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Pierre-Yves Martin

Retraité.
Né en 1943

Tableau de bord

  • Premier article le 26/05/2015
  • Modérateur depuis le 27/01/2017
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Derniers commentaires



  • Pierre-Yves Martin 23 novembre 2010 15:09

    Ce qu’on me disait du diable quand j’étais gamin s’applique fort bien à ceux qui nous contrôlent, grand capital financier (c’est plus large que « capitalistes »), média asservis, droite politique, etc. : c’est quand on ne les voit pas faire qu’ils sont le plus dangereux.

    En termes concrets d’élection présidentielle, ceci signifie que ce sont eux qui choisissent... le candidat du PS.

    Souvenons-nous ! La dernière fois, jusqu’à ce que le PS adoube Madame Royal, c’était la candidate idéale, la wonderwoman qui allait battre presque à coup sûr Monsieur Sarkozy. Les média en étaient remplis et les sondages leur servaient de preuve, dans un parfait cercle vicieux. Lorsque sa candidature a été actée, le ton (et les sondages) ont changé du tout au tout.

    On nous refait le coup avec Monsieur Strauss-Kahn, mais avec une grande différence. Ils verraient d’un bon œil que ce soit lui qui soit élu :

    • parce que le style de Monsieur Sarkozy ne passe plus,

    • parce que son étiquette PS/« gauche » permettrait de faire avaler plus facilement l’inacceptable et freinerait les résistances politiques ou syndicales,

    • parce qu’il ferait la même politique économique et sociale et serait encore plus soumis à l’UE que l’actuel Président de la République ; cet article à le grand mérite de très bien le montrer .

    Si Monsieur Sarkozy est réélu, ils ne seront pas pour autant mécontents. Ils jouent sur les deux tableaux.

    Notre seule chance : faire comprendre à ceux qui décident au PS (les adhérents ne comptent pas) que les électeurs ne suivront pas, malgré tous les sondages possibles, et notamment que les abstentions au second tour seront mortelles. Or la carrière d’une partie de ces dirigeants du PS ne survivrait pas à un niéme échec.

    Donc je commence : je m’abstiendrai plutôt que de voter pour Monsieur Strauss-Kahn.



  • Pierre-Yves Martin 8 novembre 2010 11:30

    Chez nous, la situation économique est certes bien moins mauvaise. Par contre, l’éclatement de la gauche est pire.

    Ce qui arrive en Grèce n’est pas sans préfigurer ce qui nous attend, par exemple si le PS fait élire M. Strauss-Kahn.



  • Pierre-Yves Martin 8 juin 2010 18:32

    Bonsoir Philippe et amical souvenir,

    Je comprends mal pourquoi on parle souvent de « sortir de l’Euro » et jamais de « sortir de l’Union Européenne ».

    Toutes les horreurs auxquelles vous faire allusion, et bien d’autres, sont inhérentes à la nature même de l’U.E., à ses pratiques rodées et hyper-verrouillées, à ses traités récemment renforcés par celui de Lisbonne (ex « constitution Européenne »), par son but même : ôter tout pouvoir aux peuples et le donner exclusivement à l’argent (en pratique aux grands groupes internationaux).

    L’Euro n’est qu’un volet et je ne suis pas sûr que ce soit le plus déterminant. Je ne crois pas non plus à la possibilité d’ « une autre Europe » dans un avenir prévisible : tout à été fait pour qu’elle n’existe pas.

    « Sortir de l’Euro » en restant dans l’U.E. , ne serait-ce pas faire face à une spéculation féroce (ce qu’on a appelé en d’autre temps le « mur d’argent »), tout en étant totalement ligotés par les règles, institutions et mécanismes de Bruxelles/Luxembourg/Cologne ?

    Dans une situation pareille, les demi-mesures ne seraient elles pas les plus dangereuses ?

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