la bascule, à cause d’un mot malheureux qui, par recoupements, ont orienté la volaille dans une autre direction.

    J’attends, nonchalant, de lire et de signer le procès-verbal. Je lis et juste avant que je signe, un des deux flics, le faux « bon » me demande :

    - Vous avez quelque chose à ajouter ?

    Et moi, jubilant de l’intérieur à en exploser :- Ben c’est-à-dire que…, si une affaire comme cela se reproduisait, je préférerais ne pas devoir aller au commissariat entre deux policiers. Les voisins ne peuvent déjà pas me saquer. Je suis distant, paraît-il…


    Cela dit, ma gracieuse consultation, c’est pour des bricoles, des petites bricoles.

    Si vous avez laissé du matériel génétique à l’intérieur de la morte, si elle a des bouts, même microscopiques, de votre cuir chevelu sous les ongles et 750 mm2 (50 x 15 mm) de votre marcel entre les dents, je déconseille fortement. Déjà que les jurés ne vous auront pas à la bonne à cause du motif décoratif que vous avez réalisé, de son vivant, avec une cigarette sur le ventre de la victime, mieux vaut ne pas les agacer davantage. La Veuve n’existe plus, mais personne n’a intérêt à figurer au Guiness, avec un record d’incompressibilité.

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