@lloreen A partir de combien de pourcentage, les immigrés existent ils ? Parce que 3% d’une ville de 100.000 habitants cela fait quand même 3.000 individus. Probablement plutôt jeunes, ce qui porte le pourcentage peut être à 6% d’une tranche d’age et probablement 25% dans les classes scolaires des quartiers populaires...
Beaucoup de belles hypothèses, mais finalement quelles sont vos sources ?
Au bout du compte on ignore qui manipule qui. Une seule chose compte : le départ du faucon Bolton, ce qui globalement et jusqu’à preuve du contraire est une excellente chose et la démonstration que Trump a du répondant . Je n’en dirais pas autant de son prédécesseur.
Et bien… quand on commence un article avec une citation de Joffrin on affiche clairement son positionnement. Pas la peine d’aller plus loin, le discours est rodé et rabâché.
Une manie pour cet auteur. Ouvrir le robinet d’eau tiède.
Sur le sujet traité : il faut convenir que quitter l’UE est un exercice difficile, encore plus pour le Royaume uni. Johnson, après deux ans d’immobilisme, tente un coup pour clore le dossier. pensez qu’il est un dictateur est une analyse de niveau 0. Uen « pensée » pour classe de lycée. Bon chaque époque à ses trotskistes.
@njama je ne relativise pas, je la dé-essentialise. j’ai connu des déportés ( Dachau, ravensbruck) qui, résistant ou juif, n’en faisaient pas le cœur de la guerre même si leur chair portait un matricule. Ils savaient que l’on mourrait en masse dans les camps de travail même sans chambres ( les images de ces amas de cadavres diffusées proviennent pour la quasi totalité de ces camps.) je partage l’avis de Zemmour : que les camps aient existé ou pas n’auraient rien changé au déroulement de la guerre, ni à sa gestation. Sur le plan moral c’st évidemment une autre histoire , mais avec 55 millions de morts il est difficile de ne pas penser que les massacres ont été perpétrés par une majorité d’acteurs, vainqueurs et vaincus.
@njama j’ai été surpris d’entendre Claude Lanzmann, le réalisateur de shoah, déclarer sur une radio publique il y deux trois ans : « le problème c’est qu’il n’y a ni preuve ni témoin ». Sans la loi, il est impossible sur un plan historique ou juridique de défendre cette apogée de l’antisémitisme (et des autres), des camps de la mort. Pour le reste les éléments factuels abondent. j’abonde dans votre sens. Il y a une occultation dans les programmes scolaires et ailleurs des questions politiques, militaires, sociales, économiques, géopolitiques de la guerre en Europe en raison de cette fixation historique, qui ne ressuscitera pas les morts mais rend incompréhensible cette période à la plupart d’entre nous et des jeunes en particulier.