Pour le cas où vous ne l’auriez pas compris, je suis, une fois n’est pas coutume, relativement d’accord avec vous sur le fond de votre texte.
J’ai bien compris que vous préférez que l’on vous tresse des couronnes de laurier mais j’ai préféré relever quelques imprécisions qui ne me semblent pas anecdotiques.
Si pour vous elles le sont, permettez-moi de vous parodier :
Heureusement que B. Cantat n’a pas fait appel à Maître Grangil pour assurer sa défense.
Un avocat qui confond « coups mortels » (sans intention de tuer) meurtre et assassinat dans son plaidoyer....
Quant à l’autosuffisance à laquelle vous nous avez habitué et qui vous autorise à donner des leçons de maintien et à distribuer les bons et mauvais points :
j’imagine que pour vous Johnny "c’est du bon rockl et que ses textes (qui ne sont pas de lui) sont intéressants.
Le « déballage » c’est N. Trintignan qui, profitant de son statut obtenu de par sa naissance de « membre du camp du bien » a demandé à venir le faire sur des plateaux télé.
Je ne lui reproche pas de vouer une haine inextinguible à celui qui a tué sa fille.
C’est humain.
Je lui reproche le deux poids deux mesures de ses positions (elle aurait dû dans les deux cas a minima s’abstenir - surtout concernant Polanski - ) et je reproche aux journaleux de lui dérouler le tapis rouge pour venir souffler sur les braises et entretenir la flamme de la haine qui participe au « diviser pour régner » et sert tout à la fois de leurre et de défouloir.
C’est pas par hasard si en première ligne de cette « affaire » qui tombe à point nommé au moment où micron veut utiliser les ordonnances pour dépecer la SNCF, on voit les hystériques des LGBT.
Mais bon, P. Péchin (que j’ai croisé à plusieurs reprises et qui nous a malheureusement quittés récemment) c’est pas V. Hugo et surtout, ça ne veut pas du tout dire la même chose.