On ne peut pas mieux résumer la situation en si peu de mots.
Quand une caricature représente mahomet avec une grenade dans le turban, pour nous rappeler que ce trou du q était un assassin, violeur et tortionnaire, les mahométans essayent de nous prouver le contraire en brûlant des voitures, en incendiant des églises et en poignardant des innocents.
« La laicité n’a rien d’universelle. J’ai n’ai d’ailleurs pas été consulté pour la rédaction de cette idéologie, ni on m’a demandé de voter pour ou contre..Niveau universalisme ça craint un peu pour commencer.. »
Je crains fort que vous n’ayez pas non plus été consulté sur la valeur de la constante de gravitation universelle.
La laïcité est universelle en ce sens qu’elle ne privilégie aucune religion particulière. Mais le concept s’est développé dans le cadre particulier de l’histoire des relations entre la religion catholique et l’état français. Et il ne fonctionne que dans la mesure où les religions acceptent de se laisser confiner à la sphère privée.
L’islam n’acceptera jamais de rester dans la sphère privée. Et toutes les belles paroles de TR ne servent qu’à nous endormir jusqu’au jour où les musulmans devenus majoritaires auront la possibilité de changer la constitution de façon démocratique et d’imposer la charia.
« la laicité est une idéologie dégénéré »
Là, je vous rejoins. Si au nom de la laïcité il faut accepter une idéologie totalitaire qui a pour vocation de détruire cette même laïcité, alors il faut se rendre à l’évidence : ce n’est pas avec la laïcité qu’on va lutter contre la bête.
Alors, je pense qu’il faut abandonner ce concept et prendre des mesures radicales si nous voulons éviter de replonger dans le moyen-âge. Le problème : comment prendre des mesures radicales sans avoir l’air de gros fascistes.
La solution est simple et elle se trouve évidemment dans le coran et les hadiths. Comment les califats ont-ils réussi à subjuguer les minorités appartenant aux religions du livre ? En appliquant la dhimma. Alors faisons de même : la laïcité pour les religions qui l’acceptent, et la dhimma pour les ressortissants islamiques.
Voilà à peu près ce que cela donnerait :
-Le mahométan qui vit sur le territoire est toléré s’il se conforme à nos lois. Étant un ressortissant de la nation islamique qui nous a déclaré la guerre et avec laquelle nous n’avons pas de relations diplomatiques, le mahométan ne peut recevoir la nationalité française, sauf s’il rejette l’islam. Le mahométan qui rejette l’islam est le bienvenu. Le citoyen qui se convertit à l’islam est considéré comme un déserteur et est décapité.
- Le mahométan ne peut exercer aucune profession qui le mettrait en position de donner des ordres à un citoyen.
- Le mahométan qui veut épouser une citoyenne doit s’engager à ne pas donner à ses enfants une éducation islamique ; la mahométane qui veut épouser un citoyen doit d’abord rejeter l’islam.
- Le mahométan n’a droit à aucune prestation sociale ; au contraire, il doit payer une taxe supplémentaire destinée à l’appauvrir et à l’humilier.
- Peine de mort pour un mahométan qui tue un citoyen ; par contre, un citoyen qui tue un mahométan ne peut être condamné à mort.
- Toute insulte à l’ordre républicain de la part d’un mahométan est punie de mort. En pratique s’il y a seulement présomption d’insulte, basée sur des rumeurs, et que des citoyens décident de prendre la justice entre leurs mains, les autorités peuvent fermer les yeux.
- Tout signe extérieur de religion islamique dans l’espace publique est considéré comme une insulte à l’ordre républicain. Les mahométans peuvent construire des lieux de culte discrets à leurs frais, mais ils ne doivent pas faire d’ombre à nos élevages de porcs. Ici encore, si un lieu de culte dérange des citoyens et que ceux-ci décident d’y bouter le feu, les autorités peuvent fermer les yeux.
C’est raciste ce que j’écris ? Comment des prescriptions coraniques pourraient-elles être tout d’un coup racistes quand on les appliques aux mahométans ?
Alors que pendant des siècles, ce système, appliqué aux gens du livre, a été considéré par les mahométans comme un signe de générosité de la part de l’islam envers les gens du livre.
Alors, oui TR est un faux-cul, expert en taqiyya, non pas parce qu’il dit une chose aux occidentaux et une autre aux mahométans, mais parce qu’il essaye de nous faire croire que l’islam va se réformer et biffer toute un partie du coran rien que pour nous faire plaisir. S’il souhaite que l’islam se réforme, qu’il aille prêcher en Arabie.
Les Juifs ont été expulsés de la Palestine par les Romains au premier siècle. Aux septième siècle, les meutes arabo-mahométanes ont envahi la région. Ce sont les Arabes les colons. Ce sont eux qui ont envahi, colonisé, arabisé et islamisé cette région, comme ils l’ont fait de la Mésopotamie, de l’Egypte et du Maghreb.
