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Jean-Claude Vignoli

Jean-Claude Vignoli

La vie est trop courte pour être prise au sérieux. Mais la vie est trop longue pour n'être qu'une vaste blague.

Tableau de bord

  • Premier article le 14/02/2006
  • Modérateur depuis le 03/04/2006
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Derniers commentaires



  • Jean-Claude Vignoli JCV 18 janvier 2020 02:27

    Cette « analyse » est incomplète et partisanne. Comment ne pas mentionner un pays soumis au bon vouloir de quelques uns (les oligarques), la corruption criminelle (1 cas de corruption majeur en Europesur deux mène à la piste russe), les attaques répétées sur la démocratie occidentales, l’éradication physique des opposants, l’implication russe dans les affaires moyen-orientales, africaines, et latino américaines ? La Russie est devenue l’ennemie de.la démocratie. Poutine a, ces 15 dernières années, laborieusement construit une identité russe anti-démocrate. Le comparer à Roosvelt est odieux et détruit le peu de crédibilité de cette analyse. Les Russes continueront à subir une propagande centralisée, être pauvre, soumis à une élite d’hommes corrompus. C’est ainsi depuis les Tsars, et Putine n’a fait que continuer cette tradition. Nous avons eu, en tant qu’Européens, une occasion unique avant la période 2007-11 de changer nos relations avec la Russie et peut-être de changer la Russie. On a été arrogants et traîtres. Mais cela ne justifie en rien la politique intérieure et extérieur de Poutine, qui a laissé tant de Russes (et d’autres) sur le careau.



  • Jean-Claude Vignoli Psykotik 13 février 2014 07:57

    Il faut faire preuve d’une très grande ignorance du contexte suisse pour dire croire que c’est l’immigration extra-européenne qui est visée. Ce sont des dizaines de milliers de Français, Allemands et Italiens qui passent la frontière chaque jour pour venir gagner leur croûte en Suisse. Les Portugais s’y installent.

    Les Suisses sont frappés de cécité, tout comme leurs voisins. Ils pensent le projet européen être la source de leur problème. Alors qu’il en est la solution. Nous avons tous besoins de plus d’Europe, d’un renforcement du parlement et des systèmes démocratiques. Il est juste plus facile d’accuser les immigrées et Bruxelles que de trouver des solutions politiques communes. Lorsque la France va mal, c’est la faute de l’Allemagne et de Bruxelles, jamais des choix économiques et sociaux inadaptés effectués en France.



  • Jean-Claude Vignoli Psykotik 12 février 2014 15:27

    Tout l’objet de ma bafouille était de mettre en exergue l’origine sentimentale du vote suisse.

    Je ne comprends pas très bien pourquoi mettre en vis-à-vis l’objet réel (donc le résultat) avec la cause de la réussite de l’objet (donc le sentiment nostalgique).

    Comme il a été remarqué ailleurs, la Suisse n’est pas plus xénophobe que n’importe quel autre pays européen. Mais contrairement aux autre pays européens, elle est en pleine croissance, va de réussite en réussite (sauf sur les dossiers fiscaux). Elle n’a pas de problème économique, au contraire.

    Le vote n’est donc ni xénophobe, ni mu par un problème économique. Il est identitaire, nostalgique, passéiste, illusoire, et surtout... va coûter cher à une Suisse arrogante, qui dans sa folie des grandeurs croit pouvoir dicter sa volonté à l’Union européenne. Ca va se payer cash, ce qui dans le monde des virements bancaires, va faire mal.



  • Jean-Claude Vignoli Psykotik 12 février 2014 15:19

    Pourquoi extra-européenne ? Nous, Suisses, régulerons désormais l’immigration française. C’est vrai ça, foutu fromages-qui-puent qui viennent nous prendre notre pain. Chacun chez soi, à se construire nos images d’épinale et nous vautrer dans la nostalgie d’une époque qui n’a jamais existé, rien de mieux.

    Mon cher Lucidus, nous sommes tous étrangers. La question est de savoir où nous mettons la frontière. Moi je décide de la mettre sur la nature de l’individu : veut-il apporter ou non quelque chose à la société. Toi, c’est sur le passeport. Bref, dans ce cas, je ne vois pas pourquoi se limiter à la régularisation extra-européenne, mais revenons à avant WWII. C’était la bonne époque !



  • Jean-Claude Vignoli Psykotik 1er décembre 2009 17:16

    Je me suis déjà expliqué sur le sujet. Je ne vais pas faire des copier-coller sans fin.

    Quand à une définition universelle de la démocratie... je me marre :)

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