« La propriété est considérée comme l’un des quatre « droits naturels et imprescriptibles de l’Homme ». Elle est également considérée comme « inviolable et sacrée », et « nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité. »
Si je suis bien le raisonnement de certains, les squatters de Maryvonne peuvent donc être « délogés » par d’autres squatters, et ainsi de suite. Les plus forts ou les plus rusés peuvent donc occuper ainsi toute une rue, un village, une ville, un département, une région, un pays.
Pour le pays, c’est déjà fait, les squatters ont déjà dépassé le seuil fatidique de 48 h., ils sont donc chez eux.
Attention, ils sont plus d’1 milliard en Afrique et les chances qui déferlent sur nos côtes quotidiennement m’ont l’air très en forme.
Bientôt, nous pourrons dire à juste titre, « je suis Maryvonne ».