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Pierre Sanders

Pierre Sanders

Tueur bénévole (gros et détail), j’ai chargé, jusqu’à l’occiput, mon cerveau avec des mots, et je tire sur tous les déplorables (deplorables, en v.o.), qui passent à ma portée. Cela fait du monde entre Nabuchodonosor II et Florian Philippot.

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  • Pierre Sanders Pierre Sanders 18 octobre 2018 22:38

     Je n’ai jamais trop su que penser de Mélenchon. Maintenant, je sais.

     

    Curzio Malaparte a intitulé le chapitre consacré au Führer, dans sa Technique du coup d’Etat : Hitler, une femme

     

    Mélenchon, une femme – ça colle

     

    Tout le contraire de l’homme à qui je prêtais une bonne mentalité du fait de son mépris des journalistes.

     

    La raison de sa disgrâce ? Son comportement obscène lors de la perquisition de son « local ».

     

    Quand on pense au bénéfice qu’aurait tiré un homme intelligent, réfléchi, un peu vicieux quand même, maître de ses nerfs, de cet incident : un triomphe national et une consécration internationale.

     

    La scène : une cage d’escalier pleine de monde, l’abruti(e) Mélenchon qui grimpe les marches en éructant, Bousculades, cris, un spectacle navrant.

     

    Rejouons la scène avec Paul Meurisse…

     

    - Bien le bonjour, Messieurs de la maréchaussée.

     

    Un temps :

     

    - Puis-je m’asseoir et vous observer ? Après tout, c’est moi qui vous paie, n’est-ce pas ? Je surveille votre fouille, et, en même temps comme aime faire le roi Jupiter, je m’assure qu’il est fait bon usage de mon argent.

     

    C’est le buzz planétaire avec sous-titres, jusqu’en tagalog, en telugu et en sebuano

     

    Dans une certaine mesure, le primate Mélechon, déchaîné, cramoisi, esclave de ses nerfs, est la honte de la France, comme Sgarbi est la honte de l’Italie. On plaint sa femme, on se demande si cet hystérique, bouffi et écarlate, parvient à se retenir avant les coups et, sinon, combien ça lui coûte pour que sa carrière politique ne soit pas brisée net ?

     

    https://www.youtube.com/watch?v=AfWu8xRf3Mk

     

     

    N’oublions jamais qu’il y a quelque chose qui cloche dans une société où ce genre de créatures, aussi instruites et cultivées l’une que l’autre (Sgarbi est critique d’art et diplômé en philosophie), l’une de droite (13 changements de parti pour Sgarbi), l’autre de gauche, sont également libres de sortir sans muselière, de rencontrer des dames, de les séduire, de les saillir et même – horresco referens – de les engrosser. Elles ont le droit de vote et d’éligibilité, et, quand on est Sgarbi on peut être assesseur aux biens culturels sur la terre qui vit naître Bellini, Scarlatti, Pirandello (prix Nobel de littérature 1934) et Quasimodo (prix Nobel de littérature 1959), et, pire encore, secrétaire d’Etat au ministère des biens et des activités culturelles du pays de Michel Ange, de Léonard de Vinci, de Palladio, de Cellini, de Monteverdi…

     

    Maintenant, à mes frères hommes, qui ont conservé l’exclusivité du port du pantalon, je donne un truc qui fait des merveilles - je parle d’expérience – si vous avez une femme qui aime les scènes de ménage, les provoque, use de la pire mauvaise foi – une leurs spécialités – pour vous faire bondir, agissez comme suit : sans prononcer une parole, prenez le collier du chien, mettez le collier au chien et sortez pendant une heure. Ensuite, chose très importante, attendez qu’elle prenne l’initiative de parler, ne faites pas le premier pas – il n’y a pas de gouzi-gouzi qui tienne - Il m’est revenu, après ma première « fugue », que ma petite femme, je l’adore, l’avait jouée fanfaronne auprès d’une copine à elle :

     

    - Il part, mais je m’en fous, je sais qu’il revient.

     

    Après trois ou quatre applications de ma trouvaille, elle n’allait plus avoir à s’en foutre de quoi que ce soit, le message avait passé : quand on me cherche, on me trouve pas. En ainsi entra-t-on dans l’ère de la sérénité matrimoniale. Elle dure toujours.

     

    P.S. – Je ne sais pas comment ça fonctionne, je n’ai pas le temps, cette semaine, j’offre  qui la veut l’idée du lancement d’un sondage* : - Pensez-vous que Jean-Luc Mélenchon, président du groupe FI à l’Assemblée nationale, batte sa femme ?

     

    * Passez par Tor, éventuellement

     

    Ne pas oublier que ça peut le cramer politiquement, alors ceux qui l’aimeraient bien sont prévenus, Les autres aussi.



  • Pierre Sanders Pierre Sanders 17 octobre 2018 01:34
    @Attila

    « Tous les électeurs étaient au courant. »

    Poil au dent !
    Un électorat soucieux d’un minimum de moralité de ses élus…
    Poil au barbu !
     ..n’aurait pas accordé plus de 2 ou 3 % à un tel candidat.
    Poil au nougat !
    Des mômes à l’école enfantine
    M’sieur, m’sieur :
    Riri, il a fait 56, il devait même pas dépassé 3
    Plutôt de chialer comme des pisseuses, vous devriez vous demander ce qu’il faut balancer pour que cette grosse loche ne dépasse pas 3 %.
    Vous ne méritez pas d’avoir le droit de vote !!


  • Pierre Sanders Pierre Sanders 12 octobre 2018 17:18

    Comment ça, les Ricains ne sont pas allés dans la Lune ? On nous aurait menti ? Tout ce temps ? On se serait fait rouler dans la farine ? Ben merde, alors. Si je remonte dans mes souvenirs, je sais que j’étais allé me coucher comme d’hab, que mon père m’avait dit « T’es toujours le même, tu t’intéresses à rien », ce qui était une criante injustice, puisque je jubilais de savoir que ces cons de Russes, avaient perdu la course à l’espace, sans qu’une seule seconde ne me vienneà l’esprit la pensée sacrilège que tout pouvait encore foirer.

    Né chez des communistes primaires, communiste primaire moi-même, on croyait encore que les Viets allaient, pour finir, se faire carboniser. Puis nous fêtâmes comme il convenait la fin sans gloire de ce pochtron d’Allende, sans savoir s’il fallait, ou non, prêter foi à une rumeur qui attribuait sa mort à un agent secret écossais, un compatriote de James Bond, du nom de Johnny Walker.

    Bien des années plus tard, les inévitables chers disparus en moins, je fus la premier de la famille, mais pas le dernier, à me convertir au poutinisme et ces histoires de loups-garous, Pearl Harbour/WTC, etc, etc. n’éveillent plus rien. Tout ça, pour dire que cette histoire d’Appolo, conne comme la Lune, on s’en fout à un point stratosphérique. On a changé au moins trois fois de planète depuis 1969.





  • Pierre Sanders Pierre Sanders 4 octobre 2018 09:55

    @Renaud Bouchard


    Bonjour

    Je suis avec attention la discussion que vous menez à propos du fonctionnement d’AgoraVox et j’aurais une petite question, pas du tout indiscrète, à vous poser : vous avez modéré 300 articles depuis 2006, conservez-vous le souvenir d’un article pour lequel vous avez voté et affichant, après votre vote, un score supérieur à + 4 ?
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