Je comprends la tragédie des Palestiniens. Ils sont nés là et ils ne connaissent pas d’autre pays où ils pourraient se sentir chez eux. Leur situation est un peu la même que celle des Français d’Algérie. Leur seule faute est d’être les descendants de l’envahisseur. D’un côté, les Israéliens les traitent beaucoup plus humainement que les sauvages du FNL ne l’ont fait des Pieds-Noirs, d’un autre côté, ces derniers avaient quand même la France où se replier, tandis que les Palestiniens eux, les Arabes s’en foutent. Tout ce qui interesse les pays arabes, c’est de ne pas perdre un territoire qu’ils ont volé et qu’ils considèrent comme une terre musulmane parce qu’ils y ont planté une mosquée sur les ruines du temple juif. La mosquée de Jérusalem, ce trophée, ce symbôle de l’impérialisme mahométan, construite comme un peu partout ailleur à l’endroit d’un ancien lieu de culte pour bien humilier les peuples conquis.
Si j’était Palestinien, je ferais un bras d’honneur à l’islam et aux pays arabes, et me convertirais au judaïsme, ce qui me donnerait le droit d’immigrer en Israël. Et si tous les autres faisaient de même, toutes les régions de la Palestine seraient regroupées pacifiquement et les Palestiniens-devenus-Juifs auraient enfin un avenir à offrir à leurs enfants.
Et au lieu de se lamenter bêtement sur le mur des lamentations, les Israéliens pourraient raser la mosquée de Jérusalem (ou en faire un musée, comme les Turcs ont fait de la basilique de Constantinople), et reconstruire leur temple.
@CLOJEA « C’est leur responsabilité d’être devant les médias et d’expliquer qu’extrémistes musulmans et adeptes du Coran sont deux choses différentes. »
Vous avez tout-à-fait raison, mais j’ai peur que cette phrase ne soit mal interprétée. Vous opposez musulmans et islamistes, mais le discours politique oppose généralement islam extrémiste et islam modéré.
Extrémistes musulmans et adeptes du coran sont bien deux choses différentes, par contre, extrémisme musulman et coran ne font qu’un.
Dans l’islam, on peut distinguer les extrémistes et les modérés, mais on ne peut pas distinguer un islam extrémiste et un islam modéré. Il n’y a qu’un islam, tel qu’il est défini par le coran, et cet islam n’est modéré que lorsqu’il est en position de faiblesse. Les musulmans modérés ne sont pas modérés parce qu’ils appliquent le coran mieux que les extrémistes, mais parce qu’ils l’appliquent moins.
La responsabilité de nos politiciens de nos politiciens est double :
1 S’attaquer résolument à l’islam qui est un cancer de l’humanité. Expulsion de tous les imams salafistes dans un premier temps, remplacement progressif par des imams formés par l’état (la Malaisie, pays musulmans, a bien décidé de former les prêtres hindous), interdictions des prières dans l’espace public, refus absolu de tout « aménagement raisonnable » comme les horaires de piscine, la polygamie de fait, exemption des cours de gymnastique ou de sciences, repas halal dans le écoles, prisons, entreprises, bref de toutes revendications faites au nom de l’islam. Dans ce but, il faudra peut-être abandonner provisoirement le principe de laïcité et en revenir au système plus pragmatique du concordat de Napoléon où l’état ne reconnait une religion que si elle se plie à certaines conditions — et dans ce cas, la religion n’est pas seulement reconnue, mais subventionnée.
2 Protéger la majorité silencieuse des musulmans modérés qui sont les premières victimes de l’islam. Je connais beaucoup de musulmans qui sont pour la séparation de la religion et de l’état mais qui n’osent pas s’exprimer parce qu’ils sont soumis à des pressions énormes de la part de leur communauté. On leur reproche de se taire devant la montée de l’islamisme, mais ils faut se mettre à leur place. Ils ne demandent qu’à vivre normalement, travailler pour préparer un meilleur future à leurs enfants. Ils sont déjà fragilisés en tant qu’immigrants et ne peuvent risquer de s’antagoniser les éléments les plus virulents de leur communauté. Ils se souviennent peut-être aussi comment la république a lâchement laissé tomber les harkis. Pour protéger ces gens, la république doit non seulement les encadrer (arrêt temporaire de l’immigration en provenance des pays musulmans —jusqu’à ce qu’on ait repris la situation en main, éducation, maintien de la loi) mais aussi les valoriser. Ces gens ont des qualités que les européens ont un peu perdues, comme par exemple le sens de la famille, qu’il faut avoir l’humilité de leur reconnaître.
On nous agite, avec raison, le spectre de la remontée du fascisme. Mais il faudrait être aveugle pour ne pas voir en l’islam une forme de fascisme. Ce fascisme en est au stade des chemises brunes. Des gangs font régner la terreur dans les banlieues. Les dirigeants religieux ne font rien. L’état n’ose rien faire. Les dirigeants religieux n’attendent qu’une chose : que l’état démissionnaire leur demande de rétablir l’ordre. Ils en sont capables à cause de l’influence qu’ils exercent sur leur communauté. Les chemises brunes seront embrigadées dans des milices religieuses et deviendront des chemises noires : des SS. Au lieu de foutre le souk, elles feront régner la charia. Nous auront un état dans l’état. Tout cela se passe sous nos yeux, et comme d’habitude, nos politiciens nous chantent « Tout va très bien madame la marquise ».